On avait vu qu'il n'avait aucune dignité après certaines prestations de l'équipe, toujours à se chercher des excuses et là il confirme juste que c'est une personne sans aucun honneur. Il a échoué dans sa mission et là tout ce qu'il fait c'est essayer de couler un club, une région et au passage c'est comme s'il faisait un bras d'honneur à nous autres supporters. Tout ça parce qu'il est trop fier et qu'il a trop d'égo pour une seule fois dans sa vie se remettre en question et accepter un échec.
En clair, je pense qu'il a un gros problème dans sa tête.
Jean-Marc Furlan
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Re: Jean-Marc Furlan
j'en ai marre de ce club
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Re: Jean-Marc Furlan
Moi ce qui me met hors de moi c'est ces gamineries dignes de cour de récré. Ils ont en rien à foutre des supporters qui continuent à suivre l'équipe depuis des années alors qu'elle mérite vraiment pas qu'on la soutienne.
Et encore moi je vais pas à la Meinau, mais j'imagine même pas les gens qui font des déplacements tous les 15 jours à l'autre bout de la France ou même ceux qui paient leur billet régulièrement à la Meinau. Aujourd'hui, alors que tous sont déjà assez attristés de voir leur équipe jouer avec des Bezzaz, Ducrocq et compagnie, tout ce qu'on arrive à leur servir c'est une descente en L2 et par dessus le marché des coups de putes dans tous les sens au niveau du staff.
Le Racing est devenu un jouet aux mains d'individus qui ne pensent qu'à leur petite personne et les supporters n'ont que leurs yeux pour pleurer. Franchement ça me dégoute.
Et encore moi je vais pas à la Meinau, mais j'imagine même pas les gens qui font des déplacements tous les 15 jours à l'autre bout de la France ou même ceux qui paient leur billet régulièrement à la Meinau. Aujourd'hui, alors que tous sont déjà assez attristés de voir leur équipe jouer avec des Bezzaz, Ducrocq et compagnie, tout ce qu'on arrive à leur servir c'est une descente en L2 et par dessus le marché des coups de putes dans tous les sens au niveau du staff.
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Re: Jean-Marc Furlan
En fait le but est de flouer les ASSEDIC
J'ai des potes à qui McDonalds ou Leroy Merlin ont proposé le même marché : ils viennent pas au boulot, ils se font licencier pour abandon de poste et ils peuvent toucher les ASSEDIC.
Futés Ginestet & Furlan

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- argueti
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Re: Jean-Marc Furlan
L'Alsace a écrit :Furlan, licenciement engagé
Comme suggéré dès mardi sur notre site internet, le président Philippe Ginestet a lancé hier une procédure de licenciement à l'encontre de son futur ex-entraîneur. Ce dernier garde le silence, mais, selon son entourage, n'est pas disposé à reculer.
Il fallait s'y attendre. Comme « L'Alsace » le laissait entendre dès mardi sur son site internet, le président du Racing a engagé hier matin une procédure de licenciement à l'encontre de son futur ex-entraîneur, sous contrat jusqu'en 2010 et qui refuse de faire une croix sur sa dernière année de contrat. Peu avant 13 h, le patron du RCS a, sur un ton solennel, pesé chaque mot pour officialiser la mise en route de cette procédure : « Compte tenu du non-respect de ses engagements et des propos inadmissibles tenus par M. Furlan (1) , le dossier a pris une tournure administrative et est passé dans les mains du directeur général. » Dans l'après-midi, Jean-Luc Herzog a adressé au coach, par courrier recommandé avec accusé de réception, une convocation à un entretien préalable à un licenciement. Le DG du Racing recevra seul, dans la matinée du vendredi 12 juin, un Furlan qui pourra, s'il le désire, se faire assister par un représentant du personnel. « Une fois l'entretien passé, ça peut aller relativement vite », indique Herzog, « Aujourd'hui, nous rentrons dans le dur. A partir du moment où Jean-Marc Furlan ne respecte pas sa parole, nous devons agir pour pouvoir passer à autre chose. Et notamment à l'engagement de son successeur et à l'élaboration de l'équipe 2009-2010 avec le technicien nommé. » Dans les faits, le nouveau coach ne devrait pas être intronisé avant que la procédure légale de licenciement ne soit instruite. Ce que confirme le directeur du RCS. « Evidemment, on ne peut pas embaucher quelqu'un tant que le problème avec Jean-Marc Furlan n'est pas réglé. Mais ça ne nous empêche pas de travailler et nouer des contacts. Je pense que nous pourrons auditionner les candidats la semaine prochaine (Ndlr : voir ci-dessous) . »
Le prix du silence
Cette radicalisation de la stratégie du Racing n'a semble-t-il pas fait ciller l'entraîneur remercié. Le coach du RCS - pour quelques jours encore - n'a pas l'intention de déroger à sa ligne de conduite, notamment pas au silence radio qu'il s'impose depuis vendredi soir. Son entourage assure que sa position n'a pas varié : « Jean-Marc a mesuré l'impact que peut avoir sur son image une parole reprise. Mais il assume. Il y a deux ans, le président de Bordeaux, Jean-Louis Triaud, voulait le faire signer alors qu'il avait donné sa parole à Strasbourg. A l'époque, il n'avait rien signé avec le Racing, mais avait respecté son engagement avec Philippe Ginestet. Aujourd'hui, il estime au vu des conditions dans lesquelles il a travaillé depuis deux ans qu'il n'a pas à tenir cette parole. » Le litige se terminera-t-il pour autant aux Prud'hommes où les salariés obtiennent généralement réparation ? Pas sûr du tout. Jusqu'ici, les conflits entre Philippe Ginestet et ses entraîneurs en partance ont toujours débouché sur une transaction amiable. J.-L. Herzog n'écarte d'ailleurs pas cette hypothèse, même si son président se montre aujourd'hui inflexible : « On va procéder étape par étape. Peut-être y aura-t-il un changement s'il y a évolution dans le comportement de Jean-Marc Furlan. » En football, la paix sociale et le silence ont toujours un prix.
