Julien Fournier

[urotsukidogi]

Normal il était dirigeant à l'époque

[Its_me]

Voici l'article :

L’affaire qui empoisonne Ribéry

L’année ne commence pas au mieux pour Franck Ribéry. La star des Bleus et du Bayern Munich va être entendue par la brigade financière de la police judiciaire de Marseille avant la reprise du Championnat d’Allemagne, le 16 janvier prochain. Il s’agit du dernier épisode en date d’un long contentieux entre le joueur et son ancien agent, le Luxembourgeois Bruno Heiderscheid.
« J’attends tout simplement que la vérité éclate, explique Heiderscheid. Je veux juste que Ribéry assume ses engagements à mon égard. Cette convocation crédibilise ma version. »

Fin mai 2007, alors joueur de l’OM, Ribéry se sépare d’Heiderscheid, qui chapeaute sa carrière depuis début 2005. Avec le tandem Alain Migliaccio - Jean-Pierre Bernès, il signe quelques jours plus tard au Bayern pour 30 M€. « La poule aux oeufs d’or d’Heiderscheid s’est envolée, ironise un dirigeant marseillais de l’époque. Il touchait 10 % de toutes les primes et salaires de Ribéry. » Le Luxembourgeois ne veut pas céder. Il dénonce une « rupture de contrat abusive », son bail avec Ribéry courant jusqu’à fin 2007, et évoque un préjudice de 6,3 M€. Il est débouté par le tribunal arbitral du sport (TAS) le 16 avril 2008.

« Le club est une victime collatérale de cette guerre, l’OM n’a rien à se reprocher »

Mais les hostilités ne vont pas s’arrêter là. Heiderscheid contre-attaque devant le TGI de Paris en déposant une plainte pour « faux et usage de faux et escroquerie au jugement ». Il accuse Ribéry d’avoir produit des documents de l’OM prêtant à controverse. Julien Fournier et Pape Diouf, alors secrétaire général et président du club, sont également visés par la plainte, tout comme Bernès et Migliaccio, eux pour exercice illégal de la profession d’agent. Une perquisition est menée le 5 octobre au siège du club, Fournier est entendu par la PJ fin novembre et Diouf début décembre. « Le club est une victime collatérale de cette guerre, l’OM n’a rien à se reprocher, confie un dirigeant. C’est le joueur qui paie son agent. Mais on a conseillé à plusieurs reprises à Franck de se méfier d’Heiderscheid. »

Ironie du sort, Franck Ribéry fait toujours parler de lui dans la rubrique transferts ces jours-ci. Hier, le Bayern a démenti qu’un accord secret ait été conclu avec le Real Madrid pour son arrivée en Espagne en fin de saison. Son agent, Alain Migliaccio, a expliqué de son côté dans le quotidien espagnol « Marca » que Ribéry ne prolongerait pas son contrat à Munich. La mascotte des Bleus doit s’envoler pour un stage à Dubaï dimanche.

[argueti]

Un fauteuil pour deux

Même s’il n’en porte pas le titre, celui qui fera office de nouveau président du RCS, Luc Dayan, se présentera demain à la Meinau. Il y croisera le PDG Julien Fournier, toujours pas licencié.

Le Racing ne fait jamais rien comme les autres. A l’heure où d’autres virent les entraîneurs à tour de bras, le club strasbourgeois, qui n’est pourtant pas le dernier en la matière, bat tous les records avec ses présidents. De Philippe Ginestet à Julien Fournier, en passant par Léonard Specht et Ginestet 2e époque, il en a essoré quatre en sept mois.

Le 5e, Luc Dayan, à qui - c’est vrai - on ne peut pas encore donner du « M. le Président », entrera en action demain à la Meinau. Missionné pour quatre mois, l’ex-président de Lille et Nantes, qui a lui-même confirmé dans ces colonnes être prêt à accepter la présidence que lui a déjà proposée l’actionnaire majoritaire Alain Fontenla, rencontrera les salariés, l’entraîneur Pascal Janin, puis la presse à 16 h 30.

