Euh aucun, non

Je pense qu'a l'époque ou Afflelou voulait placer ses billes dans le RCS il aurait été judicieux de les accepter...

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Erreur,Afflelou voulait que le Racing fasse un emprunt.franck68 a écrit :Ginette a peut être des pions! mais combien en a-t-il placé sur le Racing?
Euh aucun, non
Je pense qu'a l'époque ou Afflelou voulait placer ses billes dans le RCS il aurait été judicieux de les accepter...


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http://www.dna.fr/une/2561713.htmlRacing: de qui se foot-on?
Ce Racing est décidément indécrottable! Car piquer sa crise au bout d'une journée de championnat, c'est à verser dans les annales non seulement du club, mais du football français tout entier. Et tout ça pourquoi? Pour des querelles internes, des luttes d'influence, des egos à satisfaire, à abreuver. Et une nouvelle fois, toute la France se bidonne.
Le Racing, Marseille de l'Est? Il faut remettre les compteurs à jour: depuis l'erreur historique d'avoir deshabillé Roland pour habiller Patrick et Mic-Mac Cormack, il serait plus juste d'inverser les rôles et d'appeler l'OM, le Racing du Sud.
Surtout à un moment où le yacht phocéen, archi-favori pour le titre en L1 retrouve rigueur et stabilité, contrairement au frêle esquif alsacien déjà en pleine tourmente et qui ressemble ce matin à une coquille vide.
C'est vrai qu'un club de football, et notamment celui de Strasbourg, constitue une vitrine extraordinaire qui rayonne sur toute une ville, toute une région, voire même au delà . Alors avoir les clés du magasin, c'est forcément détenir le trousseau du pouvoir.
Très franchement, peu m'importe aujourd'hui de savoir qui a tort, qui a raison, qui tire les ficelles, qui manipule qui, qui roule pour qui, qui savonne la planche de qui, qui commandite les porte-flingues.
Aujourd'hui, le Racing club de Strasbourg est une grenade dégoupillée. Au nom de tous les supporters, de tous les amoureux du foot alsaciens, dont je trouve la patience presque angélique, je tiens à remercier ces poseurs de bombe, ces creuseurs de tombe qui vont réussir à transformer le Racing en mort-vivant.
Déjà que sportivement la tâche ne s'annonçait pas simple pour une opération remontée, ce nouveau coup de Trafalgar venu des coulisses a sans doute plombé la saison. Car Gilbert Gress a au moins raison sur un point quand il dit: "Ou on veut que le club s'en sorte, ou on veut qu'il crève!"
Et si on parlait juste de maintien et de survie?
Patrick Schwertz


DNA a écrit :Règlements de comptes à OK Meinau
C'est peut être l'une des plus graves crises de son histoire que le Racing s'apprête à vivre. Car elle ne risque pas que de toucher le compartiment sportif et son entraîneur.
A la suite de la guerre d'intention déclarée par Gilbert Gress au lendemain de la défaite en championnat contre Châteauroux (1-2), l'entraîneur strasbourgeois s'est délibérément placé sur un siège éjectable et il le sait.
"Il n'y a pas de grand club, sans grand président", a coutume de dire Gilbert Gress. Pour lui, Philippe Ginestet n'en est pas un. Mais c'est l'actionnaire principal et l'entraîneur un salarié. A ce titre, les jours de GG sont donc comptés.
Au point d'alimenter la rumeur Papin (il faudrait quand même peu de fierté à l'ancien président du Racing pour reprendre JPP qu'il a quand même viré malgré la montée en L1). D'autres serpents de mer ont également refait surface: Luis Fernandez, l'éternel faiseur de miracles, Alain Giresse occupé à qualifier le Gabon pour la Coupe du monde 2012, Laurent Roussey qui n'a pas eu suffisamment la main verte à Geoffroy-Guichard.
Mais en coulisses, les pro-Gress s'activent également. Philippe Ginestet qui voici quelques semaines était plus proche d'un retrait via la vente de ses parts a repris du poil de la bête exaspéré semble-t-il par la méthode Gress, ses atermoiements à enrôler des joueurs proposés par la cellule de recrutement (Grax, Modeste, Dembelé) et ses rapports tendus avec certains cadres (Gargorov, Marcos bizzarement non apparu contre Châteauroux, Bezzaz).
Du coup, les partisans de Gilbert Gress préparent la contre-attaque. C'est un secret de polichinelle, l'ancien entraîneur du Xamax apprécie beaucoup Jacky Kientz et inversement. Les deux hommes avaient déjà travaillé ensemble et celui qui fut président du Racing a même convaincu un pool d'investisseurs pour redorer le blason du Racing.
Un protocole d'accord existerait même dans ce sens avec Philippe Ginestet avec le ticket Gress-Kientz à la barre, même si dans cette configuration Léonard Specht conservait son fauteuil de président.
Jusqu'à ce que le bras de fer Gress-Ginestet vienne brouiller les cartes... et changer la donne. Au point qu'aujourd'hui Jacky Kientz qui ne devrait plus avancer trop longtemps masqué et son pool d'investisseurs seraient prêts à tenter un putsch pour obliger Philippe Ginestet à se soumettre ou à se démettre.
Ce règlement de comptes à OK Corral-Meinau ne fait que commencer. On a juste une pensée pour les joueurs qui jeudi se déplacent à Laval dans un climat bien pourri...

