Gilbert Gress

[Tormentor2]

Si on change tous les deux ans, c'est peut être parce qu'on les choisit n'importe comment, ou par dépit... à  peu près comme Gress... d'ailleurs, ça m'étonnerait qu'il fasse deux ans !

[fab]

Je penche plutot pour 6 mois...

[télésupporteur]

la chose qui pourrait me faire plaisir avec le retour de gress, c'est le fait qu'il ne veuille pas bosser avec certainers personnes
si au sein du racing on pouvait arrêter de se tirer dans les pattes, cela serait une très bonne chose

[Stan]

Je suis moi aussi plus que sceptique.. Pourquoi toujours gratter le passé, en plus à  une période où on a besoin de changement ?

Le changement on l'a depuis 10 ans avec un nouvel entraineur tous les 2 ans, et qu'on vire à  chaque fois parce qu'il ne correspond pas aux attentes du staff et surtout du public, et pour les résultats que l'on connait.
C'est çà  le changement

Ah mais tu crois vraiment que Gress va rester longtemps au Racing ?

[belzé]

Sauf surprise de dernière minute, Gilbert Gress sera le prochain entraîneur du RC Strasbourg. Selon les informations de L'Equipe, mardi, un contrat d'une ou deux saisons doit être proposé par le nouveau président Léonard Specht à  l'entraîneur des champions de France 1979, âgé de soixante-sept ans. Le Racing, avant d'aller plus loin, doit régler les termes de sa séparation avec Jean-Marc Furlan.

Gress n'a plus entraîné en France depuis sept ans. Lors de sa dernière expérience en L1, il avait tenté, en vain, d'empêcher la relégation de Mets entre décembre 2001 et mai 2002. Depuis, Gilbert Gress a entraîné au Sturm Graz en Autriche (2003-2004), puis en Suisse, à  Sion (2004-2005) et à  Aarau en 2007.

Je ne sais pas ce que vous en pensez,mais je ne pense pas que Gress soit l'homme de la situation:s,enfin bref ça sera dur de faire pire que Furlan.

Ps: je sais pas si j'ai posté au bon endroit.

[Keating]

Gress presque élu

Les administrateurs réunis hier ont confirmé la tendance évoquée ce week-end (voir notre édition du 14 juin). L'évidence Gress a rallié l'avis des principaux décideurs quant à  la succession de Jean-Marc Furlan.

On se consacre au subtile exercice de la marche sur des oeufs, ces temps-ci, du côté de la Meinau. Mais l'ombre du doute s'efface d'heure en heure, en dépit du temps pluvieux qui a régné sur Strasbourg hier. Après avoir hérité des dossards 37 et 46 dans la chronologie des entraîneurs à  la tête du Racing désignés depuis 1928, Gilbert Gress devrait récolter le 58 pour passer après Furlan sur le banc alsacien.

L'homme aux manettes sportives le 29 juin prochain est une légende

Si on se garde bien de franchement confirmer et de fêter la perspective d'un acte III dans la relation d'un club à  son plus légendaire technicien, c'est qu'il y a une procédure en cours. Aujourd'hui, du côté de la Ligue, une Commission juridique est programmée et c'est une nouvelle étape dans la procédure de licenciement entamée avec l'entretien préalable de vendredi. Les dirigeants strasbourgeois ne veulent pas céder à  toutes les exigences à  venir du n°57. En jouant la montre, en respectant un processus maîtrisé, ils afficheront une position juridique autrement plus tenable quand il s'agira de négocier à  l'amiable ou de s'écharper aux prud'hommes. Il n'empêche. A moins d'un énorme revirement de tendance, l'homme aux manettes sportives au 29 juin prochain, le jour du prochain entraînement strasbourgeois, est une légende. Hier, Gilbert Gress était dans son bastion suisse, à  peaufiner assurément son plan de bataille pour remettre d'aplomb un club en charpie. Il a passé une partie de la soirée au Café des amis, à  Neuchâtel. Il a pu songer à  la perspective de retrouver un club où il en a laissé quelques-uns. A l'unisson de ceux en charge de sa nomination, il s'est bien gardé de tout commentaire quant à  un 3e mandat sur le banc de ses plus admirables réussites. Il s'est juste contenté de constater qu'il reçoit « habituellement des petits mots dans (s)a boîte aux lettres et qu'en ce moment, ils sont un peu plus nombreux. » Avant de penser à  basculer sur le terrible défi qu'il se dit toujours prêt à  relever, Gress se consacre encore ce soir à  une oeuvre de bienfaisance chez les Helvètes. Ensuite, bientôt, il s'agira de plonger dans l'arène. Car les administrateurs du club réunis hier ont bien dû se résoudre à  l'évidence. A discuter toute une partie de la matinée, ils ont évoqué en priorité le dossier.