Stéphane Godin
(1) Jean-Marc Furlan reste injoignable et n'a plus parlé à la presse depuis la défaite à Montpellier. Mais son conseiller Jacques Crouzel l'a fait pour lui dans notre édition de ce mercredi. Ce dernier a cependant tenu à préciser hier par téléphone qu'il s'était peut-être mal exprimé et que les propos qu'il attribuait à l'entraîneur strasbourgeois n'étaient qu'une interprétation personnelle de leurs nombreuses discussions des dernières semaines.
L'histoire est en marche ...
- argueti
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Re: Jean-Marc Furlan
DNA a écrit :Le torchon brûle
Jean-Marc Furlan est toujours l'entraîneur du Racing. Mais son président a décidé d'entamer une procédure de licenciement à son encontre. Philippe Ginestet a lancé une nouvelle révolution de palais.
Les histoires d'amour finissent mal en général. Au Racing, et cela fait quelques années que cela dure, on ne déroge pas à la règle. On la respecte scrupuleusement et on s'apprête à casser la vaisselle pour la troisième fois en quatre étés. Jean-Marc Furlan n'a pas rempli sa mission de faire remonter le club strasbourgeois un an après l'avoir fait descendre. Un « contrat moral » avait été passé au mois de janvier entre l'entraîneur et son président, stipulant qu'en cas d'échec, une démission permettrait de mettre un terme au contrat qui courait jusqu'en juin 2010 sans contraindre le Racing à la dépense.
« Le dossier prend une tournure administrative »
Il n'est plus dans les intentions du technicien de le respecter. Il a envoyé un texto à Philippe Ginestet pour lui expliquer qu'il n'honorerait pas le rendez-vous programmé avant-hier et susceptible de concrétiser la séparation à l'amiable. Selon ses proches, Jean-Marc Furlan, très affecté par le verdict sportif qui conduit le Racing à demeurer une saison de plus en L 2, a tiré les enseignements de deux années en Alsace et du fonctionnement parfois surprenant d'un club géré à hue et à dia. Le respect manifesté par ses dirigeants n'aurait jamais été à la hauteur de son investissement. Son président se refusant à le soutenir publiquement, il a décidé par son silence de le faire banquer en faisant valoir ses droits à une indemnité estimée entre 300 et 400 000 euros. Et la réponse du dirigeant n'a pas tardé. « Compte tenu du non respect des engagements pris, le dossier prend une tournure administrative, a indiqué hier le président Philippe Ginestet, en Amérique du Nord pour ses affaires en cette fin de semaine. Le directeur général (ndlr : Jean-Luc Herzog) va le gérer directement avec un convocation préalable. Quelque chose a été dit et n'a jamais été contesté. Il convient que cela soit respecté. » Le numéro un du club met en avant un accord verbal qui n'a néanmoins aucune valeur juridique. Et, lors du rendez-vous fixé le vendredi 12 juin par un courrier envoyé hier, l'évocation des griefs retenus à son encontre ne se limitera pas à cette simple trahison d'une parole. « C'est le seul moyen pour la direction d'exprimer ses vues à un employé étant donné que Jean-Marc Furlan a refusé de rencontrer le président, explique Jean-Luc Herzog. On est dans le monde du travail et, étant donné qu'il n'y a pas de respect des engagements, il apparaît légitime d'en passer par là . » Il n'empêche qu'il fleure fort une ambiance procédurière depuis quelques années à la Meinau.
