Les villes connues le 11 novembre
Les villes retenues (9 et 3 de réserve) pour figurer dans le dossier de candidature de la FFF à l'organisation de l'Euro 2016 seront connues le 11 novembre lors du Conseil fédéral, annonce L'Equipe. Dans cette perspective, le président des Girondins de Bordeaux, Jean-Louis Triaud, a déjà proposé d'investir «100 millions d'euros» dans le projet de construction d'un nouveau stade.
[Euro 2016] Candidature de Strasbourg
- argueti
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Re: [Euro 2016] Candidature de Strasbourg
DNA a écrit :En ballottage favorable
La France est favorite pour l'organisation de l'Euro 2016 et le stade strasbourgeois pressenti pour accueillir des matches de l'épreuve européenne. Dans une semaine, cette dernière tendance devrait se confirmer.
Il ne s'agit pas de sabrer le champagne avant l'heure. Mais franchement, on ne voit pas comment la capitale européenne pourrait passer à côté du championnat d'Europe de football, s'il devait être organisé dans l'Hexagone en 2016. Dans une semaine, à Paris, parmi les seize candidats déclarés pour accueillir l'Euro dans sept ans, quatre seront écartés. Y aura-t-il plus de précision ? Rien n'est moins sûr. Sans doute refroidi par le camouflet enregistré par le Comité National Olympique pour les JO 2012 finalement attribué à Londres, la Fédération Française de Football a choisi de marcher sur des oeufs et de ne pas jouer les fiers-à -bras avant l'heure. Dans ce sens, l'organisation fédérale souhaite pouvoir compter sur tous ses forces pour avancer en rangs serrés jusqu'au printemps prochain quand l'organisation sera attribuée par le comité exécutif de l'UEFA. Or, si douze sites seront retenus dans une semaine, ils n'auront pas tous le loisir d'accueillir des acteurs de l'Euro.
Quatre villes s'avancent avec des raisons toutes relatives d'y croire
Trois stades seront considérés en réserve, prêts à prendre le relais d'un projet dans l'impasse. Les pronostics vont bon train et on a déjà vu des tendances se dessiner, avant même que Jean-Pierre Escalettes, le président de la FFF, et Frédéric Thiriez, celui de la Ligue, n'aient entamé leur tour de France des villes candidates. Cet été, un premier document confidentiel a été publié et a même donné lieu à des commentaires enflammés, notamment de la part des politiques, alors qu'il avait été rédigé en juillet. Depuis, la situation de l'un ou l'autre stade a évolué, Nantes a officiellement jeté l'éponge, et quatre villes avancent vers le 11 novembre et la publication du premier verdict avec des raisons toute relatives d'y croire.
Nanterre, Metz et Montpellier sont lestés de handicaps presque rédhibitoires, quand Rennes n'a pas montré un zèle démesuré à constituer « LA » candidature de l'ouest de la France. En ce sens, la présence strasbourgeoise parmi les douze élus apparaît quasiment assurée. Il s'agit néanmoins d'être dans les neuf. Et si Toulouse, Lens et St-Etienne présentent le profil idéal du réserviste (la première ville pour remplacer éventuellement Bordeaux, la 2e pour Lille et la 3e pour Lyon), il n'est pas exclu qu'une forme de lobbying entre en jeu. Ni Félix-Bollaert, ni Geoffroy-Guichard ne sont passés à côté des événements majeurs organisés en France depuis 30 ans. Le RC Lens comme l'AS Saint-Etienne sont des clubs qui pèsent d'un poids énorme dans le fonctionnement du foot français. Et l'évolution du dossier nancéien montre bien la fragilité des positions. Parti avec un retard sensible, le stade Marcel-Picot fait désormais partie des favoris pour le top 9, l'AS Nancy-Lorraine, l'ancien club d'un certain Michel Platini, ayant présenté un financement convaincant et entièrement privé pour sa rénovation. La manne financière indispensable pour fournir un parc de stades à la hauteur constituera d'ailleurs un enjeu majeur lors des prochains débats. Avec 15 000 emplois assurés à la clef, l'Etat a promis une contribution de 150 millions d'euros que l'on s'arrache déjà . Les élus lillois revendiquent ainsi d'ores et déjà près du tiers de l'enveloppe pour mener à bien la construction d'un stade dont le permis de construire est imminent. De la même manière, Bordeaux compte sur la générosité étatique pour mener à bien son projet quand le dossier rennais apparaît trop dépendant de cette manne pour vraiment convaincre. Les porteurs du dossier strasbourgeois se sont bien gardés d'évoquer le détail des 160 millions d'euros à investir pour mettre la Meinau aux normes. Ils ont été inspirés. Cela participe à la position avantageuse de Strasbourg dans les petits papiers de la Fédé.
Les dates-clefs
27 août 2008 : le comité exécutif de l'UEFA décide du passage de 16 à 24 pays pour la phase finale l'Euro à partir de 2016.
5 mars 2009 : la Fédération Française de Football annonce son intention de déposer une candidature de la France à l'organisation de l'Euro 2016.