« Quelqu'un qui motivera tout ce petit monde »

« On ne peut rien révéler aujourd'hui, on fait face à  une procédure, a souligné le président Specht dans la soirée. Mais avec les noms qui ont été évoqués ces derniers jours, beaucoup, beaucoup, beaucoup de gens ont appelé. Je me contente de réaffirmer ce que j'ai déjà  dit. On comptera sur quelqu'un obligé de travailler avec des jeunes et qui motivera tout ce petit monde. » Le dialogue ne s'est donc pas limité au seul choix du technicien. Les grandes lignes du recrutement ont été évoquées. « Les gens travaillent sur différents dossiers », explique encore le nouveau n°1 du club. Mais ce qui est sûr, c'est que le nom de Gress pointe en pole position dans les échanges intervenus hier. Un administrateur l'a confirmé. Avec un poids non négligeable sur la question puisque Léonard Specht refuse de désigner « un entraîneur sans l'accord du principal actionnaire », Philippe Ginestet s'est quant à  lui contenté d'indiquer que son successeur « avait carte blanche, une carte totalement blanche, quel que soit le nom retenu » espérant simplement que « le dossier sera réglé rapidement. » C'est une question de compte-à -rebours, effectivement, alors que dans moins de deux semaines est programmée la reprise de l'entraînement, dans moins de huit, celle du championnat. Avec l'élu en passe d'être investi, le Racing sait néanmoins qu'il se confie à  l'un de ses plus fins connaisseurs. A l'un des artisans de sa plus grande réussite. Gress, cela n'a jamais paru aussi évident depuis quinze ans.

Gilbert Gress dans l'antichambre

Le 27 avril dernier, Gilbert Gress et Léonard Specht fêtaient à  la Meinau les 30 ans du titre du Racing. Demain, le second, devenu depuis président du club alsacien, devrait officialiser l'embauche de son ancien coach.

Alors que les discussions sont entrées hier dans une phase intensive, la signature de Gilbert Gress comme entraîneur du RCS semble imminente. Léonard Specht, le nouveau président strasbourgeois, devrait lever le voile demain matin.

Le suspense touche à  sa fin. Demain, les supporters strasbourgeois connaîtront enfin le nom du futur coach alsacien. Rien n'est officiel, mais trente ans après avoir remporté le titre de champion de France avec le RCS, Gilbert Gress est tout proche de retrouver le banc de touche de la Meinau. Si ce dernier, déjà  coach du Racing de 1977 à  1980, puis de 1991 à  1994, n'a pas encore signé, il s'est bien imposé, au fil des jours et des désistements, comme l'option prioritaire du président bas-rhinois, Léonard Specht.Les négociations entre le technicien alsacien et la direction du RCS sont désormais sur le point d'aboutir. Les discussions portent encore sur quelques détails comme la durée d'engagement. La charte de l'entraîneur impose dorénavant un contrat minimum de deux ans. Mais, rien n'empêche de se mettre d'accord sur un départ à  l'amiable au bout d'une saison, au cas où les résultats ne seraient pas au rendez-vous. Un point qui devrait rapidement se régler car Gilbert Gress ne fait pas de son retour à  Strasbourg une question de durée de contrat, ni d'argent, mais plutôt une affaire de challenge. Il serait même moins gourmand financièrement que certains autres prétendants. L'entraîneur des champions de France 1979, joint hier soir par téléphone, n'a pas souhaité confirmer l'information. « Je n'ai pas à  le faire car ça ne correspond pas à  la réalité. Je suis actuellement en Suisse. Demain soir (ndlr : ce soir) , je serai à  une soirée foot avec une équipe d'handicapés dont je m'occupe depuis quelque temps. »

Même son de cloche du côté du président, Léonard Specht, son ex-coéquipier et joueur à  Strasbourg. « Le choix n'est pas encore fait. Je suis désolé mais je ne pourrais rien vous annoncer avant mercredi. » La raison de ce mutisme, toujours la même depuis deux semaines, est toute simple : cet après-midi se déroule à  Paris, devant la commission juridique de la Ligue de Football Professionnel, la réunion de conciliation entre celui qui est toujours coach, Jean-Marc Furlan, et son futur ex-club. Toute communication avant l'officialisation du départ de ce dernier pourrait être préjudiciable au Racing. Une fois cette réunion terminée et la lettre de licenciement envoyée au technicien girondin, Léonard Specht pourra alors librement annoncer la nomination – la 50 e de l'ère professionnelle du RCS depuis 1932 – du futur coach strasbourgeois.

Une délégation chez Laporte

Pour cela, il faudra donc attendre mercredi. D'autant qu'une délégation strasbourgeoise, menée par Léonard Specht et Philippe Ginestet, accompagnés de Roland Ries, le maire de Strasbourg et Jacques Bigot, le président de la CUS, sera reçue aujourd'hui au Ministère de la Santé et des Sports par le secrétaire d'Etat chargé des Sports, Bernard Laporte pour une discussion au sujet du nouveau stade en vue de l'Euro 2016. Sauf retournement de situation, Gress sera bien l'homme à  poigne, chargé de l'opération « remontée en Ligue 1 » la saison prochaine, appelé de ses vÅ“ux par « Léo » Specht. À 67 ans, il retrouverait alors un poste d'entraîneur deux ans après une brève mais probante expérience au FC Aarau (Suisse), qu'il avait sauvé de la relégation en fin de saison 2006-2007. En cas de nouveau rebondissement, plusieurs autres pistes seraient encore gardées en réserve par le club alsacien. Selon son entourage, Luis Fernandez est toujours intéressé par le challenge strasbourgeois. Même si la signature de « Schilles » parait n'être qu'une question d'heures, la période troublée que traverse le Racing incite à  un minimum de prudence.

Olivier Arnal

[argueti]

[obelix]

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[télésupporteur]

résume

[Gotcha]

il manque la citation associée à  l'image d'argueti : "le premier qui moufte, 20 tours de terrain f'tomi !"