Un budget qui ne « prévoit pas de plan social »
Après Jacky Duguépéroux, après Jean-Pierre Papin, le Racing est en passe de recourir à la voie juridique pour se séparer de son entraîneur. Au passage, on notera que Furlan - qui a déjeuné avec de nombreux techniciens du centre de formation strasbourgeois, si ce n'est tous, mardi -, ne devrait pas être le seul à emprunter la même voie. Fehrat Khirat, le coordinateur sportif qui a oeuvré à la venue de Furlan, ou encore Noureddine Bouachera, l'adjoint de l'entraîneur, monteront dans la charrette. « Mais la priorité, c'est le sort de l'entraîneur », poursuit Jean-Luc Herzog, en pleine activité pour boucler un budget de L 2 « sensiblement revu à la baisse, mais qui ne prévoit pas de plan social. » Le chèque indispensable qu'il s'agira de signer au futur ex-entraîneur strasbourgeois le grèvera d'autant. Elle amputera les moyens mis à la disposition du successeur, dont l'intronisation officielle ne pourra intervenir, au mieux, que dans une quinzaine. Après avoir raté sa saison, le Racing ne prépare pas sous les meilleurs auspices la suivante.
Fr.N.
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- Roswell Man
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Re: Jean-Marc Furlan
Fufu et ses copains ont l'air vachement sûrs d'euxargueti a écrit :L'Alsace a écrit :
(1) Jean-Marc Furlan reste injoignable et n'a plus parlé à la presse depuis la défaite à Montpellier. Mais son conseiller Jacques Crouzel l'a fait pour lui dans notre édition de ce mercredi. Ce dernier a cependant tenu à préciser hier par téléphone qu'il s'était peut-être mal exprimé et que les propos qu'il attribuait à l'entraîneur strasbourgeois n'étaient qu'une interprétation personnelle de leurs nombreuses discussions des dernières semaines.

Modifié en dernier par Roswell Man le 4 juin 2009 9:03, modifié 1 fois.
- Roswell Man
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Re: Jean-Marc Furlan
Attention, les DN s'énervent...
Pris en otage
Une fois de plus, une fois encore, le Racing propose un visage pitoyable à la France du ballon rond en général et à toute l'Alsace en particulier. A la tête du club, les hommes s'entre-déchirent férocement et s'assoient allègrement sur les nobles principes qu'ils avaient eux-mêmes édictés.
Le sacro-saint intérêt supérieur du club, en l'occurrence, est à nouveau bafoué. La formule rendue célèbre par Georgina Dufoix, «responsable mais non coupable», semble être remise au goût du jour à chaque printemps sur les bords du Krimmeri.
En ce joli mois de juin, toute la bassesse du monde transpire dans les propos des protagonistes. Chacun cherche à minimiser son rôle, à se dédouaner, à rejeter la faute sur l'autre et à surtout ne pas trop pas en dire, dans le cas d'un éventuel règlement de compte devant les tribunaux. La veulerie n'a plus de limite, les coups tordus couvent sous les costumes deux-pièces d'apparat.
C'est dans un sourire narquois et désabusé que l'on repense aux belles phrases prononcées il y a deux ans, quand tout le monde il était beau, tout le monde il était gentil. «Une fois pour toute, à Strasbourg, nous voulons progresser dans la stabilité», paradait le président Ginestet, qui accueillait alors à bras ouverts le prometteur Jean-Marc Furlan, quelques semaines après avoir fait subir un coup de Trafalgar à Jean-Pierre Papin.
On tente aussi de se souvenir de l'étourdissant flot de mots déversé entre-temps par le coach qui se voyait dans un beau rôle de manager général à l'anglaise, un peu à l'image du grand Arsène, mais dont le nom restera à jamais associé à l'un des plus grands fiascos strasbourgeois de l'ère contemporaine.
Tous deux responsables, tous deux coupables
On se rappelle surtout que le Girondin n'avait déjà pas assumé son échec au printemps 2008. Il avait fait savoir dans nos colonnes, au sortir d'une série de onze défaites, que «sa principale erreur était d'être venu au Racing», avant de démentir avec véhémence sur le site officiel du club et de nous faire passer pour de fieffés menteurs.
Non, Jean-Marc Furlan n'aurait jamais dû venir à Strasbourg. L'arrogant Girondin a causé beaucoup de torts en peu de temps. L'élégance, la raison, l'honneur voudraient que l'homme se retire sans demander son reste.
Non, Philippe Ginestet n'aurait pas dû se laisser séduire par le chant des sirènes du foot business, ni croire que l'exposition médiatique lui offrirait une quelconque reconnaissance.
Les deux hommes sont aujourd'hui pris à leur propre piège. Tous deux responsables, tous deux coupables. Face à autant d'incompétence, c'est le public alsacien qui est pris en otage.
Séb.K.
- fab
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Re: Jean-Marc Furlan
ça fait juste des mois que c'est le consensus ici sur l'incompétence de ces messieurs...Tous deux responsables, tous deux coupables. Face à autant d'incompétence, c'est le public alsacien qui est pris en otage.
Si un problème a une solution, il ne sert à rien de s'inquiéter. S'il n'en a pas, s'inquiéter n'y changera rien
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Re: Jean-Marc Furlan
Bravo les DNA ! ça fait plaisir de lire ça.