Il croisera dans les bureaux un certain Julien Fournier, toujours président directeur général. L’ex-secrétaire général de l’OM s’est pourtant vu signifier son renvoi lundi dernier. Depuis, il reste d’une discrétion rare, conforme à ce qu’il suggérait dès avant la trêve. Alors que ses divergences de vue avec Fontenla accréditaient déjà l’hypothèse d’une rupture proche, l’éphémère président directeur général avait laissé entendre qu’il n’irait pas au clash. « Pas mon genre », disait-il alors.

Le mutisme qu’il s’impose depuis en atteste. Mais comme il l’avait aussi supposé avant Noël, Fournier sera ce lundi au stade. D’autant que selon nos sources, il n’aurait toujours pas reçu sa lettre de licenciement. Il fera ainsi acte de présence, au moins pour ne pas se mettre en faute. De fait, il reste non seulement PDG, mais aussi président de la SASP Racing. Une dernière fonction qu’il occupera au moins jusque mi-janvier, puisque, à ce jour, aucune assemblée générale de ladite SASP n’a été convoquée. Or, le délai légal de convocation de cette AG, préalable à un conseil d’administration qui entérinerait le départ de Fournier et son probable remplacement par Dayan, est de deux semaines.

Ries communique à l’heure du Réveillon

Le Racing, qui s’est longtemps cherché un président, en possède provisoirement deux, effectif pour l’un, virtuel pour l’autre (ou inversement ?). Leur rencontre, ce lundi, serait même un rien cocasse si la situation générale du club n’était aussi instable. A tel point d’ailleurs que le maire de Strasbourg continue à s’en inquiéter.

La preuve : jeudi, au soir d’un Réveillon de la Saint-Sylvestre où il avait sûrement d’autres chats à fouetter, Roland Ries a publié, à 20 h 04, un communiqué pour s’émouvoir une nouvelle fois du flou artistique qui règne au RCS depuis sa revente le 4 décembre. Il s’y « étonne des revirements successifs de l’actionnaire principal » et « regrette la valse des responsables […] », dans une lettre adressée la veille au président de la Ligue de Football Professionnel. Il entend ainsi attirer de nouveau l’attention de Frédéric Thiriez sur « la situation tant financière que sportive » et espère « qu’une rencontre puisse avoir lieu avec le président de la LFP dès la semaine prochaine. » Il rappelle également « sa préférence pour, à terme, une solution « locale » en matière d’actionnariat, laquelle, sans fermer la porte à des participations extérieures éventuelles, permettrait de compter sur des personnalités expérimentées connaissant bien Strasbourg et la région et s’investissant durablement dans l’avenir du club. »

Bref, 2010 débute dans un climat de défiance aussi exacerbée que fin 2009. Luc Dayan a pour mission de l’adoucir. Il a du pain sur la planche.

[argueti]

Fournier au coeur du dossier

Julien Fournier, le PDG démissionnaire depuis le début de l'année, est le seul à disposer du droit de signature au Racing. Les repreneurs espèrent obtenir de lui un pouvoir dès aujourd'hui, ce que conteste avec véhémence Me Nicolas Wiltberger.

« Je suis comme Ségolène Royal, je viens même quand je ne suis pas convié. » Non sans humour, Me Wiltberger, « administrateur du Racing depuis 33 ans », s'est invité hier soir à la conférence de presse tenue par Luc Dayan, chargé de la "restructuration" du club, dans les salons de la Meinau, au côté de Dominique Pignatelli. Inquiet de la tournure prise par les événements, il voulait juger sur pièce de l'avancée des dossiers.

