Conflit Gress / Ginestet
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Re: Conflit Gress / Ginestet
Il est lourdement responsable... il crie partout depuis des semaines qu'il décide de tout et maintenant tout est de la faute de Ginestet... d'autant qu'il n'en est pas à son coup d'essai... Quand il échoue, c'est toujours la faute des autres ( joueurs, dirigeants qui n'ont pas fait comme il a voulu... ). Même si je ne suis pas un fan de Ginestet, il a quand même raison quand il dit que Gress a validé les choix de Pichot et Sikimic... par ailleurs il semble assez évident que Pelé ne peut être qu'un remplaçant. Comment dans ces conditions, peut-on vouloir joueur en 4-3-3, ne pas donner la priorité au recrutement d'autres défenseurs et laisser partir des joueurs sous contrat ?? Et je passe sur ces discours catastrophiques et son égo surdimensionné...
Second is the first looser
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Re: Conflit Gress / Ginestet
Validé Pichot et Sikimic ... tout en refusant Grax et Modeste ! Je me répète, mais j'y tiens pour Modeste, que je trouve très bon 
- argueti
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Re: Conflit Gress / Ginestet
L'Alsace a écrit :Le Racing en état de guerre
La saison débute à peine que rien ne va plus au sein du club phare du football alsacien. Après les virulentes attaques de l'entraîneur Gilbert Gress (ci-dessus au centre en compagnie du président Léonard Specht) contre l'actionnaire majoritaire Philippe Ginestet (« L'Alsace » d'hier) les règlements de compte ont continué ce dimanche. Les bombes verbales sont tombées dru. La guerre fait rage et ne se terminera pas sans dommages collatéraux. L'ancien président Jacky Kientz (de janvier 1990 à septembre 1992), promoteur d'un projet de reprise (photo de gauche) et ami proche de Gress, a ainsi volé au secours du technicien en stigmatisant les méthodes de l'investisseur immobilier, qu'il n'hésite pas à qualifier de menteur et de fossoyeur.
De son côté, Philippe Ginestet (à droite) a rencontré dans la matinée son successeur, Léonard Specht. Devant la gravité de la situation, ce dernier, dont le mutisme absolu depuis 48 heures irrite, a convoqué un conseil d'administration extraordinaire ce mercredi après-midi. Le limogeage de « Schilles » devrait y être entériné, moins de deux mois après son intronisation à la tête de l'équipe. Le retour de Ginestet à la présidence semble lui aussi imminent, alors que celui de Jean-Pierre Papin au poste de coach est plus qu'une hypothèse d'école. Difficile, dans ces conditions, pour Steven Pelé (de dos en haut), Nicolas Fauvergue (dépité à ses côtés) et des Strasbourgeois déjà moralement atteints de préparer sereinement le déplacement capital de ce jeudi (20 h 30) à Laval pour la 2e journée de Ligue 2. A l'image de son gardien et capitaine Stéphane Cassard, blessé (photo du bas), le Racing est à terre. Il dégage l'impression détestable d'avoir touché le fond. Pourtant, il creuse encore. Peut-être sa propre tombe.
Un processus irréversible
Alors qu'une guerre ouverte fait rage entre l'entraîneur Gilbert Gress et l'actionnaire majoritaire Philippe Ginestet, le conseil d'administration du RCS se réunira mercredi en fin d'après-midi. Il devrait entériner le départ du coach et le retour de l'investisseur immobilier à la présidence.
Au feu ! La maison bleue brûle. Sportivement, le début de saison est catastrophique. En coulisses, l'actionnaire majoritaire Philippe Ginestet et l'entraîneur Gilbert Gress se sont lancés depuis samedi, à l'initiative du coach champion de France 1979, dans un remake de « Règlements de comptes à OK Corral ». L'édifice Racing est d'autant plus proche de l'effondrement que ses fondations n'ont jamais paru aussi friables.
Hier, après l'offensive en règle de Gress contre Ginestet samedi midi à la Meinau, au lendemain de l'échec à domicile contre Châteauroux (1-2), le propriétaire du RCS a rencontré celui à qui il avait cédé la présidence le 6 juin, Léonard Specht. Une entrevue « d'une demi-heure, pour faire le point », selon Ginestet, dont la teneur n'a pas filtré. Tout juste l'actionnaire principal a-t-il consenti cette révélation : « À la suite des propos tenus par Gilbert Gress dans la presse, Léonard Specht a convoqué un conseil d'administration extraordinaire pour ce mercredi en fin d'après-midi. Je n'ai rien à ajouter. Léonard va orchestrer cette réunion. Je respecte la hiérarchie et la procédure. »
Gress : « Si tout le monde avait mon courage… »
Voilà . Fermez le ban. Dans l'après-midi, Gilbert Gress s'est à son tour entretenu avec Specht. « Ce que nous nous sommes dit ? C'est à lui de vous le dire. Demandez-le lui. » Toute la presse hexagonale en a eu l'idée hier. Mais le nouveau président a préféré faire le mort, ce qui, après tout, correspond parfaitement à l'image de club moribond que véhicule le Racing depuis quelques semaines (voir par ailleurs).
