17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !

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Stan
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !

Message par Stan »

Wenger a des millions dans les poches, il pourrait acheter le Racing.
télésupporteur
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !

Message par télésupporteur »

ce serait fort de voir le racing repris par des turcs :lol:
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Tormentor2
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !

Message par Tormentor2 »

ce serait fort de voir le racing repris par des turcs
Ils doivent penser que Strasbourg est en Allemagne...
Pour Wenger, c'est le serpent de mer : combien de fois a-t-on parlé de l'implication potentielle de Wenger au RCS ?!!
Est-ce que vous avez déjà vu une seule preuve de son prétendu intérêt pour Strasbourg ? Pour ma part, jamais.
Et puis le nom de Wenger alimente un nombre incroyable de rumeurs... comme le prétendu retour de Vieira à Arsenal.
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D520
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !

Message par D520 »

DNA a écrit :La solution locale

Alors que le Racing s'est imposé vendredi face à Guingamp (2-1), le club reste toujours à vendre. Une reprise autour d'investisseurs régionaux est l'une des pistes envisageables, même si elle n'en est qu'aux balbutiements.

Puisque les coulisses restent désespérantes, il s'agit de trouver quelques sources de réconfort sur le terrain. Dans un panorama blanc comme neige, les hommes de Janin ont repris le chemin de l'entraînement hier matin, au lendemain de leur jolie victoire face à Guingamp (2-1). L'entraîneur démissionné, intérimaire, qui évoque une mission qui n'en finit pas de durer sur un ton désabusé - « je ne pense même pas que quelqu'un est en mesure d'éclairer ma situation et, quelque part, je ne m'attends à rien » -, a déjà basculé sur le match de mardi, au Havre.

« Réattaquer l'année 2010 avec des certitudes »

Il espère pouvoir compter sur Gueye et Bah, tout en prenant acte des absences de Gargorov (genou) et de Sikimic (adducteurs). « Je suis content d'avoir vu l'équipe progresser dans le jeu, souligne Pascal Janin. Il faut confirmer au Havre pour pouvoir réattaquer l'année 2010 avec des certitudes. » Lui n'en a aucune concernant l'avenir du club. Il exprime seulement un souhait. « Je vois des gens malheureux et des locaux attachés à un club qui ne donne pourtant pas envie de le reprendre, indique encore l'entraîneur. J'ai le sentiment qu'il peut y avoir une mobilisation. »

L'option locale s'apparente à une évidence

Alors qu'une enquête de la TRACFIN, organisme du ministère des finances en charge de la lutte contre le blanchiment d'argent, serait diligentée sur le dossier de reprise (lire encadré), il faut souhaiter bien du courage à ceux qui voudraient se lancer. L'option locale s'apparente à une évidence tant les investissements aux origines obscures correspondent jusqu'à présent à un chapelet de désillusions, voire à une source de malversation. Une augmentation de l'investissement financier de Robert Lohr, avec Arsène Wenger comme caution morale, n'est en tous cas plus d'actualité depuis un mois. « Le nom de monsieur Lohr circule et beaucoup de gens nous ont appelés, précise à ce sujet Léonard Specht, son homme de confiance. Je le comprends, car Robert Lohr est une personnalité respectée, qui a déjà 20% de la SASP Racing. Mais actuellement, il ne veut pas investir plus, car il s'inquiète avant tout de la situation économique de son entreprise et de ses salariés. » L'industriel garde l'espoir de prouver son attachement au club, mais par le biais d'un projet immobilier susceptible de le structurer plus solidement.

« Se mettre autour d'une table »

Homme de l'intérieur, incarnation d'une certaine continuité dans la vie du club dont il est l'un des administrateurs, Thierry Wendling, observe avec dépit le comportement « plus voyou qu'autre chose » du propriétaire sur le départ. « Je suis prêt à faire partie d'une solution alsacienne, dit-il. Même à investir une somme supplémentaire, mais en restant dans une position minoritaire. » Idem pour Dominique Pignatelli, autre actionnaire minoritaire qui a été l'un des premiers à sonner la révolte après l'arrivée d'Alain Fontenla. « Je n'arrête pas de réfléchir, de travailler pour fédérer les bonnes volontés locales, expose-t-il. Beaucoup de gens sont intéressés, même des patrons de très petites entreprises. J'ai eu beaucoup de coups de fil. Maintenant, il faudrait se mettre autour d'une table pour échafauder quelque chose de sérieux et raisonnable. L'idéal serait qu'il n'y ait qu'une seule offre, avec trois ou quatre actionnaires qui se rajoutent aux parts déjà détenues par monsieur Lohr et aux miennes ». Et, pourquoi pas, organiser cette réunion de conciliation sous l'égide de la Mairie de Strasbourg, une idée lancée par André Bord et à laquelle Pignatelli est « très favorable. » Reste ensuite à voir si ces investisseurs locaux réussiront à s'entendre, à trouver les sommes nécessaires... et à convaincre Alain Fontenla de leur vendre ses parts. « Je ne suis pas inquiet à ce sujet. Il n'aura pas d'autre choix que de vendre, il est rejeté par le public, les actionnaires minoritaires. Sa position est intenable. Il dit pouvoir injecter entre 3 et 5 millions, mais je suis sûr que c'est du bluff », indique Pignatelli. Qui ne veut pas se prononcer sur la somme à mettre sur la table pour racheter les parts de Fontenla. « Pour négocier, encore faut-il que Fontenla vienne à Strasbourg », poursuit celui qui juge « inacceptable » la date du 24 décembre posée comme ultimatum par l'actionnaire majoritaire pour recevoir toute offre de rachat.