début juillet 2009 : le Sénat adopte la disposition déclarant d'intérêt général les enceintes sportives, publiques et privées. Cette décision doit favoriser la réalisation des grands stades dans le cadre de la candidature française.
11 novembre 2009 : désignation des 12 stades, dont trois réservistes, amenés à accueillir les matches du championnat d'Europe.
15 février 2010 : date limite du dépot de candidature à l'UEFA. Pour l'heure, quatre dossiers sont en concurrence : la France, l'Italie, la Suède-Norvège et la Turquie.
27 mai 2010 : désignation par les 15 membres du comité exécutif de l'UEFA, qui s'appuient sur un cahier des charges de 500 pages, du pays-hôte de l'Euro 2016.
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Re: [Euro 2016] Candidature de Strasbourg
Les candidats en lice
Bordeaux
Nouveau stade en projet de 45 000 places
Financement de 200 millions d'euros pour moitié pris en charge par le club
Livraison prévue en 2014
Pour: seul stade de la façade Atlantique
Contre: projet qui n'en est qu'aux balbutiements
Lens
Rénovation du stade Bollaert pour une jauge de 44 000 places
Financement de 100 millions d'euros pour moitié pris en charge par le club
Livraison prévue en 2014
Pour: la ferveur populaire
Contre: la proximité lilloise
Lille
Nouveau stade de 50 000 places dont le terrain est en préparation
Financement de 300 millions d'euros dans le cadre d'un accord public-privé
Livraison prévue en 2012
Pour : un nouveau stade dans une position géographique avantageuse
Contre : aucun
Lyon
Nouveau stade en projet de 60 000 places
Financement de 400 millions d'euros complètement privé
Livraison prévue en 2013
Pour: un nouveau stade dans la 2e ville de France
Contre: les difficultés du processus en cours
Marseille
Rénovation du stade Vélodrome pour atteindre une jauge de 65 000 places
Financement de 160 millions d'euros dans le cadre d'un accord public-privé
Livraison prévue en 2014
Pour: un stade et un club incontournables dans le sud de la France
Contre: de nombreux projets de rénovation qui n'ont pas abouti
Metz
Rénovation du stade Saint-Symphorien pour atteindre une jauge de 36 000 places
Financement de 30 millions d'euros complètement privé
Livraison prévue en 2014
Pour: projet raisonnable
Contre: la proximité nancéienne et strasbourgeoise
Montpellier
Rénovation du stade de la Mosson pour atteindre une jauge de 32 000 places
Financement non estimé
Livraison non définie
Pour: la volonté du maire
Contre: un projet très flou
Nancy
Rénovation du stade Marcel-Picot pour atteindre une jauge de 35 000 places
Financement de 70 millions d'euros pris en charge par le club
Pour: un projet ambitieux dans la ville de Platini, président de l'UEFA
Contre: la concurrence de Metz et Strasbourg
Nanterre
Nouveau stade en projet de 40 000 places
Financement de 200 millions d'euros complètement privé
Livraison prévue en 2014
Pour : un projet novateur et privé
Contre : le projet n'en est qu'à ses balbutiements et la proximité du Parc des Princes et du Stade de France
Nice
Construction d'un nouveau stade de 35 000 places
Financement de 100 millions d'euros dont l'origine n'a pas encore été définie
Pour : la volonté du maire Estrosi
Contre : les échecs précédents pour la construction d'un nouveau stade à Nice
Paris
Rénovation du Parc des Princes pour atteindre une jauge de 45 000 places
Financement de 90 millions d'euros dans le cadre d'un partenariat public-privé
Livraison prévue en 2014
Pour : le Parc, temple du foot parisien, est de tous les grands événements foot en France
Contre : les problèmes de sécurité dans un espace urbain sensible
Rennes
Rénovation du Stade de la Route de Lorient pour atteindre une jauge de 33 000 places
Financement de 35 millions d'euros dans le cadre d'un partenariat public-privé
Pour : la situation géographique dans un ouest désertifié
Contre : le financement incertain
Saint-Denis
Modernisation d'un stade de 80 000 places construit pour la Coupe du monde
Financement de 100 millions d'euros assuré par le Consortium Stade de France
Livraison prévue en 2014
Pour : le plus grand stade de l'Hexagone
Contre : aucun
Saint-Etienne
Rénovation du stade Geoffroy-Guichard pour atteindre une jauge de 41 000 places
Financement de 70 millions d'euros par les collectivités publiques
Livraison prévue en 2014
Pour : une présence systématique sur les grands événements et la ferveur stéphanoise
Contre : le flou dans les différents projets mis en oeuvre
Strasbourg
Rénovation du stade de la Meinau pour atteindre une jauge de 36 000 places
Financement de 160 millions d'euros dans le cadre d'un partenariat public-privé
Livraison prévue en 2014
Pour : le statut de capitale européenne
Contre : la situation d'un club morribond
Toulouse
Rénovation du Stadium pour une jauge de 42 000 places
Financement de 50 millions d'euros dans le cadre d'un partenariat public-privé
Livraison prévue en 2014
Pour : un projet raisonnable
Contre : la proximité de Bordeaux
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Re: [Euro 2016] Candidature de Strasbourg
On est les seuls pour lesquels le contre est un critère sportif
			