En 24 heures, « Schilles », lui, n'a pas renoncé à ses attaques contre Ginestet. « Mon président, c'est Léonard Specht. Quelqu'un d'autre, majoritaire, veut me démolir. Je n'accepte pas qu'il me traite ainsi, ni qu'il cherche à me salir. Vous vous rendez compte de ce qu'on fait dans mon dos. Je suis revenu parce qu'on me l'a demandé, pour aider ce club et donner du bonheur aux gens. Aujourd'hui, on me met des bâtons dans les roues. Et il faudrait que je l'accepte sans rien dire. C'est mal me connaître. Si tout le monde avait mon courage, bien des gens auraient des choses à dire. J'ai en face de moi quelqu'un qui s'est retiré, a annoncé publiquement son intention de vendre, mais qui continue à agir en coulisses. Il est propriétaire du club, mais la question n'est pas là . Le problème est de savoir s'il reste une moralité dans le foot. Je ne suis pas d'accord avec ceux qui pensent que le fric peut tout régenter. Si je dois sortir, je sortirai la tête haute. »
Une extrémité qu'il n'envisage cependant toujours pas. « La question ne se pose pas de savoir si je dois quitter le Racing ou y rester. J'ai à préparer un match très important à Laval ce jeudi. C'est un premier tournant. » Comment l'effectif va-t-il pouvoir préparer ce voyage en Mayenne, sachant que la tête de l'entraîneur a toutes les chances de rouler sur le billot mercredi en conseil d'administration ? Poser la question, c'est déjà y répondre. Sauf surprise, le sort de Gilbert Gress est scellé. Le retour de Philippe Ginestet à la présidence se profile lui aussi à l'horizon de ce mercredi. Mais pendant 72 h, le Racing va encore une fois verser dans le pathétique et être la risée de la France du football. Pourtant, quand les hyènes s'entretuent, il n'y a pas de quoi rire.
Stéphane Godin
L'histoire est en marche ...
- argueti
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Re: Conflit Gress / Ginestet
DNA a écrit :Après la tempête, avant la tempête
Au lendemain du coup de sang de Gilbert Gress, une forme d'accalmie trompeuse a régné sur le Racing. Cette semaine, les grandes manoeuvres vont reprendre, avec leur lot de changements, à tous les niveaux. Du côté de la Meinau, c'est quasiment l'année zéro.
Le Racing n'en finit pas de jouer les pâles copies, les tristes copies. Dix jours après avoir subi une monumentale fessée à Istres (6-1), dans l'anonymat le plus total, à quelques kilomètres du vrai coeur du foot provençal, le club alsacien se plaît à mimer à nouveau l'OM avec une face de clown triste. Quand le club phocéen multiplie les crises pour demeurer, grosso modo, dans le top 5 hexagonal depuis plus de vingt ans, accumulant les titres, les places d'honneur et alignant une équipe rutilante, l'alsacien n'en finit pas de faire peine à voir. Ces jours-ci, le Racing, OM de l'Est, le Racing, OM du pauvre, a toutes les apparences de la coquille de noix dans un ouragan. On se souvient que le Marseille du Tapie acte II avait fait sensation en étant le théâtre d'un limogeage inédit. Tomislav Ivic, remplacé par José Anigo, avait pris la porte deux jours avant le premier match de championnat au mois de juillet 2001.
