Nouveaux Actionnaires ?

[raphou96]

C'est clair, si l'accueil avait été disont (non pas plus chaleureux) mais correct, la situation aujourd'hui serait peut-être totalement différente.

[Tormentor2]

Ils s'attendaient à quoi ??? Que dire de Dreyfus qui a injecté des centaines de millions pour se faire insulter quasiment tous les jours ?
A Chelsea ou à Liverpool, les repreneurs se sont fait insulter aussi. C'est humain, tu as toujours tendance à rejeter et à craindre ce que tu ne connais pas. C'est tout, sauf une nouveauté. Donc, il fallait qu'ils se préparent et qu'ils soient irréprochables en se présentant devant la presse.
Or Fontenla n'a pas été vraiment bon au départ... que dire de la suite ?? Des annonces non suivies des faits, des CV hyper douteux, une vacance du pouvoir... bref, tout ce qu'il faut pour laisser la place aux doutes et aux critiques.
Le mauvais accueil n'est qu'un prétexte pour excuser leurs faiblesses, mais ne tombons pas dans le piège en croyant à ce qu'ils racontent !

[Gotcha]

ces "repreneurs" n'ont que ce qu'ils méritent : ils avaient qu'à clarifier toutes les zones d'ombre, être plus présent et surtout plus transparent sur leurs ambitions !

[urotsukidogi]

Franchement ils ont pas été insultés d'emblée, combien de promesses non tenues avant la levée de boucliers. Pour ce qui est des actionnaires minoritaires, Le Fontenla serait arrivé en disant, bon les gars voici mon pres, le pognon et en 1 semaine on aurait des pistes sérieuses de renfort avec un passage à la DNCG sans souci, personne aurait gueulé. Ils ont quand même réussi à faire oublier les conneries de Ginette en moins de 15 jours

[argueti]

La porte est ouverte

Le propriétaire Alain Fontenla propose aux investisseurs alsaciens 50 % du RCS. Un premier pas que Henri Ancel, leur représentant mandaté par la Ville de Strasbourg, accueille favorablement, mais juge insuffisant.

« Nous sommes contents qu’une porte ait été ouverte. » Cette phrase de Henri Ancel, porteur du projet de reprise alsacien désigné par la Ville de Strasbourg, est à double sens. Elle prouve que les négociations, entamées vendredi à Paris entre Ancel d’une part, le propriétaire Alain Fontenla et Olivier Kachkach (représentant du nouvel actionnaire minoritaire Carousel Finance) d’autre part, ont sensiblement progressé en 72 heures. Mais n’indique-t-elle pas d’une certaine façon la sortie au businessman de la City londonienne dont on peine toujours à comprendre la motivation profonde ?

Hier encore, A. Fontenla assurait qu’il n’avait pas racheté le RCS dans l’espoir de réaliser une opération financière. Il n’y a pas de raisons d’en douter. En revanche, tous les interlocuteurs qu’il a croisés ce lundi n’ont toujours pas décelé en lui l’homme qui, lors de sa première visite à Strasbourg les 10 et 11 décembre, certifiait être devenu propriétaire du club « par passion ».

S’il n’apparaît guère comme un passionné, l’homme d’affaires a toutefois saisi qu’il ne pouvait plus avancer seul contre tous. Non seulement il a obtempéré aux injonctions de la DNCG de verser 3 millions d’euros sur le compte courant du club (1), mais il a aussi « ouvert la porte » aux investisseurs et actionnaires minoritaires alsaciens.

Comment ? Il propose que ceux déjà dans la place (Robert Lohr, Dominique Pignatelli et Egon Gindorf pour n’évoquer que les principaux) se regroupent sous une même bannière pour contrôler 50 % de la Société Anonyme Sportive Professionnelle Racing. Aujourd’hui, son capital se répartit comme suit : 78 % pour EuroRacing, 20 % pour RLS (la société de Léonard Specht et Robert Lohr) et 2 % pour les nano actionnaires (dont 1,04 % pour l’association RCS football amateur).

Un pacte d’actionnaires

Dans le nouveau montage, EuroRacing disparaîtrait et ses actionnaires minoritaires (2) intégreraient le pool d’investisseurs régionaux de la SASP. Pour quel tarif et sous quelles conditions ? « Ça n’a pas encore été évoqué », admet Henri Ancel qui ne désespère pas de convaincre Fontenla et Carousel Finance d’emprunter « la sortie propre » qu’il leur propose depuis plusieurs semaines. « Ma priorité est de calmer le jeu pour que le sportif revienne sur le devant de la scène. Nous souhaitons trouver une solution rapide, si possible avant l’assemblée générale de la SASP jeudi (18 h) . Il y a une forte volonté d’accord entre les deux parties. Nous avons tendu la main et il y a eu un retour positif chez Alain Fontenla. Mais je souhaite toujours le rachat de toutes ses actions. Nous ne sommes pas d’accord sur le 50/50, même si c’est une première étape. »

Cette première étape s’accompagnerait d’un pacte d’actionnaires inexistant sous l’ère Philippe Ginestet et destiné à ne pas léser les minoritaires. « Ce pacte permettrait aux régionaux de racheter prioritairement le club si Alain Fontenla décidait de le quitter », reprend le mandataire de la Ville. « Aujourd’hui, en réunissant les actions de Robert Lohr, Dominique Pignatelli et Egon Gindorf (Ndlr : mais aussi Wendling, Schmidt et les petits actionnaires de la SASP) , on arrive à 45 ou 46 %. D’autres investisseurs régionaux (Frédéric Sitterlé, Philippe Bohrer, Roland Weller, Jacky Kientz) ne souhaitaient s’impliquer qu’en cas de rachat intégral des actions. Je dois rediscuter avec eux. »

Depuis vendredi, les convives se sont assis à la table des négociations. Il leur reste à s’entendre sur le menu et par le menu.

Stéphane Godin

[Its_me]

Que les nouveaux actionnaires aient 50% ne change absolument rien. Pour tout vote il faudrait qu'ils soient TOUS du même avis pour contrer Fontenla... et cele n'arrivera jamais.

[télésupporteur]

pour arriver à 50%, il faut des sous
et certains veulent 100%

[télésupporteur]

on verra maintenant la surface financière des repreneurs alsaciens

personnellement, pas très rassuré sur l'avenir du racing

[Gotcha]

rassuré, non, mais ce sera toujours mieux que fontenla

[silex57]

ça, ça reste à voir ! C'est qui l'homme fort du nouveau pack ?