			
									
									30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
						06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Re: [Euro 2016] Candidature de Strasbourg
54000 places à la MeinauDNA a écrit :2016, c'est demain
Dans une semaine, la Fédération Française de Football désignera les douze villes retenues pour accueillir l'éventuelle organisation de l'Euro 2016. Strasbourg n'est pas sure de perdre.
Le Racing est moribond, mais le foot strasbourgeois est susceptible de reverdir à la faveur d'un rendez-vous international. L'Euro 2016, c'est peut-être une perspective lointaine. Ça l'est toujours moins que le souvenir des derniers événements d'envergure organisés à la Meinau. Depuis 1984, quand Allemands et Danois s'en étaient donné à coeur joie pour animer les rues de la capitale européenne, le foot a été décliné une fois sur un mode majeur, le 11 mai 1988, avec la finale de la coupe des coupes entre Malines et l'Ajax Amsterdam, le plus souvent avec de récurrentes larmes dans les yeux et des regrets à la pelle.
Refermer la parenthèse
Le plus sensible est lié au Mondial 1998, organisé en France, mais loin de l'Alsace. Strasbourg a visiblement le désir de refermer dès que possible une parenthèse de plus de vingt ans. La Meinau apparaît en bonne position dans les projets élaborés aux six coins de l'Hexagone pour accueillir l'Euro 2016. En dépit du contretemps majeur de l'EuroStadium et de la catastrophique situation sportive de son club-phare, la rénovation d'un stade reconstruit pour l'Euro 1984 permettra de regoûter au foot de haut niveau par ici. Avec la présence des suiveurs de quelques-unes des 24 nations qualifiées pour l'épreuve continentale, c'est l'assurance d'une existence sur la carte du sport. C'est la garantie que, demain ou après-demain, ne sera pas uniquement triste.
Verdict dans une semaine
Sans nourrir des angoisses démesurées, puisque les rumeurs bruissantes sont favorables à sa ville, le Strasbourgeois et ses voisins peuvent atteindre avec impatience le verdict rendu, dans une semaine, à la FFF. Ils auront l'occasion de s'affranchir de la maxime qui fait mal ces temps-ci dans le plus populaire des sports : le foot est un jeu qui se joue à onze contre onze et à la fin Strasbourg perd.
Le précédent '84
Autre temps. Autres moeurs. L'Euro 1984, disputé dans l'Hexagone, a permis à l'équipe de France d'inscrire la première ligne à son palmarès. Pendant deux semaines, sept stades ont accueilli la quinzaine de matches au programme.Strasbourg avait pleinement participé à la fête puisque la Meinau a servi de théâtre à deux rencontres Portugal - RFA du 14 juin (0-0) et au Danemark - Belgique du 19 (3-2). Les affluences enregistrées à cette occasion laissent rêveur. Dans le dernier cas, 47 950 spectateurs ont assisté au premier match, quand 36 911 ont suivi le second. On était encore à l'ère précédent la catastrophe du Heysel, sa trentaine de morts lors de Juventus - Liverpool et les exigences en matière de sécurité radicalement revues à la hausse qui s'en sont suivi. On peut d'ailleurs noter qu'avec sa contenance de 54 550 spectateurs, la Meinau se situait à la deuxième place dans la hiérarchie, seulement devancée par le Vélodrome. D'ailleurs, le Parc des Princes, qui a accueilli la finale victorieuse face à l'Espagne, présentait une jauge maximale de 48 000 places, soit le plus faible des stades retenus. Outre Strasbourg, Marseille et Paris, quatre villes ont accueilli la 7e édition du championnat d'Europe, qui a réuni huit nations au total : Lens, Nantes, Lyon et St-Etienne. Depuis, l'enceinte strasbourgeoise n'a guère eu le loisir de vibrer pour des événements sportifs d'envergure internationale. On relèvera néanmoins l'organisation de la finale de la coupe des vainqueurs de coupe, entre Malines et l'Ajax Amsterdam, le 11 mai 1988, et France - Australie, test match de rugby, le 4 novembre 1989. Aujourd'hui, entre la réduction de la contenance et l'impossibilité de vendre certaines places on estime entre 27 et 28 000 le nombre de places à la Meinau.