« 35 000 euros par mois »

Et surtout connaître le sort qui est réservé à Julien Fournier, PDG sur le départ mais qui est encore et toujours le seul à pouvoir apposer sa signature au bas d'un document émanant du Racing. Sans sa griffe, rien ne peut être entrepris par la nouvelle équipe dirigeante mise en place par Alain Fontenla, l'actionnaire majoritaire. « D'après ce qu'on m'a dit, Julien Fournier n'est plus le président du Racing, explique Dayan dans un grand sourire. Tout devrait rapidement rentrer dans l'ordre, puisque Christophe Cornélie, en tant qu'administrateur de la SASP, doit obtenir son pouvoir. Ça sera signé demain (aujourd'hui). »

Fontenla sort du bois

Au passage, Dayan a divulgué à la volée le salaire de Fournier - « avec 35 000 euros par mois, je comprends qu'il ait accepté le poste » - et s'est évertué à écorner son image. Dans la soirée, Alain Fontenla a réagi à ces propos, de Londres, par voie... de communiqué : « Même si des désaccords sont intervenus entre nous, je trouve regrettable qu'il soit fait état publiquement de ces conditions contractuelles alors que celles-ci ont été fixées d'un commun accord avec l'actionnaire et en adéquation avec l'expérience reconnue de M. Fournier. Par ailleurs, les conditions financières évoquées sont très loin de la réalité. » Les premiers nuages entre Fontenla et Dayan pointeraient-ils déjà à l'horizon ? Quant à Cornélie, représentant de Carousel Finance et associé d'Alain Fontenla, il avait été nommé au même moment que Fournier, le 4 décembre dernier. L'homme avait ensuite disparu de la circulation pour ne plus pointer, à ce jour, le bout de son nez.

« Pas de contrat valable »

« Je suis très étonné par ce que j'ai entendu, dit Me Wiltberger. Selon les statuts, seul le conseil d'administration de la SASP peut fixer la rémunération de son PDG. Or nous n'avons jamais été consultés à ce sujet. Donc s'il a un contrat de travail, celui-ci n'est pas valable. » A priori, ce document aurait été établi par... Roman Loban, premier actionnaire majoritaire qui s'est retiré d'entrée de jeu. Me Wiltberger a d'ailleurs adressé un courrier à Fournier, qui est, jusqu'à preuve du contraire, toujours PDG du Racing, pour qu'il convoque « instamment le conseil d'administration du club ». L'homme de lois l'invite d'ailleurs à ne pas céder à la moindre tentation de négocier son départ en laissant son pouvoir à Cornélie. « Toute action qui serait entreprise par des personnes qui n'ont pas de fonction officielle au club entraînerait leur responsabilité civile, voire pénale, et la responsabilité de ceux qui auraient indûment autorisé ou laissé prendre des initiatives pouvant aggraver la situation du Racing », peut-on lire dans la même lettre.

Me Wiltberger compte veiller au grain

Pas sûr que ces injonctions n'entravent les desseins des repreneurs, désormais bien obligés de passer à la phase active, tant dans le domaine sportif qu'administratif. Me Wiltberger entend toutefois plonger son nez dans le dossier Fournier dès lundi, « comme mon statut d'administrateur me l'autorise », histoire de traquer la moindre irrégularité. A ce moment-là, Julien Fournier aura certainement regagné son sud natal, avec un gros chèque d'indemnités, eu égard à ses émoluments supposés, dans la poche. Comme quoi, Alain Fontenla et ses hommes ont bien de l'argent à dépenser. « S'il le faut, j'assumerais le rôle de président de la SASP, donc sans être rémunéré », conclut Luc Dayan. Affaire à suivre.

Séb.K.

[peter reichert]

Pour 35000 euros je leur néttoie méme les douches et ton la pelouse.

[urotsukidogi]

Ah ça le ton est original au racing c'est sûr...

[silex57]

Et à priori Dayan gagne plus donc c'est mal venue de sa part de parler de ce sujet. Après faut voir auss que ce sont sûrement des salaires "standards" dans le foot.

Par contre je me faisais la réflexion tout à l'heure, l'éviction de Fournier est tout de même tout à fait logique. En effet quand 15 jours après avoir été embauché tu te répands en critiques envers ton employeur, tu peux pas tellement espérer autre chose ....

[julo]

En effet quand 15 jours après avoir été embauché tu te répands en critiques envers ton employeur, tu peux pas tellement espérer autre chose ....