« Il n'y a pour l'instant rien de concret »

« Réunir les gens pendant la période de Nöel n'est pas simple, pour l'instant il n'y a rien de concret. Il faut avant tout que les personnes motivées par la passion pour ce club s'assoient autour d'une table », souligne Pignatelli, qui souhaite rencontrer Jacky Kientz, ancien président du Racing (1990-1992) et les autres acteurs locaux enclins à investir. « Mais encore une fois, il n'y a pour l'instant rien de concret », conclut-il. Les bonnes volontés ne semblent pas manquer. Encore faut-il qu'elles s'accordent et proposent un projet cohérent. En attendant, la nomination dès demain d'un administrateur judiciaire pour gérer la holding EuroRacing - au cas où ni Alain Fontenla, ni l'un de ses représentants ne se présente d'ici-là - pourrait lever quelques zones d'ombre autour de ce dossier toujours bien embrumé.

Barbara Schuster et François Namur
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argueti
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !

Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Un avenir en questions

Alain Fontenla veut-il toujours vendre ? Qui sont les investisseurs intéressés ? Les Alsaciens sont-ils capables de se regrouper derrière un projet unique ? Les interrogations sont nombreuses sur le devenir du RCS.

Fontenla va-t-il rester ? Jeudi, il voulait revendre le club. Vendredi, il n’en était plus sûr, jouant, entre désinvolture et irresponsabilité, avec le sort d’une quarantaine de salariés, sans parler du staff technique et des joueurs. Hier, par la voix de son avocat Ralph Isenegger, Alain Fontenla a annoncé à Philippe Ginestet que lui ou son représentant serait à Strasbourg demain (voir par ailleurs). Requinqué semble-t-il par les marques d’intérêt qu’il a reçues depuis 48 h et par la victoire contre Guingamp (2-1), l’homme d’affaires aurait désormais l’intention de conserver ses parts.

Peut-il vraiment rester ? C’est là toute la question. Vendredi contre Guingamp, les supporters l’ont clairement pris pour cible, via une banderole sans équivoque : « Fontenla : la girouette a assez tourné. Il est temps de se décider. Soutien total à Fournier. » Plus encore que la vindicte populaire ou la levée de boucliers des actionnaires minoritaires, la montée au créneau de la mairie, qui a saisi la Ligue pour qu’elle clarifie la situation du RCS, peut faire pencher la balance.

Même si elle n’est plus actionnaire, la Ville reste propriétaire de la Meinau et garde de ce fait un droit de regard. Elle ne voit pour l’instant que du flou. Elle va réunir très vite – à une date pas encore fixée, mais a priori avant Noël — les investisseurs alsaciens susceptibles de s’unir pour racheter le club. La défiance croissante de la municipalité rend ainsi la position de Fontenla presque intenable. « La Ville sera le premier acteur de ce qui va se jouer en coulisses ces jours prochains », juge un proche du dossier.

Julien Fournier sur le départ ? Si A. Fontenla reste propriétaire du club, c’est une évidence. Les divergences entre les deux hommes sur le mode de fonctionnement sont irréversibles. L’ex-secrétaire général de l’OM dénonce un financement — par l’actionnaire majoritaire — basé sur une spéculation très aléatoire : la valorisation de jeunes joueurs achetés à bas prix et revendus avec une grosse plus-value. Une politique risquée qu’il veut d’autant moins cautionner que Roman Loban, le repreneur estonien avec lequel il a traité et qui s’est volatilisé, lui avait promis un investissement de « 10 millions sur deux ou trois ans. » Sauf si Fontenla se retire, le PDG partira dès mercredi.

