Nouveaux Actionnaires ?

[FM17]

Entre une tête de con qui veut gagner du fric et des petits actionnaires braillards qui n en ont pas, on est bien barré....C est Dayan, le super héros qui reprend la présidence aujourd hui....On a vraiment l impression que Fontenla est dépassé par les événements et qu il change d idées tous les jours....

[télésupporteur]

je ne pense pas qu'il soit dépasser par les évènements, tout simplement il fait taire les braillards de "nouveaux actionnaires"
et il prend délibérément la main
et j'en suis pas mécontent

[FM17]

il y a 2 choses....Je te rejoins sur les actionnaires minoritaires....Par contre, Fontenla n a rien fait de bon, a continuellement changé son fusil d épaule et m inspire qu une relative confiance....On verra le résultat à terme mais ce qu il a fait depuis qu il est là est loin d etre rassurant et mobilisateur....!!!!!!!!!!!! 0 en communication, 0 en projet sportif, 0 rapport avec l équipe (cf itw édifiante de Cassard)....
Seul point positif, depuis que Ginestet est parti, on gagne

[raphou96]

Changement de casting
Fournier révoqué, le Racing a un nouveau président depuis hier, le 4e de la saison, Luc Dayan, jusqu'alors en charge d'une mission de restructuration du club. En revanche, il n'y a pas eu d'avancée notable en ce qui concerne une éventuelle vente du club par Alain Fontenla, plus que jamais actionnaire majoritaire.
« Le CA s'est réuni et a nommé Luc Dayan président. » Il est près de 21h30 quand Olivier Kashkash, administrateur du club et représentant de Carousel Finance, annonce la décision prise par le conseil d'administration de la SASP Racing. C'est la fin d'une longue journée du côté de la Meinau
Après Philippe Ginestet, Léonard Specht et Julien Fournier, Luc Dayan, arrivé au club depuis le mois de janvier - avec pour mission de redresser le Racing - est donc devenu le patron du club, Christophe Cornelie étant officiellement installé au poste de directeur général.

« Le choix de nommer Dayan est logique »


« Le choix de nommer Dayan est logique : il est le plus légitime et le plus professionnel, car c'est lui qui connaît le mieux le monde du football », a justifié Olivier Kashkash.
Quelques minutes plus tôt, après la réunion de l'assemblée générale de la SASP Racing (qui précédait le conseil d'administration), Julien Fournier avait été révoqué comme il en était question depuis des semaines.
L'éphémère président du Racing, arrivé en Alsace début décembre, n'a pas voulu s'exprimer après cette mise à l'écart.
Hormis cette révocation, l'AG a donné lieu à une recomposition du conseil d'administration. Thierry Wendling, qui devait être sacrifié pour donner une tonalité plus favorable aux actionnaires majoritaires au CA, a finalement sauvé sa tête. Les actionnaires minoritaires présents au conseil d'administration (Léonard Specht et Dominique Pignatelli) ont intercédé en sa faveur et Alain Fontenla a souhaité privilégier un certain « apaisement ».
« On a indiqué que l'on démissionnerait si Wendling ne restait pas », a pour sa part expliqué Dominique Pignatelli, l'un des trois administrateurs « locaux ». En ajoutant un poste, toutes les susceptibilités ont ainsi été ménagées. Au final, un nouveau personnage apparaît dans le panorama, avec la nomination d'Abelzak Bega, un associé de Carousel Finance.

Pas d'avancée sur la question du rachat


En revanche, la question du rachat du club par les partenaires locaux n'a pas avancé. Henri Ancel, le médiateur et porteur du projet local, a toutefois reçu une fin de non recevoir provisoire quant à sa proposition de rachat (à hauteur de 4,6 millions), mais « la porte reste ouverte », comme l'a souligné Olivier Kashkash. L'administrateur a tenu à souligner que l'échec de cette première proposition « n'était pas que dû à des problèmes d'argent », sans donner plus de précisions. Le problème de la garantie de passif - soit la prise en compte des dossiers en cours - apparaît presque insoluble.