La victoire du plan B
Sur la ligne de départ, il n'y avait pas lieu de faire les fiers. En visite à Strasbourg comme dans toutes les villes candidates à l'accueil de l'Euro 2016, Jean-Pierre Escalettes et Frédéric Thiriez s'étaient enthousiasmé devant le dossier alsacien, articulé autour de l'EuroStadium. Le problème, c'est que le duo s'enflammait à chacune de ses sorties dans la même veine. La présence de Jacques Bigot, le président de la CUS, et de Roland Ries, le maire de Strasbourg, avait néanmoins été appréciée. Au final, l'échec du projet porté par le groupe Hammerson et le président du Racing, Philippe Ginestet, n'a pas porté préjudice à la candidature strasbourgeoise.
Le basculement de l'été
« Nous ne souhaitons pas être pris au dépourvu », indiquait Roland Ries, dès le 19 juin. Le 6 juillet, en Conseil municipal, l'élu confirmait la tendance encore précisée à la fin du mois d'août, avec un investissement envisagé de 160 millions d'euros, pour reconstruire, sur site, en respectant les normes UEFA. C'est comme si l'équipe politique aux affaires chassait les démons de 1998, quand la municipalité avait refusé d'envisager des matches du Mondial en Alsace. Aujourd'hui, l'exécutif se refuse à passer à côté d'un événement qui « a un enjeu économique important et dont l'attractivité de Strasbourg dépend », comme le note Jacques Bigot. C'est aussi comme si la capitale européenne devait renouer avec le foot de haut niveau par le biais d'une compétition... européenne. A quelques hectomètres de la frontière allemande, alors que les nouvelles phases du chantier TGV devraient confirmer sa place au coeur du vieux continent, Strasbourg faisait grise mine à travers son stade. L'échéance 2016 est susceptible de lui redonner le sourire.
La concurrence
L'Italie, la Turquie et une association Suède-Norvège briguent l'organisation de l'Euro 2016, comme la France.
Quatre dossiers rivalisent pour convaincre l'UEFA de lui attribuer l'organisation du 15e Euro de l'histoire. A priori, la France part avec une longueur d'avance. La Turquie est, pour l'heure, demeurée mystérieuse sur ses intentions et la situation de ses stades.
La Suède et la Norvège ont le désavantage de présenter une candidature commune, qui n'a plus vraiment la cote depuis les atermoiements de la Pologne et de l'Ukraine, organisateurs de l'Euro 2012. Les deux pays scandinaves ont d'ores et déjà choisi leurs stades. Il y en aurait cinq en Suède (Gà¶terborg, Helsingborg, Stockholm, Malmà¶ et Salna) et quatre en Norvège (Oslo, Lillestrà¶m, Trondheim et Stavenger). Les deux stades des capitales seraient construits ex nihilo. Enfin, l'Italie apparaît comme la principale rivale. Le 1er octobre, la Fédération italienne a rendu publique la liste des douze stade retenus (Bari, Bologne, Cagliari, Florence, Gênes, Milan, Naples, Palerme, Rome, Turin, Udine et Vérone). Les enceintes feront l'objet de rénovation, sauf Turin, dont le nouveau stade des Alpes doit être inauguré en 2011.
Quelle formule ?
Le passage de 16 à 24 équipes ne manque pas de susciter quelques interrogations. L'UEFA n'a pas encore tranché quant au déroulement de l'Euro 2016. Jusqu'en 2012, tout aura été d'une simplicité extrême. Depuis 1996, le championnat d'Europe, organisé tous les quatre ans, réunit 16 équipes réparties au 1er tour dans quatre groupes de quatre. Les deux premiers se qualifient pour les quarts de finale qui ouvrent la phase des éliminations directes jusqu'à la finale. A 24, la formule s'annonce plus alambiquée. L'UEFA n'a d'ailleurs pas encore tranché sur la formule qui sera en vigueur. Pour passer d'un premier tour à six groupes de quatre, à huit qualifiés, quelques critères assez douteux (les six premiers plus les deux meilleurs 2e) entreraient en vigueur. L'introduction d'inédits huitièmes de finale constituerait-elle la solution ? Se rapprochant de la formule en vigueur en coupe du monde, elle aurait l'avantage d'offrir huit matches à élimination directe aux différents sites. Elle aurait la faiblesse d'apparenter le premier tour à une mise en route poussive sans guère d'enjeu puisque seul un quart du plateau prendrait la porte à l'issue du 1er tour.
