Le 4-0 pris la semaine dernière semble donner le même coup de fouet qu'au Racing ... Mais j'aurai préféré un Darcheville à Fauvergue, il aurait pu apprendre plein de choses à Zenke, du fait de leurs ressemblances ...
Après l'arrivée de Jean-Claude Darcheville, Nantes aimerait attirer un autre joueur expérimenté de Ligue 1 et reste intéressé par le profil de Sylvain Wiltord, rapporte L'Equipe Dimanche. L'ex-Marseillais est également courtisé par Guingamp, voire Rennes, son ancien club où il se maintient en forme actuellement. En janvier dernier, Nantes avait déjà pris contact avec l'ancien international. Si les Canaris le convainquent de venir les aider à remonter en L1, il devra faire un gros financier par rapport à son salaire habituel (150.000 euros mensuels à Rennes).
Francefootball.fr a écrit :«Furlan ? Six matches, un de gagné. C'est un constat»
Et quand le président s'emporte, tout le monde en prend pour son grade. Les adversaires d'abord : «Toutes les équipes nous attendent pour nous battre. Les autres viennent à la Beaujoire pour se faire remarquer et, plus tard, venir jouer pour Nantes.» Vient le tour des supporters, qui réclament son départ et se plaignent des résultats : «Les insultes, la bagarre, ce n'est pas comme ça que je vois le football. Les joueurs en ont marre de se faire insulter, ils peuvent être un peu perturbés.» Il s'en prend ensuite à l'entraîneur, Jean-Marc Furlan, arrivé en début d'année pour remplacer Gernot Rohr : «Six matches, un de gagné. C'est un constat. Je ne le connaissais pas, ce sont des gens autour qui m'ont... Il n'y a pas tant d'entraîneurs que ça.»
Kita avoue : «On pense à tout. Et pas seulement vendre, carrément laisser tomber». Mais il dit aussi rester parce qu' «on ne quitte pas une société comme ça, on a une lourde responsabilité.» Ce qu'il déplore avant tout, c'est que son rôle de président ne lui permette pas de tout décider : «Moi, je suis déshabillé devant ces gens-là. Tu casques et tu fermes ta gueule. Laissez-nous maîtriser !» Et par là, il entend également avoir la maîtrise du secteur sportif : «Je ne suis pas le patron chez moi.» Et de conclure : «Il y a des jours où je regrette, d'autres où je suis content.»