Jean-Marc Furlan

[FM17]

j étais un des premier à  pointer du doigt l incompréhension entre Furlan et le Président il y a déjà  plus d un an...Un article débile et complètement orienté de Fabienne Keller à  la trêve aura réussi à  berner tous les crédules qui croyaient en une osmose au sein du club...Que nenni...L an dernier déjà  lors du mercato, une incompréhension avait surgit...Bis répétita en hiver dernier où je disais que ce mercato était pourri ...A ce stade, les torts sont évidemment partagés entre cet entraineur qui n assumera donc jamais et ce président dont je disais qu il ne ferait jamais du Racing un bon club...

[FM17]

Furlan à  Strasbourg pour un fan de Depeche mode c est A question of time

[Roswell Man]

imposer un joueur n'a jamais réussi
pour les moins jeunes , souvenez-vous de carlos bianchi

Je me sens vieux tout d'un coup

Soit dit en passant, Bianchi nous a quand même été utile, notamment en coupe d'Europe contre Prague si je me souviens bien ( comme dit quelqu'un...)

[argueti]

Furlan tire sa révérence

Jean-Marc Furlan a été reçu, hier, par le directeur général du Racing pour un entretien préalable à  son licenciement. Le club strasbourgeois peut tourner la page, même si l'éviction donnera lieu à  d'autres épisodes.

Si ce n'est, peut-être, pas un homme de parole à  en croire Philippe Ginestet, contrarié que son entraîneur n'ait pas respecté l'accord moral passé en janvier, Jean-Marc Furlan aimera toujours parler. Son art du verbe est l'une des principales armes de sa séduction. En tant qu'entraîneur qui s'affranchit du terre à  terre, il a pu en user et réussir à  Libourne ou à  Troyes. Avec l'épisode d'hier, il faut bien se résoudre à  constater que son passage à  Strasbourg s'apparentera à  un échec.

« Les amoureux du Racing s'intéressent à  l'avenir et l'avenir ce n'est pas Furlan »

Néanmoins, ses deux saisons passées en Alsace l'ont peut-être définitivement intégré à  la caste des entraîneurs de l'Hexagone. L'un de ses devanciers, Jacky Duguépéroux, avait l'habitude de dire qu'on n'en était pas vraiment un, tant qu'on avait pas été viré. Hier, Jean-Marc Furlan a pris la porte, ou presque, puisqu'est intervenu son entretien préalable à  son licenciement dans la matinée. Et c'est une première dans sa carrière d'homme du banc. Jean-Luc Herzog, le directeur général du Racing « a notifié les griefs retenus par le club à  son encontre », pour reprendre les termes du communiqué diffusés en début d'après-midi. « Aujourd'hui, on est dans la logique du droit du travail, a précisé le dirigeant en première ligne sur le dossier. La prochaine étape, c'est la réunion de la Commission de conciliation (ndlr : en fait la commission juridique) à  la Ligue qui interviendra mardi. » Sur le fond, la discussion, au cours de laquelle Eric Moerckel, kiné au club depuis plus de vingt ans, a secondé Furlan en tant que délégué du personnel, a tourné autour de sorties médiatiques du technicien ces deux derniers mois. Le qualificatif d'« intempestif » aurait été utilisé pour les caractériser.

« On n'a pas engagé que des heures et des jours de travail, mais aussi son âme »

Le « coupable » a préféré ne pas rentrer dans les détails. Il a manifesté le souhait de détourner les caméras, micros et stylos, mais s'y est fort mal pris. « Ce n'est jamais très glorieux, a souligné celui qui restera à  jamais catalogué comme un bon client pour les journalistes. Les amoureux du Racing s'intéressent à  l'avenir. Et l'avenir, ce n'est pas Jean-Marc Furlan. » Encore que l'affaire dont il est au coeur risque de durer. « On ne peut pas pronostiquer si on aboutira à  un accord à  l'amiable », prévient Jean-Luc Herzog. Son terme peut intervenir dans des mois, voire des années. « Cela sera peut-être à  des juges de trancher, envisage Furlan. Mais le sentiment d'échec est dans tous les cas extrêmement douloureux. A un point près, on est un zéro, disent certains. Ce n'est pas facile, parce que l'on n'a pas engagé que des heures et des jours de travail, mais aussi son âme. » Jean-Marc Furlan trouvera sans doute un théâtre où se retrouver et exprimer sa passion pour le foot. « Je vais réfléchir sur mon métier et chercher à  trouver un club, parce qu'avant tout je suis entraîneur », explique-t-il. Dans son parcours, il retiendra de la parenthèse strasbourgeoise « des relations humaines, le lien très fort avec les techniciens et les joueurs qui ont été des alliés. » Et il sera sorti sur l'une de ses pirouettes, empruntées au jargon de l'ovalie, en l'occurrence inspirée de Jean-Pierre Rives, et dont il aura ponctué son discours depuis deux ans : « Le sport, c'est un ballon qui est au milieu, et c'est surtout des hommes qui sont autour. » Jusqu'au bout, Jean-Marc Furlan aura refusé de se taire.

Fr.N.

[supppourtjs]

Commission de Conciliation

Réunis Mardi 16 Juin devant la Commission de Conciliation de la Ligue de Football Professionnel, le Racing Club de Strasbourg et Jean-Marc Furlan ont fait valoir leurs points de vue dans le cadre du licenciement de l'actuel entraineur strasbourgeois.

Les deux parties ont statué sur une non-conciliation.

Le Dirécteur Général, Jean-Luc Herzog, a envoyé, ce Mercredi, une lettre de licenciement à  l'attention de Jean-Marc Furlan.

Et bien !!!

[Stan]

Il a pas changé d'avis, l'enfoiré !

[raphou96]

Le Racing précise

En réaction à  l'article publié hier dans ces colonnes, le directeur général Jean-Luc Herzog a tenu à  préciser la position du club dans le conflit qui l'oppose à  Jean-Marc Furlan. « On donne l'impression que l'argumentaire du Racing ne tient pas sur grand-chose et on véhicule sans doute là  le point de vue de l'entraîneur, constate le dirigeant strasbourgeois. Mais je peux vous dire qu'il y a des éléments très concrets qui permettent d'évoquer la notion de faute grave. Nous ne sommes pas procéduriers pour être procéduriers. »

[argueti]

Furlan vers Casablanca ?

Sans club depuis son limogeage du RCS, Jean-Marc Furlan va-t-il rebondir au WAC Casablanca ? Le technicien vient d'être approché par un intermédiaire reconnu pour prendre en main les destinées du club marocain, 4 e en 2008-2009. Il attend désormais d'être contacté directement par les dirigeants. « Depuis samedi, j'ai pris des renseignements auprès de Henri Stambouli, qui a entraîné le RAJA Casablanca, et Nasser Larguet (l'ancien directeur du centre de formation du Racing, Marocain d'origine qui dirige l'académie de football Mohammed VI). Ils ne m'ont dit que du bien du WAC qui, avec le RAJA, est le plus grand club marocain. J'attends d'en savoir plus sur le projet proposé, car j'ai toujours fait mes choix en fonction des projets. Mais une expérience à  l'étranger me tente. »

[fab]

Mais une expérience à  l'étranger me tente

Surtout qu'il est archi grillé en France...

Plus le choix que d'aller coacher dans des championnats à  2 sous

[supppourtjs]

Il n'ont pas internet à  Casablanca !, on pourrait tjs leur envoyé un lien de ce topic.