Jean-Marc Furlan

[enzy]

Oh oui, Furloose à  Nantes, ça fait un candidat en moins pour la montée du coup.

[baskath]

Ah, il fait du dégât même dans les autres sports maintenant :

Furlan piège Boonen

[kranjcar]

Argghhhhhhh, trop les boules, j'avais prévu celle-ci dès que j'ai vu le titre:

Alors des news, on a plusieurs choix:
- il s'est déjà  barré, à  signé à  la lampre et le dopage l'a transformé au propre comme au figuré puisque c'est aussi de venu un winner
ou
- il ne ment pas toujours, la preuve il a effectivement des liens génétiques transalpins

source : http://www.lequipe.fr/Cyclisme/20090608 ... oonen.html

[Pinon]

Il serait suivi par Boulogne

[Tormentor2]

Hantz a bien réussi à  trouver un club, et Luis Fernandez aussi, pourquoi pas Furlan ! Et puis, c'est un adepte du beau jeu, on a pu le voir ces deux dernières années !!

[baskath]

Il serait suivi par Boulogne

Ah, il a donc fait exprès de faire en sorte que Boulogne monte !

[argueti]

Il serait suivi par Boulogne

C'est officiel depuis mardi matin, Laurent Guyot a signé un contrat de deux saisons, plus une en option, pour devenir l'entraîneur de Boulogne-sur-Mer cette saison. Il sera assisté de Serge Le Dizet. Après le départ de Philippe Montanier, qui a fait passer l'USBCO du CFA à  la L1 en cinq saisons, Boulogne confie sa première saison parmi l'élite à  deux anciens du FC Nantes.

[Le_sorcier]

Vu sur l'équipe.fr

A Dijon, où les jours d'Hadzibegic semblent comptés, les noms de Jean-Marc Furlan et de Gérald Baticle circulent avec plus ou moins d'insistance

[Tormentor2]

Allez, faut dire du bien de Furlan dans les prochains posts histoire de faire croire aux supporters de Dijon que c'est est une star !! On peut aussi sortir les pattes de lapin et autres grigris pour qu'il parte sans demander son reste...

[argueti]

Furlan reçu aujourd'hui

Le technicien sera reçu ce matin pour un entretien préalable à  son licenciement, étape obligatoire pour son limogeage. Le rendez-vous est programmé ce matin à  9 h30. Jean-Marc Furlan est attendu à  la Meinau, convoqué pour un entretien préalable à  son licenciement. « J'ignore s'il viendra ou pas », s'interroge Jean-Luc Herzog, le DG du Racing, de l'autre côté de la barre quand il s'agira d'évoquer ce qui est reproché à  l'entraîneur sur le départ.

Le dirigeant strasbourgeois lui réserve logiquement l'exclusivité de l'argumentaire, qui ne saurait se résumer au simple contrat verbal passé en janvier avec le président de l'époque, Philippe Ginestet. Dans le camp Furlan, on se refuse à  débouler résigné. « Jean-Marc sera présent, garantit Jacques Crouzel, son conseiller. Il y a tout de même un bilan à  défendre. Strasbourg a abordé la saison 2007-2008 avec la plus petite masse salariale de L 1. Pour la suivante, beaucoup d'observateurs doutaient de la valeur du groupe construit pour la remontée et le mercato a été incohérent. Avec Poté et Monterrubio, le Racing serait remonté. » On trouve sans doute ici quelques-unes des orientations développées par Furlan pour se défendre. L'entraîneur a aussi une parade ultime face aux attaques à  venir : son contrat court jusqu'en juin 2010. Pour la suite, les ratés de ses dernières saisons ne semblent pas avoir complètement relégué le futur ex-entraîneur strasbourgeois dans les oubliettes du foot hexagonal.