Le club strasbourgeois ne tourne pas rond
Huit ans après, le Racing, sans craindre le ridicule, ne réussira même pas à faire pire. Il prépare un changement à sa direction sportive après... un match de L 2 (1-2), cette funeste défaite face à Châteauroux qui a mis en lumière combien le club strasbourgeois ne tourne pas rond. C'est inéluctable. Gilbert Gress s'en est pris de manière virulente, non pas à son patron, mais à la tutelle de son patron. Hier, l'entraîneur s'est montré un peu plus édulcoré dans l'amertume du propos. Les grandes orientations de son discours n'ont néanmoins pas changé. L'actionnaire majoritaire l'entrave dans sa liberté d'agir. « Concernant les joueurs proposés (ndlr : notamment par la cellule de recrutement), je tiens à souligner que j'ai eu d'abord un souci de dégraisser. Et on m'a proposé des éléments qu'il fallait payer jusqu'à 60 000 euros. Franchement, ce n'est pas raisonnable », a indiqué Gress avant de conclure : « Maintenant je prépare l'équipe pour Laval, avec des solutions tactiques à trouver ». S'il sera présent tout à l'heure, sur la pelouse d'entraînement, son cas apparaît réglé. Ses jours sont comptés. L'adjoint de Gress, Pascal Janin, qui couvre d'ailleurs le futur limogé sur les feuilles de match, fait office de candidat naturel à la succession. En interne, dans des cercles où les réseaux de Philippe Ginestet continuent de s'activer, la solution Janin n'a pas que des partisans. Elle a même tous les défauts. L'adjoint de Gilbert Gress, vanté par son supérieur pour sa loyauté, incarnerait une survivance du court épisode en passe de s'achever. Si Janin a prouvé une réelle capacité à travailler avec les jeunes, ce qui s'avère indispensable au regard de l'effectif du Racing, le technicien à la moustache ne peut, non plus, afficher le crédit d'une incontestable réussite. Il a sauvé Brest de la descente voilà deux saisons, mais a échoué à l'heure de faire franchir un cap au Stade breton. Et le club strasbourgeois doit continuer de jouer la montée selon son actionnaire majoritaire. Les pronostics quant à l'identité du prochain élu vont bon train. Au Racing, on a définitivement pris le parti du « people » sur un banc. Dans un silence assourdissant, puisque Léonard Specht a joué les absents tout le week-end pendant que son club coule, des techniciens aux profils baroques sont entrés en piste. Cela tombe bien : le futur élu fera contre-feu. Car ce n'est pas seulement la direction sportive qui se retrouve dans l'oeil du cyclone depuis trois, voire dix, jours. Les dysfonctionnements au sein du club apparaissent au grand jour. Le cas Gress cristallise le caractère boiteux de la réorganisation opérée le 6 juin dernier et la démission de Philippe Ginestet de la présidence.
Depuis 48 heures, le président Léonard Specht est injoignable
Depuis 48 heures, le président Léonard « Faites comme si je n'étais pas là » Specht est injoignable. Un membre du conseil d'administration a lâché dans une boutade : « Il y a trois mois, le voeu le plus cher de Léo était de devenir le président du club. Aujourd'hui, le voeu le plus cher de Léo, c'est de ne plus l'être. » Il s'agit de relativiser le bon mot. Le directeur des ressources humaines chez Lohr Industrie n'était pas demandeur pour occuper le poste de n°1 au Racing. Il devrait avoir l'occasion de s'effacer, dès mercredi, et la tenue d'un conseil d'administration, dont la date a été décidée hier. La réunion des décideurs du club correspondra à une nouvelle révolution. Selon toute probabilité, elle mettra fin à « Gress entraîneur » acte III et marquera le début de « Philippe Ginestet président » acte II. En toute logique, la rénovation de fond en comble interviendra mercredi soir... à la veille du 2e match de championnat, à Laval, où le Racing a une occasion de prouver qu'il est en mesure de décoller cette saison. Avec des joueurs qui ont montré un attachement tout relatif à sauver le club lors de leurs deux premières sorties officielles, un entraîneur condamné et un président bientôt limogé, le Racing ne ressemble plus à grand-chose. Il n'est peut-être simplement plus grand-chose.
François Namur
L'histoire est en marche ...
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johnromyh
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Re: Conflit Gress / Ginestet
La lecture de la presse locale du jour appelle quelques commentaires :
- tous les articles accréditent la thèse d'un retour de Ginestet à la tête du club. Démarche pour le moins étonnante, si l'on se souvient de ses déclarations de l'époque et du constat d'échec dressé au soir d'une défaite à Montpellier. L'explication tient sans doute à un désir de vouloir reprendre la main avant la revente de ses actions.
- un élément intéressant est apporté par J.Kientz : il existerait un accord liant Ginestet et Lohr accordant selon toute vraisemblance à ce dernier un droit de préemption lors de la vente des parts du premier. D'où la nomination de Specht, homme-lige de Lohr, à la présidence.
- Léo réunit mercredi seulement un conseil d'administration. On peut supposer que ce délai n'a pour seule motivation que celle d'offrir un temps de réflexion supplémentaire à Lohr : achat des parts de Ginestet, remise en cause du "contrat" passé entre eux, avenir de Gress, entretiens avec les membres du directoire hostiles à Ginestet...?
Soyons clair : l'hypothèse de l'éviction de Gress et de Janin, la démission de Specht, le retrait de Lohr du pool d'actionnaires seraient une catastrophe absolue pour l'institution.
