[Ex] Loïc Damour

[télésupporteur]

comme dna audio
mais pas FBA
et comme maintenant le racing passe à  la télé

[urotsukidogi]

Attention quand même les matchs sont décalés sur Alsatic

[Keating]

Loïc Damour a été sélectionné en équipe de France des moins de 18 ans pour une double confrontation amicale face à  l'Espagne (19-21 mai). Il sera indisponible pour le match contre Boulogne.

En sélection il a sa place au moins !

[silex57]

Ouais je trouve en règle général qu'on a quand même assez souvent des jeunes en sélection et étonnamment ça ne se confirme pas en senior ....

[supppourtjs]

Tu penses à  Carlier, Schneider ect ect je suppose.

[kranjcar]

On a un gros soucis de fin de formation, si cela se répand c'est la mort du centre.
Nos jeunes jouent peu, s'entraînent avec des joueurs moyens et sonn reléguer sur le banc voir hors du groupe
par des recrues du même niveau que nos titulaires.
Il suffit de voir que le jeune qui s'est le plus vite imposé cette saison c'est celui qui pour seul concurent avait un autre jeune qui a lui aussi montré du talent avant de se blesser pour comprendre a quel point tout cela est très mal géré.

[kranjcar]

est ce que carlier aurait fait moins bien que nemeth? ou plus proche que dja djedje...

Tu penses à  Carlier, Schneider ect ect je suppose.

[argueti]

Faut pas pousser non plus, pour ce que j'ai vu de lui en CFA, c'est pas folichon, il n'a pas sa place sur le banc pour le moment ...

Peut être qu'en EDF il se déchire mais en CFA c'est trop limité

[Keating]

Damour, l'esprit de revanche

Ils sont légion, les minots du Racing qui espèrent franchir un cap et gagner la confiance de Gilbert Gress. A l'image de Loïc Damour, prometteur milieu de terrain âgé de dix-huit ans et benjamin de l'équipe, les jeunes pousses débordent d'ambition à  l'heure de la reprise.

Cette saison, le Racing n'a guère le choix. Sans le sou, à  l'orée d'une deuxième année en Ligue 2, le club strasbourgeois devra essentiellement composer avec les moyens du bord. Et puiser dans son vivier de jeunes qui piaffent d'impatience à  l'idée de prouver leurs qualités.

Du haut de leurs vingt ans, avec toute l'insouciance qui les caractérise, ils rêvent de lancer pour de bon leur carrière. « On me dit qu'ils en veulent, qu'ils sont motivés, eh bien tant mieux, sourit Gilbert Gress. Pour moi, l'âge n'est pas un critère de choix. A eux de jouer et de me montrer qu'ils sont bons. » L'an dernier, Jean-Alain Fanchone, Quentin Othon et Mamadou Bah avaient franchi le pas en s'installant à  demeure dans l'équipe de Jean-Marc Furlan. D'autres, comme David Ledy, Simon Zenke ou Magaye Gueye ont vécu les premiers balbutiements en se contentant de quelques bribes de match. Contraints à  l'exil sous forme de prêt, Romain Gasmi (Southampton) et Anthony Weber (Paris FC) n'en reviennent que plus motivés. Tous veulent convaincre le nouvel entraîneur que leur place est sur le terrain. Loïc Damour, le benjamin de la cohorte issue du centre de formation - c'est le seul « 91 » à  être déjà  passé pro -, avoue, lui, attaquer la nouvelle saison « avec la rage au ventre. » Lancé par Furlan en août dernier, apparu à  cinq reprises lors de la première moitié de saison avant de disparaître de la circulation, le prometteur milieu de terrain, doté d'une technique chatoyante, est remonté comme une pendule. « Je ne considère pas que ma carrière est lancée, puisque je n'ai pas passé plus d'une mi-temps sur le terrain au cumul du temps de jeu, dit le natif de Chantilly. Vous pouvez l'écrire, je méritais de jouer plus. J'ai mal vécu ma mise à  l'écart après la trêve hivernale. » Inamovible cadre en équipe de France des jeunes - « je n'ai manqué qu'une sélection en trois ans », précise celui qui évolue désormais sous les ordres de Francis Smerecki en moins de 19 ans - Damour n'a pas la langue dans sa poche. C'est peut-être ce qui lui a joué un mauvais tour. « En décembre, je suis allé dans le bureau de Furlan pour exprimer mon mécontentement, ajoute-t-il. Même si j'ai été blessé un mois, il ne m'a plus jamais rappelé. Il a fait ses choix, et je ne les critique pas. Mais si je le recroise un jour, je lui demanderai des explications. » Sur fond d'embrouillamini entre agents - celui de Furlan souhaitant "récupérer" le gamin en cours de saison -, Damour ronge son frein jusqu'en mai.

« Pour peu qu'on me donne ma chance, je prendrai ma revanche »

L'annonce du départ du coach girondin refrène ses velléités de départ. « Je ne connaissais pas M. Gress, je ne savais pas qu'il était champion ici il y a trente ans, mais le premier ressenti est bon, assure-t-il. Pour peu qu'on me donne ma chance, je prendrai ma revanche. J'ai envie de m'imposer au Racing. » Dans le système de jeu offensif prôné par le nouvel entraîneur, Damour espère trouver sa place. Le rôle de « 8 », relais entre la défense et l'attaque, semble taillé à  sa mesure. Si ça se trouve, sa forte personnalité - « je suis franc, entier, mais je dois apprendre à  fermer un peu ma gu... », rigole-t-il - pourrait plaire à  Gress. Comme pour les autres minots de la maison bleue, la balle est dans son camp, désormais.

Il y a 15ans, Gress avait lancé les Dacour, Djetou et Ismael (il me semble), ils s'étaient tous rapidement imposés, j'espère qu'il en sera de même pour nos jeunes cette année !

[Pinon]

Loïc Damour a été convoqué en Equipe de France des moins de 19 ans pour disputer, du 4 au 14 septembre la Sendaï Cup au Japon.

L'équipe dirigée par francis Smerecki affrontera le pays hôte (le 9 septembre), la Corée du Sud (le 12) et le Brésil (le 13).

Le jeune milieu de terrain loupera donc la 6e journée de L2 et le déplacement du Racing à  Nantes, le lundi 14 septembre.