Quel rôle pour Pignatelli ? Actionnaire minoritaire d’EuroRacing (12 %), Dominique Pignatelli n’a eu de cesse, depuis le 4 décembre, de dénoncer les agissements d’Alain Fontenla. Présenté hier par Jacky Kientz comme un soutien au dossier de reprise porté par l’ex-président du RCS (1990-1992) et le patron alsacien Frédéric Sitterlé, il ne dément pas, mais tient tout de même à apporter une précision : « Je ne soutiens pas particulièrement le projet Kientz-Sitterlé. Je ne roule pour personne et j’exprimerai mon soutien au projet présenté par des hommes comme moi motivés par leur intérêt pour le Racing. Je souhaite de tout cœur qu’il n’y ait qu’un dossier alsacien. S’il devait y en avoir deux ou trois, ça ferait les affaires de Fontenla. Même si je n’avais qu’une part symbolique dans EuroRacing (Ndlr : il en possède 12 % et a investi 1,5 million), j’aurais agi de la même façon. Pas pour récupérer mon argent, mais parce que je ne supportais pas cette mascarade. »

Qui est intéressé ? Hier matin, nos confrères de « France Bleu Alsace » annonçaient le montage d’un ticket Robert Lohr – Arsène Wenger (voir par ailleurs). « L’Equipe » dévoilait de son côté l’intérêt manifesté par Laurent Ciup, PDG de Motek – un groupe informatique — proche de Luis Fernandez. « J’étais très avancé avec lui sur le dossier de revente », concède Philippe Ginestet. « Il avait même ma préférence, avant qu’au dernier moment, il ne reporte sa décision. Comme arrivait le passage devant la DNCG, j’ai choisi une autre option. »

Avec le tandem Sitterlé – Kientz et l’attelage anglo-turc évoqués dans ces colonnes ( « Avant de vendre, j’ai eu pas mal de contacts, notamment avec le représentant d’une des grosses fortunes turques », reconnaît P. Ginestet, « mais les discussions ne sont pas allées plus loin »), les candidats paraissent ne pas manquer. L’ex-président Roland Weller (1994-1997), coqueluche des supporters, est lui-même disposé à entrer dans la danse. Reste désormais à passer aux actes et, surtout, à s’entendre.

Stéphane Godin
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !

Message par fan_racing »

Ce qui m'inquiète avec les actionnaires locaux déjà connus, c'est qu'ils se disent tous prêts à chercher des partenaires financiers pour racheter ensemble le Racing, mais qu'eux-même ne mettront plus un sou. Que ce soit à juste titre ou non, cela semble quand même rédhibitoire dans le cadre de la gestion financière du club. :?
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !

Message par Tenor »

Rien de plus normal, mais font le forcing pour trouver d'autres partenaires, c'est aussi leur rôle quelque part de trouver du "frais" et c'est avant tout leur propre intérêt, sinon le club explose ce que personne ne souhaite ;)
Pas de soucis, Ries s'en occupera à défaut :arrow:
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Keating
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !

Message par Keating »

L'Alsace a écrit :Entachée d’irrégularités ?

Certains posent des lapins, d’autres soulèvent des lièvres. Bertrand Charpilloz, conseil en gestion des affaires du cabinet « Charpilloz Compétences Associées », a alerté ce week-end Jacques Bigot, le président de la CUS, de ce qu’il considère être une irrégularité dans la vente récente du Racing à Alain Fontenla.

Auteur d’un audit sur le RCS en 2001, B. Charpilloz a courant 2003 participé à la rédaction des conventions de subventions, droits d’image, animations dans les quartiers et location du stade de la Meinau entre la Ville et le club. « La Ville n’est plus actionnaire et n’a donc en principe plus de possibilité d’ingérence dans la vie du Racing. Mais pour éviter précisément ce qui se passe aujourd’hui, j’avais imaginé de faire figurer dans les conventions liant la Ville et la CUS d’une part, le club de l’autre, une clause spécifique donnant aux premières un droit de regard et de veto en cas de changement de propriétaire. Cette clause est capitale dans la situation que traverse le club actuellement. À l’époque, elle a été actée en conseil municipal. »

Bertrand Charpilloz affirme ainsi « que la cession des parts est entachée de plusieurs irrégularités. Elle aurait dû se faire en concertation avec la Ville. Avant de céder le club, Philippe Ginestet aurait dû la consulter, ce qu’il n’a pas fait. J’en ai informé Jacques Bigot. Plutôt que de se tourner vers la LFP, Ville et CUS peuvent désormais se retourner contre le club. Il leur appartient de prendre toutes les mesures pour faire valoir leurs droits. »

Si les assertions de Bertrand Charpilloz se révèlent exactes, les élus strasbourgeois auront bientôt en main un moyen légal de faire annuler la vente.
L'Alsace a écrit :Pincet : "C'est Navrant"

Patrick Pincet, directeur du cabinet du maire Roland Ries, confirme que la Ville de Strasbourg n’a pas l’intention de rester les bras croisés après la vente du RCS à Alain Fontenla.