« On ne peut pas savoir ce qui est provisoire et ce qui va durer »


Au sujet de cet éventuel rachat par les acteurs locaux, Dominique Pignatelli se montrait néanmoins « optimiste ». « On regrette de ne pas avoir avancé plus, mais les négocations continuent et j'espère trouver un accord. Mais le rachat d'une entreprise, ça prend du temps », a encore ajouté l'actionnaire minoritaire.
Henri Ancel l'était nettement moins. « Je suis pessimiste et je commence à perdre patience », a lancé le médiateur, qui attend une réponse ferme « sous quinze jours ».
Ce matin, le Racing est donc toujours propriété d'Alain Fontenla (lire ci-dessous). Le nouveau président Luc Dayan (lire ci-contre) est attendu aujourd'hui à Strasbourg.
La fin du feuilleton n'est assurément pas pour demain. Comme le dit lui-même Olivier Kashkash : « Actuellement, on ne peut pas savoir ce qui est provisoire et ce qui va durer. Car si les négocations de revente aboutissent, ce sera une remise en cause de tout. Mais pour l'instant, il faut que le club avance... »
Mais dans quelle direction ? A 18 heures, à l'heure du début de l'AG, personne n'a été en mesure d'ouvrir le salon du président où les actionnaires devaient se retrouver, ce qui a donné lieu à un sacré bazar d'une demi-heure. Si l'organigramme a été (un peu) clarifié, le Racing a toujours tendance à avancer à vue...


* Les administrateurs : Luc Dayan, Olivier Kashkash, Alain Fontenla, Christophe Cornelie, Jafar Hilali, Abdelzak Bega, Dominique Pignatelli, Léonard Specht et Thierry Wendling

[silex57]

« Le choix de nommer Dayan est logique : il est le plus légitime et le plus professionnel, car c'est lui qui connaît le mieux le monde du football », a justifié Olivier Kashkash.

ça c'est pas faux, pour le reste c'est quand même pas très clair ..

[FM17]

La bergerie du Racing accueille un nouveau loup :....Bega ! d où il sort celui là encore ???

[argueti]

Dayan au cœur des négos

Pressenti durant le week-end, Luc Dayan a finalement été préféré hier à Olivier Kachkach pour prendre la présidence du RCS, à la place de Julien Fournier, mis à pied et prochainement licencié. Les négociations sur la vente du club achoppent toujours entre l’équipe Fontenla et les repreneurs alsaciens.

Le scénario que « L’Alsace » dessinait dans son édition de dimanche s’est finalement matérialisé hier soir à la Meinau lors de l’assemblée générale de la SASP (1) Racing : Julien Fournier a été évincé de son poste de président du conseil d’administration et remplacé par Luc Dayan, le chargé de mission engagé le 28 décembre par le propriétaire Alain Fontenla.

Une présidence dont l’intéressé lui-même ignore combien de temps elle durera. « Tout dépend de l’issue des négociations en cours entre le clan Fontenla et les repreneurs alsaciens. »

Au cours d’une longue soirée (plus de 3 heures entre le début de l’AG et la fin du conseil d’administration qui a validé la nomination de Dayan), le CA a été sensiblement modifié. Thierry Wendling, actionnaire minoritaire d’EuroRacing (1,06 %), en a été évincé durant quelques minutes, avant d’être réintégré à la demande des deux autres administrateurs régionaux, Léonard Specht et Dominique Pignatelli. S’ils n’avaient pas été entendus, ces derniers auraient démissionné. « Ils ne sont restés que parce que les négociations avec le pool alsacien se poursuivent. C’était aussi une condition préalable », complète le médiateur Henri Ancel.

Au final, un seul membre a été révoqué : le désormais ex-PDG Julien Fournier, mis à pied dans l’après-midi et qui devrait prochainement être reçu en entretien préalable à un licenciement. L’ex-secrétaire général de l’OM s’est refusé à tout commentaire.