Il nous a fait une Schilles

[hopla]

ahlala....le début de la fin n'a jamais été aussi proche.....nous sommes le 10 janvier....délai mini pour réunir le conseil d'administration 15 jours...nous voila au moins au 25 janvier....Fournier, et c'est de bon ton, va faire jouer sa situation et rien signer du tout..... Serredszum serait assez "dum" de venir, et même s'il ne l'est pas il ne pourra pas........ Dayan l'homme providentiel bénévol (quel beau geste d'etre bénévol) va reprendre ses cliques et ses claques....... fin janvier le club est mort.......zut le pari n'est proposé par aucun book

[argueti]

L'homme qui les gêne tant

Prétendument sur le départ, selon Luc Dayan, Julien Fournier n'est pas encore parti. L'unique détenteur du droit de signature au Racing veut se laisser le temps de la réflexion. Toujours est-il que sa présence embarrasse l'équipe d'Alain Fontenla, qui ne peut rien entreprendre sans son accord.

En dépit des désillusions subies en un peu plus d'un mois et du désenchantement qui n'a pas manqué de le gagner, Julien Fournier n'a pas perdu son sens de l'humour. Injoignable depuis le début de la semaine et introuvable du côté de la Meinau, le Varois est sorti, hier après-midi, de son mutisme en répondant enfin sur son portable.

« Je suis dans mon bureau, à la Meinau »

A la question basique de savoir où il se trouvait, le PDG du club depuis le 4 décembre a eu cette réponse caustique : « Dans le Sud, avec un gros chèque dans la poche. Avec tout l'argent que je suis censé toucher pour le rachat de mon contrat qui court sur trois ans, je pourrais même être virtuellement le propriétaire du club ! » Allusion est faite à l'article du jour paru dans ces mêmes colonnes, qui rapportait les propos tenus par Luc Dayan la veille en conférence de presse. « D'après ce qu'on m'a dit, Julien Fournier n'est plus le président du Racing », disait le "chargé de mission" à la solde de l'actionnaire majoritaire, en l'occurrence Alain Fontenla. Il faut croire que Dayan n'a pas puisé son information à la bonne source, lui qui avait cherché vendredi à minorer les compétences de Fournier, tout en étalant sur la place publique son salaire « de 35 000 euros par mois ». Cette sortie verbale avait même provoqué une réaction de Fontenla, tard dans la soirée, le trader londonien déplorant par voie de communiqué ce dérapage incontrôlé : « Les conditions financières évoquées sont très loin de la réalité. » Toujours est-il qu'hier, Fournier n'avait pas abandonné son poste. « Je suis dans mon bureau, à la Meinau, depuis ce matin (hier), explique-t-il. Si je suis toujours président du Racing ? A l'heure où je vous parle, oui. Laissez-moi le temps d'intégrer les dernières évolutions du dossier. Je suis en phase de réflexion. Cette semaine, beaucoup de monde m'a prêté l'intention de partir. Moi, je n'ai rien annoncé. Je le ferai prochainement. » Interrogé sur le sujet, Luc Dayan, lui, a paru très agacé. « Combien de fois va-t-il falloir que je dise la même chose, s'interroge-t-il. Ce dossier-là, je ne l'ai pas traité. Mais il va bien falloir que les choses se mettent en place. » Les choses qui doivent se mettre en place, justement - comme l'arrivée annoncée dès demain de l'adjoint de Pascal Janin, à savoir Cyril Serredszum, ou les premiers mouvements du mercato -, restent au point mort. Sans la signature de Fournier, tous les dossiers sont irrémédiablement bloqués. Or, on voit mal le Varois cautionner la moindre opération souhaitée par Fontenla et son conseiller sportif Ralph Isenegger, alors que le PDG devait mener à bien la politique de Roman Loban.