En disant cela, je ne juge pas les personnes, ni même leurs compétences mais l'onde de choc que leur départ conjoint provoquerait. A ce sujet, le silence de la mairie est assourdissant. Ries doit entrer en scène et faire valoir les intérêts supérieurs du club et le droit de la ville à venir mettre son nez dans cette histoire.
Le scénario le plus souhaitable serait, selon moi, le rachat rapide des parts de Ginestet par Lohr lui-même, quitte à ce que celui-ci les revende dans quelques mois après l'audit souhaité par Kientz.
Le maintien de Gress et de Specht aux commandes, l'ouverture du capital à de nouveaux investisseurs.
Le scénario le pire serait un retour des frères Ginestet et l'arrivée d'un entraîneur disposant d'un contrat sur deux ans mais en réalité placé sur un siège éjectable.
Le sérieux dégagé par l'homme d'affaire et la justesse apparente des propos de Ginestet (en général) depuis quelques années ne doivent pas nous faire oublier les conditions de son arrivée à la tête du club. Dois-je les rappeler? Rejet de la candidature d'Afflelou par Keller, retrait de Gindorf pour raisons de santé, plein-pouvoir donné à Keller qui s'engage quelques semaines plus tard à l'ASM après avoir refilé les clés à Ginestet, avec qui il était en guerre quelques mois plus tôt. Eviction de Philippe Thys, mise en place de Pierre Ginestet à la tête de la cellule recrutement. Je vous passe la liste d'hommes "de terrain" placés aux postes-clés de l'administratif.
Ginestet, malgré tout le respect que j'ai pour lui, est en train de flinguer ce club plus sûrement que qui que ce soit ne l'avait fait avant lui.
Il doit s'en aller et respecter sa parole : ne plus gouverner et vendre ses parts.
- tous les articles accréditent la thèse d'un retour de Ginestet à la tête du club. Démarche pour le moins étonnante, si l'on se souvient de ses déclarations de l'époque et du constat d'échec dressé au soir d'une défaite à Montpellier. L'explication tient sans doute à un désir de vouloir reprendre la main avant la revente de ses actions.
- un élément intéressant est apporté par J.Kientz : il existerait un accord liant Ginestet et Lohr accordant selon toute vraisemblance à ce dernier un droit de préemption lors de la vente des parts du premier. D'où la nomination de Specht, homme-lige de Lohr, à la présidence.
- Léo réunit mercredi seulement un conseil d'administration. On peut supposer que ce délai n'a pour seule motivation que celle d'offrir un temps de réflexion supplémentaire à Lohr : achat des parts de Ginestet, remise en cause du "contrat" passé entre eux, avenir de Gress, entretiens avec les membres du directoire hostiles à Ginestet...?
Soyons clair : l'hypothèse de l'éviction de Gress et de Janin, la démission de Specht, le retrait de Lohr du pool d'actionnaires seraient une catastrophe absolue pour l'institution.
En disant cela, je ne juge pas les personnes, ni même leurs compétences mais l'onde de choc que leur départ conjoint provoquerait. A ce sujet, le silence de la mairie est assourdissant. Ries doit entrer en scène et faire valoir les intérêts supérieurs du club et le droit de la ville à venir mettre son nez dans cette histoire.
Le scénario le plus souhaitable serait, selon moi, le rachat rapide des parts de Ginestet par Lohr lui-même, quitte à ce que celui-ci les revende dans quelques mois après l'audit souhaité par Kientz.
Le maintien de Gress et de Specht aux commandes, l'ouverture du capital à de nouveaux investisseurs.
Le scénario le pire serait un retour des frères Ginestet et l'arrivée d'un entraîneur disposant d'un contrat sur deux ans mais en réalité placé sur un siège éjectable.
Le sérieux dégagé par l'homme d'affaire et la justesse apparente des propos de Ginestet (en général) depuis quelques années ne doivent pas nous faire oublier les conditions de son arrivée à la tête du club. Dois-je les rappeler? Rejet de la candidature d'Afflelou par Keller, retrait de Gindorf pour raisons de santé, plein-pouvoir donné à Keller qui s'engage quelques semaines plus tard à l'ASM après avoir refilé les clés à Ginestet, avec qui il était en guerre quelques mois plus tôt. Eviction de Philippe Thys, mise en place de Pierre Ginestet à la tête de la cellule recrutement. Je vous passe la liste d'hommes "de terrain" placés aux postes-clés de l'administratif.
Ginestet, malgré tout le respect que j'ai pour lui, est en train de flinguer ce club plus sûrement que qui que ce soit ne l'avait fait avant lui.