Très inquiète sur le futur du club phare de la ville, la municipalité strasbourgeoise prépare sa riposte. Saisine de la Ligue de Football Professionnel (nos précédentes éditions) suivie peut-être d’un recours juridique pour faire valoir ses droits (voir ci-contre) : consciente que « le club est en danger », elle réaffirme, par la voix du directeur du cabinet du maire Patrick Pincet, sa volonté de favoriser la reprise du Racing par un pool d’investisseurs régionaux.

Patrick Pincet, la mairie va-t-elle prochainement réunir les actionnaires minoritaires et investisseurs alsaciens intéressés par le rachat des parts d’Alain Fontenla ?


Nous avons la volonté de susciter un pacte d’actionnaires locaux. L’objectif est qu’ils s’entendent et échafaudent un plan de reprise suffisamment solide pour franchir trois obstacles : un, racheter les actions de Fontenla (Ndlr : 1,6 million) ; deux, passer le cap de la DNCG (1) qui demande un apport immédiat de 3 millions ; trois, garder une surface financière suffisante pour gérer la fin de saison. J’espère bien que cette réunion aura lieu. La Ville pourrait effectivement faciliter sa tenue et y participer. C’est sa priorité : se centrer sur une reprise par des actionnaires locaux dans le cadre d’un plan viable. Nous voulons trouver des gens motivés sportivement et financièrement.

Encore faut-il qu’Alain Fontenla accepte de vendre ses parts. La mairie peut-elle le contraindre (2) ?


Elle n’est plus partie prenante dans le club. Mais en tant que propriétaire de la Meinau, elle regarde ce qui se passe avec beaucoup d’attention. En revanche, tout le monde a bien compris ses motivations financières, basées sur les plus-values réalisées sur des joueurs, du matériel humain donc. Lorsque nous l’avons rencontré le jeudi 10 décembre, nous lui avons demandé de nous éclairer sur ses motivations sportives. Sa réponse n’a pas été convaincante. Nous nous interrogeons beaucoup. Tout ça est un peu navrant.

Jeudi, il annonce vouloir vendre. Vendredi, il se rétracte. Après sa volte-face, sa position vous paraît-elle tenable ?


En l’état actuel des choses, sûrement pas. Lorsque l’on s’occupe de la gestion d’une entreprise comme le Racing, on ne peut pas être crédible si l’on change d’idée toutes les 24 heures, sans tenir compte ni de la vie de ses salariés, ni de son environnement. Quand, comme Roland Ries et Jacques Bigot, on est en charge de la chose publique, on ne peut pas ne pas être interloqué. Malheureusement, on est dans le sport business dont cette affaire remet en cause le fonctionnement. À l’heure où le développement durable est à la mode, une organisation bâtie sur un système spéculatif n’est justement pas durable. La bulle spéculative finit toujours par exploser.

Si d’aventure, les investisseurs alsaciens accordent leur violon, il leur faudra désigner un président…


C’est la question subsidiaire : peuvent-ils faire fi des ambitions individuelles pour servir la cause commune ?

Le maintien de Julien Fournier, le PDG nommé par les repreneurs actuels, vous paraît-il souhaitable ?


On ne peut pas exclure qu’il reste. Parce qu’il va bien falloir un jour ou l’autre amener des compétences dans ce club.
Recueilli par S.G.

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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !

Message par Keating »

Lequipe a écrit :Ciup en stand-by

Le directeur général et actionnaire majoritaire du groupe informatique eBizcuss Laurent Ciup a indiqué à L'Equipe que les probabilités pour qu'il reprenne Strasbourg étaient «faibles». L'homme d'affaire a rencontré Alain Fontenla, propriétaire du club alsacien depuis le 4 décembre, à deux reprises. Mais «il a déjà acheté beaucoup plus cher que ce que j'avais proposé à Philippe Ginestet (l'ancien actionnaire majoritaire du RCS) et il semble avoir des velléités de faire une plus-value». En cas de reprise de Strasbourg, Ciup pourrait emmener dans ses bagages Luis Fernandez, dont il est proche. L'ancien entraîneur du Paris-SG n'aurait pas de fonction dans l'organigramme, seulement un rôle de conseiller.
S'il y en a qui n'a pas de surface financière, c'est bien celui-là, à mon avis ....
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raphou96
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !

Message par raphou96 »

et il semble avoir des velléités de faire une plus-value
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