Le raté 1998
Strasbourg a tourné le dos au Mondial organisé il y a onze ans. Une dizaine de villes n'ont pas vraiment regretté le choix d'accuellir le rendez-vous planétaire.Si d'aventure la France devait être l'organisatrice de l'Euro 2016, cela doit correspondre à une grande vague de rénovations des stades en France. En la matière, le Mondial 1998 a été perçu comme un échec. C'est peut-être bien le seul relevé à l'heure des bilans.Aussi, Jean-Pierre Escalettes, le président de la FFF, et Frédéric Thiriez, son homologue de la Ligue, ont-ils situé dans l'éventuel accueil de l'épreuve le moyen d'assurer plus qu'un coup de peinture sur les plus grandes enceintes hexagonales. « Nos stades ne sont pas dignes de ceux du Portugal ou de la Suisse », n'a eu de cesse de souligner le premier lors de sa tournée estivale des villes candidates.
Il reste que la future répartition des matches apparaît essentielle. Les dix stades ayant accueilli les 32 équipes et les 64 matches du Mondial 1998 n'ont pas été logés à la même enseigne. Petit rappel du déroulement de la fête à laquelle Strasbourg a tourné le dos :
Bordeaux 36 500 places, sept matches, un 8e
Lens 41 275 places, six matches, un 8e, un match des Bleus
Lyon 44 000 places, six matches, un quart de finale, un match des Bleus
Marseille 60 000 places, sept matches, un 8e, un quart, un demi, un match des Bleus
Montpellier 35 500 places, six matches, un 8e
Nantes 38 500 places, six matches, un quart
Paris 48 275 places, six matches, un 8e, un match pour la 3e place
St-Denis 80 000 places, neuf matches, un 8e, un quart, un demi, la finale
St-Etienne 36 000 places, six matches, un 8e
Toulouse 36 500 places, cinq matches, un 8e
 
   
  
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						- Its_me
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Re: [Euro 2016] Candidature de Strasbourg
Sport24 a écrit :La Mairie de Rennes a retiré sa candidature pour organiser des matches de l'Euro 2016.
Même si la France remportait l'organisation de l'Euro 2016, il n'y aurait pas de match à Rennes. Daniel Delaveau, le maire de Rennes, a en effet décidé de retirer la candidature de la ville bretonne en raison du cout d'une telle opération apprend-on dans Ouest France. Il n'y aura donc pas de rencontre dans l'Ouest de la France puisque Nantes avait devancé Rennes.
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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				Manu
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Re: [Euro 2016] Candidature de Strasbourg
et nous futur club de National allons avoir un stade flambant neuf... 
			
			
									
									
						
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Re: [Euro 2016] Candidature de Strasbourg
En même temps si on va en national, ça sera le bon moment pour s'expatrier 1an de la Meinau afin d'y faire les travaux nécessaires.
Sam.
			
			
									
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				Manu
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Re: [Euro 2016] Candidature de Strasbourg
 
 En effet c'est le seul côté positif !
- silex57
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Re: [Euro 2016] Candidature de Strasbourg
Sam ou comment trouver du positif même dans les cas les plus merdiques !
			
			
									
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