FC Metz

[télésupporteur]

lecture des nalyses messines encourageantes pour ................................................le racing

[supppourtjs]

Si elle ne l'a pas plongé dans le doute, la nouvelle contre-performance messine face à  Nîmes a ébranlé sa confiance. Pour le président Carlo Molinari, le déplacement à  Angers s'apparente à  un véritable tournant.

Metz n'a pas perdu, Metz est toujours sur le podium, et pourtant… Vendredi, à  Saint-Symphorien, le malaise était palpable, et ses contours précisés par le quatrième match consécutif sans victoire auquel l'équipe d'Yvon Pouliquen venait d'être contrainte par la lanterne rouge nîmoise (0-0). A l'heure où les joueurs digéraient la déception, Carlo Molinari tentait, lui, de répondre à  l'inquiétude des supporters qui s'étaient pressés devant la grille du stade au coup de sifflet final. Hier, le président est revenu sur cette entrevue improvisée (lire par ailleurs). Il en a profité pour confier son ressenti sur la tension entourant la fin de saison messine.

Carlo Molinari, dans quel état d'esprit avez-vous quitté la tribune, vendredi, à  l'issue du match face à  Nîmes ? «Comme tout le monde, un peu déçu. Nous comptions sur les trois points pour améliorer notre situation comptable, malheureusement, nous n'en avons pris qu'un seul.»
A vos yeux, Metz est-il passé à  côté de son match face au dernier du championnat ? «Non, je n'irais pas jusque-là . Nous sommes passés à  côté de la première période, sans doute, mais après la pause, nous avons réussi à  déranger ce bloc nîmois… Sans trouver la faille, hélas. Nîmes était venu pour ne pas perdre, il y est parvenu, en jouant à  cinq derrière. C'est rageant, c'est difficile, mais je ne m'attends pas à  d'autres scénarios pour les deux derniers matches à  domicile.»
Cette série de quatre matches sans victoire vous inquiète-t-elle ? «Non. Disons que nous aurions préféré une fin de saison plus cool. Mais on ne décide pas de tout. En face, il y a un adversaire.»

«Très, très difficile à  vivre»

A quoi attribuer cette baisse de régime ? «C'est difficile à  dire. Ce n'est pas que de la malchance, pas que de la maladresse, mais sans doute un peu des deux. En tout cas, ce n'est pas un manque de bonne volonté. La seule faillite, à  ce niveau, je la situe à  la réception de Clermont (défaite 1-3).»
A cette heure, malgré ces faux pas successifs, Metz fait encore partie du trio promis à  la Ligue 1. Et si ce n'était plus le cas à  l'issue des quatre dernières journées ? «Je continue à  penser que cette équipe a les moyens de remonter. Je n'imagine pas le contraire, mais si ce devait être le cas, ce serait vraiment désespérant… Et cela remettrait beaucoup de choses en cause. Avec les structures et les frais de fonctionnement qui sont les nôtres, une deuxième année consécutive en Ligue 2 serait très, très difficile à  vivre.»
Iriez-vous jusqu'à  dire que ce pourrait être dangereux pour la survie du club ? «Dangereux, peut-être pas, mais, embêtant, contraignant, c'est indéniable. Il est clair que nous sommes déjà  fragilisés économiquement par ces trois relégations en sept ans. Elles nous ont plombés. Alors si nous ne remontons pas…»
Envisageons l'autre hypothèse : Metz retrouve la Ligue 1 à  l'issue de la saison. Estimez-vous que l'effectif actuel d'Yvon Pouliquen sera suffisant pour prétendre y demeurer ? «Je ne vais pas me lancer dans ce genre de projections aujourd'hui. Simplement, il me paraît évident qu'il faudra se renforcer, avec un joueur par ligne. Il me semble que c'est un minimum pour prétendre réaliser une saison "correcte".»
En attendant le verdict final, Angers se pose sur le chemin de votre objectif. Comment apaiser le doute qui s'est immiscé dans l'esprit de beaucoup de gens, supporters ou pas, après les dernières prestations du FC Metz ? «Il y a un bon signe, c'est que l'équipe n'a pas encaissé de but lors de ses deux derniers matches. Mais à  côté de ça, il nous manque un brin d'efficacité offensive. Il va falloir y remédier. A la fin de la rencontre face à  Nîmes, j'ai tout de suite mis l'accent sur notre prochain déplacement. Il faudra gagner à  Angers.»

Cédric BROUT.
Publié le 03/05/2009

[FM17]

Metz est vraiment nul à  chier...équipe de merde sans déconner, y a rien...Rien à  faire en L1 pour le coup eux...

[fan_racing]

Il joue un peu de la même façon qu'en 2006-2007, sans le bol d'enfer et avec une défense un peu plus fragile ...

[Stan]

Ben Strasser est titulaire quoi..

Regarde comment il jouait au racing et maintenant imagine le avec 2 ans de plus !

[Tenor]

Ben Strasser est titulaire quoi..

Regarde comment il jouait au racing et maintenant imagine le avec 2 ans de plus !

+ de maturité je suppose

[fan_racing]

Et en plus, faut se dire qu'ils ont Bregerie et Chrsysostome dans un registre très similaire à  Strasser.

[télésupporteur]

angers va bien se réveiller avant la fin de ce championnat
alors pourquoi pas commencer par metz

[supppourtjs]

L'exemple à  ne pas suivre
Adversaire de Metz demain, Troyes flirte avec le National, un an après avoir échoué aux portes de la remontée en Ligue 1. Effrayant !


Un avertissement, un vrai : toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé n'est pas forcément fortuite. Retour au printemps 2008. Début mars, installé dans le trio de tête et vainqueur à  Clermont, Troyes compte neuf points d'avance sur le quatrième. Suivront onze journées d'insuccès, une remontée immédiate manquée dans le sprint final, conclu par une ultime défaite face à  Guingamp. Un an et deux entraîneurs plus tard (Claude Robin vient de succéder à  Laurent Batteli qui avait succédé à  Denis Troch), le même club ferraille pour ne pas descendre en National. Loin, très loin de ses fastes années de Ligue 1, au début des années 2000.
Printemps 2009, donc. Pensionnaire du podium à  seize reprises depuis le début de la saison, et notamment depuis sept journées, Metz vient tout juste d'en être chassé, à  trois matches de la fin. Les Messins restent sur une série de cinq rencontres sans victoire et, avant de boucler l'exercice face à  Guingamp, avant un ultime voyage à  Ajaccio, l'antépénultième étape leur offre de recevoir Troyes, et d'affronter la réalité en face : celle d'un ancien club de Première division totalement embourbé dans sa deuxième saison de suite en Ligue 2. Si elle n'est pas définitive, puisque Metz peut encore gagner ses trois derniers matches, contrairement à  Troyes l'an passé, la comparaison occupe surtout le terrain sportif. En coulisses, c'est un peu différent. Là  où Metz a vendu Miralem Pjanic à  Lyon pour plus de sept millions d'euros, en juin dernier, afin d'assurer sa survie, Troyes a pu recruter des joueurs comme Buengo et Fiorèse, grâce à  la vente un an plus tôt de Matuidi à  Saint-Etienne pour cinq millions d'euros. Metz, en cas d'échec semblable, devra alléger son effectif avant de penser à  le renforcer. Cela dit, Troyes ne ressemble pas spécialement à  l'exemple à  suivre.

Source RL

[silex57]

C'est le rsique quand on ne remonte pas directement, c'est pour ça qu'il faut que le Racing monte !!