Il doit s'en aller et respecter sa parole : ne plus gouverner et vendre ses parts.
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Re: Conflit Gress / Ginestet
Moi je pense que la nomination de Specht était une grosse erreur. Et celle de Gress une deuxième ! Alors continuer sur cette voix serait 1 catastrophe pure et simple pour le racing. On a un président dont le mutisme tue qui se laisse marcher dessus par tout le monde sans s'imposer. Sans parler de cet entraineur qui fait fuir tous les joueurs, qui refuse toutes les recrues et qui après se plaint de ne pas avoir une équipe compétitive. Gress et Specht ont peut-être l'air de victimes face à Ginestet mais pour moi ils sont surtout de profonds incompétents qui mènent le racing tout droit vers le championnat National. Oui au retour de Ginestet qui doit malgré tout réviser ses méthodes !
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johnromyh
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Re: Conflit Gress / Ginestet
En gros, Ginestet doit revenir mais en changeant de personnalité...

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Re: Conflit Gress / Ginestet
A mourir de rire, quelle tristesse pour ce club, si Specht dépose les armes et pousse Lohr et son groupe d'actionnaires à quitter le club, c'est le désasastre absolu pour le club... Ginestet est en train de couler complètement ce club, Ginestet a jeté de la poudre aux yeux de tous, du statut de sauveur alsacien, il est en train de faire pire que Proisy et Mc Cormack... Depuis l'arrivée du glouton et mégalo Ginestet dans ce club, des personnages attachés et actifs dans ce club depuis de nombreuses années comme Keller, Gress et maintenant Specht vont lâcher prise, pathétique... Bravo Mr Ginestet !!!
Mieux vaut une bière qui fait pisser qu'une femme qui fait chier (P. Heineken)
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johnromyh
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Re: Conflit Gress / Ginestet
Merci!
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piasecki
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Re: Conflit Gress / Ginestet
Affligeant mais tellement prévisible
GINESTET a l'air de se complaire dans le conflit , dans les coups tordus .
La liste est trop longue pour être dû au hasard:
Prise en main du club dans des conditions pour le moins rocambolesques, népotisme avec le placement de son frère Pierre dans le cellule de recrutement (Il y connait quoi Pierre en transferts ses connaissances footbalistiques sont légendaires, son sens de la négociation est une denrée rare et ses compéteces juridiques et fiscales sont conues du monde entier), choix capricieux d'entraineur puis limogeage hasardeux de mêmes entraineurs qui coutent des somes folles parce qu'on ne maîtrise pas les règles élémentaires de la rupture du contrat de travail, recrutement qi relève du cirque, moyens financiers en berne, affairisme patnt mais également amateurisme dans le projet du nouveau stade, résultats sportifs médiocrimes, aucune vision ,etc
Et puis ce syndrome de jospin ( je me retire mais je reviens) est d'un ridicule qui n'a d'égal que l'égo surdimensionné de ce président qui va nous emmener en National
Gilbert GRESS n'est evidement pas exempt de tout reproche mais bon
On est allé le chercher , on savait comment il est, comment il fonctionne, comment il mène l'équipe.
IL y a quelques années, une blague circulait en ville :: il fait donner un nom au stade certains proposait LEs Misérables
Le Racing c'est vraiment n'importe quoi

GINESTET a l'air de se complaire dans le conflit , dans les coups tordus .
La liste est trop longue pour être dû au hasard:
Prise en main du club dans des conditions pour le moins rocambolesques, népotisme avec le placement de son frère Pierre dans le cellule de recrutement (Il y connait quoi Pierre en transferts ses connaissances footbalistiques sont légendaires, son sens de la négociation est une denrée rare et ses compéteces juridiques et fiscales sont conues du monde entier), choix capricieux d'entraineur puis limogeage hasardeux de mêmes entraineurs qui coutent des somes folles parce qu'on ne maîtrise pas les règles élémentaires de la rupture du contrat de travail, recrutement qi relève du cirque, moyens financiers en berne, affairisme patnt mais également amateurisme dans le projet du nouveau stade, résultats sportifs médiocrimes, aucune vision ,etc
Et puis ce syndrome de jospin ( je me retire mais je reviens) est d'un ridicule qui n'a d'égal que l'égo surdimensionné de ce président qui va nous emmener en National
Gilbert GRESS n'est evidement pas exempt de tout reproche mais bon
On est allé le chercher , on savait comment il est, comment il fonctionne, comment il mène l'équipe.
IL y a quelques années, une blague circulait en ville :: il fait donner un nom au stade certains proposait LEs Misérables
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