« Ne pas céder aux pressions et rester en poste »

Il faut croire que les mises en garde de Me Nicolas Wiltberger ont été entendues. 'administrateur historique du Racing a demandé au PDG de « ne pas céder aux pressions et de rester en poste ». Conscient que Fournier est « pris dans la nasse », Me Wiltberger lui a demandé de réunir rapidement le conseil d'administration, histoire de clarifier la situation. La réunion devrait se tenir lundi soir. Celle-ci, indispensable préambule avant l'assemblée générale de la SASP - qui ne peut se tenir avant quinze jours -, ne saurait servir de cadre pour licencier Fournier. Ni pour passer le témoin à Christophe Cornélie, associé de Fontenla.

Allié des investisseurs locaux ?

Le représentant de Carousel Finance, devenu administrateur début décembre avant de faire faux bond, est réapparu hier soir à la Meinau, dans l'espoir de récupérer rapidement le droit de signature. « Juridiquement, ce n'est pas possible », prévient Me Wiltberger. Bref, la situation reste toujours aussi emberlificotée. Loin de ce tumulte, les investisseurs locaux peaufinent leur plan de reprise autour de Henri Ancel. Prêts à intervenir avant qu'il ne soit trop tard, ils ont peut-être trouvé en Julien Fournier, l'homme du blocus qu'ils n'excluent pas de maintenir en poste, un allié de circonstance.

Suite au prochain épisode...

Un mois agité

Julien Fournier, 35 ans, a passé un mois agité à la tête du club. Retour sur les principaux épisodes depuis sa nomination.
- 3 décembre : la rumeur annonce que Julien Fournier sera le nouveau PDG du Racing. L'ancien dirigeant de l'OM, âgé de 35 ans, a été choisi par Roman Loban, l'Estonien qui a racheté les parts de Ginestet.
- 4 déc. : assemblée générale de la SASP Racing, suivie du conseil d'administration. Julien Fournier devient officiellement administrateur et PDG. Il annonce qu'il prend la direction du club avec « humilité et ambition ».
- 9 déc. : Julien Fournier rencontre les supporteurs et annonce qu'il est en pourparlers pour faire venir Jean-Pierre Papin à la tête de l'équipe pro, en lieu et place de Pascal Janin.
- 11 déc : Alain Fontenla devient actionnaire majoritaire en rachetant les parts de Loban et annonce que « toute la partie sportive, où je n'ai pas la prétention d'être compétent, sera déléguée à Julien Fournier ».
- 12 déc. : Julien Fournier annonce qu'un « accord de principe » a été trouvé avec Jean-Pierre Papin. Mais le lendemain, lors du match du RCS face à Thionville (en Coupe de France), JPP annonce qu'il réserve sa réponse jusqu'à l'audition de la nouvelle équipe dirigeante auprès de la DNCG.
- 14 déc. : Julien Fournier, à la veille de se rendre à Paris devant la DNCG, estime que « la question du feu vert sur le recrutement ne se pose pas » et que le passage devant le gendarme financier de la LFP est une simple « formalité ».
- 16 déc. : L'annonce de la DNCG, qui veut entendre une nouvelle fois le club le 6 janvier parce qu'il manque une caution de trois millions d'euros, entraîne les premières rumeurs d'un départ de Fournier. Mais ce dernier soutient encore l'actionnaire majoritaire et parle d'un simple « contretemps ».
- 17 déc. : Interrogé par les DNA, Julien Fournier évoque pour la première fois son désaccord avec le duo Fontenla/Isenegger, notamment en ce qui concerne le mercato hivernal. « Ils m'ont exposé leur projet et je leur ai fait part de ce qui me gène », souligne-t-il. Avant d'ajouter : « Dans ces conditions, il est hors de question de conserver mon poste ».
- 28 déc. : Isenegger, Fontenla et Fournier se rencontrent et décident de se séparer, sans que les modalités (licenciement, démission ?) ne soient évoquées.
- 4 janv. : arrivée officielle de Luc Dayan, qui annonce que le club et Fournier sont en instance de séparation. « A l'amiable ou non, je n'en sais rien, ce n'est pas moi qui m'occupe de ce dossier mais cela devrait être réglé dans les joueurs qui viennent », explique Dayan. Mais cinq jours plus tard, Fournier est toujours officiellement PDG de la SASP Racing...