Dijon s'est renseigné sur lui, « mais rien ne sera possible tant qu'il ne sera pas libéré de son contrat », précise Jacques Crouzel. Après l'entretien d'aujourd'hui, une commission de conciliation à  la Ligue interviendra mardi. « C'est une étape obligatoire prévue par le foot pro », explique Jean-Luc Herzog. Concernant le poste d'entraîneur à  pourvoir, la piste Joël Muller s'est refroidie. Le directeur sportif du FC Metz a été sollicité par Bernard Serin, le nouveau président des Grenat, pour prolonger. Contacté hier, Muller ne s'est pas montré catégorique quant à  sa volonté de rester en Lorraine. Il a néanmoins indiqué qu'il sera présent à  la conférence de presse, prévue cet après-midi en Lorraine. On imagine que ce n'est pas pour lâcher qu'il rejoint la Meinau.

Furlan rencontre Herzog ce matin à  la Meinau

L'entraîneur du RCS, Jean-Marc Furlan sera entendu par Jean-Luc Herzog, le directeur général du club, lors d'un entretien préalable à  son licenciement ce matin à  la Meinau.

Ce matin (9 h 30), l'entretien préalable à  un licenciement de Jean-Marc Furlan aura lieu au siège du club à  la Meinau. Celui qui est toujours le coach du Racing à  ce jour sera reçu par le directeur général, Jean-Luc Herzog, pour une entrevue formelle et obligatoire dans le cadre du droit du travail, que le club alsacien avait pourtant cru pouvoir éviter. Début février, à  la suite du match nul (2-2) face à  Brest, l'ex-président strasbourgeois Philippe Ginestet et son futur ex-entraîneur Jean-Marc Furlan concluaient, en toute discrétion, un pacte moral et oral dans les couloirs du stade de la Meinau. En cas de remontée, le coach alsacien était libre de décider de son avenir. Mais, dans le cas contraire, il quitterait le club sans demander l'indemnité correspondant à  sa dernière année de contrat en Alsace. Trois jours après la défaite (2-1) à  Montpellier en clôture de la saison, qui privait le Racing d'une remontée en Ligue 1, Jean-Marc Furlan reprenait sa parole en envoyant un simple SMS à  son ancien patron, qui avait pourtant prévu de le rencontrer pour officialiser sur le papier un départ à  l'amiable. La raison de ce soudain revirement de situation : Jean-Marc Furlan estime qu'il a suffisamment rencontré d'obstacles et de désagréments au sein du club pour se dédire de la parole donnée à  son président. Déstabilisé par deux descentes successives et l'échec de la remontée, Philippe Ginestet a du coup démissionné de la présidence, estimant « avoir commis une erreur dans le choix de l'entraîneur. » De son côté, le technicien girondin s'est muré dans un silence dont il sortira donc aujourd'hui.

Retrouvailles mardi à  Paris

Si les transactions vont débuter aujourd'hui, le dossier devrait se dénouer en début de semaine prochaine. Le club alsacien a visiblement la volonté de trouver un terrain d'entente et de s'éviter un éventuel passage aux prud'hommes. C'est pourquoi les deux hommes se retrouveront ce mardi pour une réunion de conciliation devant la commission juridique de la Ligue nationale de football à  Paris. Sachant qu'un bras de fer pourrait coûter au RCS entre 300 et 450 000 euros — l'équivalent d'un an de contrat plus 6 mois d'indemnité complémentaire pour préjudice — il n'est pas exclu que les deux parties finissent par transiger sur une somme intermédiaire afin de mettre un terme à  l'amiable à  leur différend. Jean-Marc Furlan pourra alors faire place nette à  son très attendu successeur.

De retour à  Troyes ?

Dans l'attente de l'entretien préalable à  son licenciement du Racing, Jean-Marc Furlan est annoncé comme faisant partie des trois techniciens – avec Patrick Rémy (ex-Sedan, Caen, Guingamp) et Gérald Baticle (ex-Brest) – susceptible de succéder à  Claude Robin à  la tête de l'ESTAC, qui vient de descendre en National. Selon son entourage, l'ancien coach de Troyes, de 2004 à  2007, n'a pas l'intention de discuter avec Daniel Masoni, le nouveau président troyen qu'il connaît bien, avant d'avoir réglé son cas personnel avec le RCS.

Olivier Arnal