Jean-Marc Furlan
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Re: Jean-Marc Furlan
Ce que je ne comprends pas c'est pourquoi il s'obstine alors que tout le monde sait qu'elle est l'équipe "type" du moment.
Sans la liberte de blamer il n'y a point d'eloge flatteur.
- argueti
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Re: Jean-Marc Furlan
Avez-vous déjà vu un seul entraineur au monde NE JAMAIS se lever de son banc pendant tout un match (sauf à la mi-temps
) ???????
Ben NOUS avons l'exception !!!

Ben NOUS avons l'exception !!!
L'histoire est en marche ...
- fan_racing
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Re: Jean-Marc Furlan
Aucun autre entraîneur n'aurait fait par ailleurs de Gameiro un milieu de terrain ... nous tenons un cas rare.
- NéRiK
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Re: Jean-Marc Furlan
FM aura réussi à ouvrir les yeux à certains. Beaucoup de monde remarquent enfin que c'est une trompette. 

Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
- Keating
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Re: Jean-Marc Furlan
C'est pas FM qui a réussi, c'est Furlan ... Par contre, FM nous a appris le terme de trompette




- NéRiK
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Re: Jean-Marc Furlan
Quel looser quand meme. Enchainer autant de mauvaises performances, c'est fort !!!
Triste Racing, qui nous decoit de plus en plus.

Triste Racing, qui nous decoit de plus en plus.

Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
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furlan
Il faudrait qu'il ait le courage de démissionner et non qu'on le licencie car on devra lui payer des indemnités! qu'il ne mérite pas!
FURLAN !DEMISSION! SI T AS DU CRAN!
FURLAN !DEMISSION! SI T AS DU CRAN!
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Re: Jean-Marc Furlan
Il y a quelques mois j'ai causé 5 mn avec Fufu, je peux vous garantir que ce n'est pas du tout un idiot ou un incompétent, j'ai même pensé "Ce mec est trop subtil pour le foot"... Aujourd'hui je me dis que c'est peut-être le fond du problème... Parfois, rien ne vaut un coach bien con au vocabulaire limité (genre JPP) qui sait gueuler et taper du poing sur la table...
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- Pupille@Amateur
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Re: Jean-Marc Furlan
Quand on fait un rapide bilan: ses résultats d'entraineur à Troyes et Strasbourg laissent perplexe quant à ses qualités!
- fab
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Re: Jean-Marc Furlan
DNA a écrit :Jusqu'au bout
Potentiellement éjecté à la mi-temps du match contre Brest, vendredi soir, Jean-Marc Furlan s'est cramponné à son siège. Son équipe n'a peut-être pas gagné, mais elle s'est rebiffée (2-2). Une réaction qui a conduit, hier, le président Ginestet à confirmer son entraîneur dans ses fonctions, au moins jusqu'en fin de saison. Pour le meilleur ou pour le pire ?
L'image aurait eu quelque chose de théâtrale, voire de mystique. Jean-Marc Furlan, entraîneur définitivement atypique dans ce milieu impitoyable, ne l'aurait certainement pas reniée. Vendredi soir, donc, sous les quolibets d'une Meinau frondeuse aux trois coups de sifflet finaux, un homme seul aurait quitté la scène, un rictus nerveux aux lèvres, telle une ombre évanescente qui s'éteint dans le brouillard.
« Avoir l'adhésion des joueurs, c'est l'essence de notre métier »
Si le technicien strasbourgeois n'a pas été happé par les ténèbres, il le doit à la réaction d'orgueil de ses hommes lors d'un second acte placé sous le signe de la rébellion. Paradoxalement, Marcos et les siens ont revu la lumière alors que les nappes de brume se muaient en épaisse purée de pois. En remontant deux buts - conséquence d'une première période pathétique - en un quart d'heure, ils ont aussi sauvé la tête de leur coach. « Avoir l'adhésion des joueurs, c'est l'essence même de notre métier, savourait le Girondin hier matin. A la mi-temps, il n'y a eu ni engueulade, ni hurlement. J'ai juste actionné les leviers de la solidarité et de la réaction. On est ressorti en se serrant les coudes, comme des gars qui vont au feu. » Pour un peu, ce match nul concédé à une formation brestoise engagée dans la lutte pour le maintien prendrait des allures de victoire. D'un point de vue comptable, il n'en est rien. Cinquième, à trois longueurs de Metz et du podium, la situation du Racing n'a pas évolué d'un iota. Celle de Furlan, en revanche, a progressé. Il est même sorti renforcé d'un match dont le résultat brut n'incite pourtant pas à plébisciter celui qui tient les rênes de l'équipe. Hier, son président l'a confirmé dans ses fonctions, et ce jusqu'en fin de saison (lire ci-contre). Pour quelqu'un qui évoluait sur le fil du rasoir depuis la dérouillée rémoise (4-1), et dont le sursis semblait être amené à s'étirer dans le temps, cette décision s'apparente à une victoire. « Seul l'avenir du Racing doit être pris en considération, celui de Furlan importe peu », relativisait encore l'intéressé hier matin au moment d'évoquer son sort. Il faut croire que l'ex-entraîneur de Troyes est parvenu, dans les heures qui ont suivi la rencontre, à convaincre Philippe Ginestet de lui maintenir - ou de restaurer - sa confiance. Deux entrevues - l'une, informelle, après le match, l'autre, plus solennelle, hier matin dans le bureau du président -, ont suffi à ôter l'épée de Damoclès qui menaçait au-dessus de sa tête.
Dans la tourmente, Ginestet n'avait jusque-là jamais apporté en public un soutien indéfectible à son coach. Les couloirs de la Meinau bruissaient de rumeurs, l'air commençait doucement à y devenir vicié. Placé dans une situation inconfortable, Furlan a donc demandé, vendredi soir, à son patron de trancher. Une fois pour toute. Son voeu a été exaucé.
Conforté dans ses fonctions et débarrassé du sentiment d'insécurité autour de son avenir, l'entraîneur pourra désormais se consacrer « le coeur léger » à la mission assignée en début de saison. Il s'agira déjà de conduire les siens vers la première victoire de l'année, dès vendredi à Châteauroux.
De gré ou de force, il faudra l'accompagner jusqu'au bout du chemin
Hier matin, au bord du synthétique d'Ittenheim où il est venu superviser une opposition entre remplaçants et réservistes, Furlan a retrouvé le sourire : « Oui, je souris car j'ai affaire à 15-20 mecs qui ne se démontent pas. J'ai l'impression que ce groupe a suffisamment de force pour supporter les tempêtes. Quand je vois sa réaction dans un stade en partie hostile, cela me donne beaucoup d'espoir pour l'avenir. » Les espoirs des supporteurs alsaciens, eux, sont exclusivement placés entre les mains de Jean-Marc Furlan. De gré ou de force, il faudra l'accompagner jusqu'au bout du chemin.
Si un problème a une solution, il ne sert à rien de s'inquiéter. S'il n'en a pas, s'inquiéter n'y changera rien