Le nouveau conseil compte désormais neuf membres. Les quatre déjà en place : Pignatelli, Wendling, Specht et Christophe Cornelie, officiellement nommé directeur général hier. Et cinq nouveaux : Alain Fontenla, Jafar Hilali, Olivier Kachkach, Luc Dayan et Abdelzak Begga (salarié de Carousel Finance, la société associée à Alain Fontenla au RCS et dont Hilali est le patron et Kachkach, l’un des autres employés).

« En fait, l’équipe Fontenla voulait évincer Thierry Wendling pour être sûre de conserver la majorité », indique Dominique Pignatelli. « Le CA pouvant compter jusqu’à neuf membres, je leur ai suggéré l’idée d’en choisir un de plus dans leur camp. Ils y ont adhéré en nommant M. Begga. »

« La porte n’est pas fermée »

Au cours d’une AG à laquelle assistaient les représentants du personnel (le kiné Eric Moerckel et le directeur du centre de formation Jean-Marc Kuentz) et des joueurs (le capitaine Guillaume Lacour) ont naturellement été évoquées les négociations en cours sur la vente du club. Dans l’après-midi, Henri Ancel, pris par le temps, avait formulé une offre à la va-vite aussitôt refusée par Fontenla and Co. En voici la teneur : 1,6 million pour le rachat des parts, plus le remboursement au 30 juin des 3 millions d’euros injectés en compte courant par le duo Fontenla – Carousel, sous réserve de disposer du plan de trésorerie jusqu’en fin de saison (1) et d’une participation de Fontenla et Carousel à une garantie de passif sur les litiges en cours (Jose Luis Chilavert, Jean-Marc Furlan, Gilbert Gress, mais aussi Noureddine Bouachera, Pierre Ginestet et maintenant Julien Fournier). Un montage repoussé sans ménagement par l’actionnaire majoritaire, toujours pas décidé à vendre sous la contrainte. « La porte n’est pas fermée », assure toutefois Olivier Kachkach, même si le contrat d’exclusivité sur les négos dont disposait le pool alsacien s’est achevé hier soir. « Il y a une place pour tous ceux qui ont envie de participer à notre aventure. Jusqu’ici, nous avons respecté la clause d’exclusivité. Mais nous étudierons toutes les offres. La nomination de Luc Dayan à la présidence du conseil d’administration est le choix le plus légitime. Il est le plus à même de remplir cette mission. Celui qui connaît le mieux le football. »

L’un de ceux aussi qui connaissent parfaitement la complexité du dossier strasbourgeois. Il le dit lui-même : « Je veux bien jouer les tampons entre les deux parties. Mais pas indéfiniment. » Lui aussi milite pour une issue rapide.

«Maintenant, ça suffit»

Il avait jusqu’ici usé de toute la diplomatie requise dans ce genre de négociations. À la sortie de l’AG hier soir, Henri Ancel a haussé le ton. Sa position était ferme. Elle devrait vite se durcir. Dans l’après-midi (vers 16 h), le médiateur nommé par la Ville n’avait récupéré qu’une partie de l’audit commandé jeudi dernier. Par mail. La 2 e devrait lui parvenir dans les heures qui viennent.

Alors en réunion avec les investisseurs alsaciens qu’il représente (Frédéric Sitterlé, Léonard Specht pour RLS, Jacky Kientz pour Egon Gindorf, Robert Mosser et Dominique Pignatelli – Philippe Bohrer est absent), il pond sur le vif une offre aussitôt transmise au tandem Hilali – Fontenla (voir ci-dessous). L’offre est refusée en bloc par le second. Le 1 er informe Ancel par mail qu’il n’est pas fermé aux discussions. « Il y a des contradictions au sein de leur groupe », regrette le porte-parole du dossier de reprise alsacien. « J’ai parfois du mal à m’y retrouver. En fait, Fontenla a tout de suite opposé une fin de non-recevoir à notre offre. Au même moment, Hilali s’est montré plus ouvert. Après une interruption de séance au cours de laquelle ils ont dû s’entretenir par téléphone, Fontenla, qui ne m’a même pas salué, est revenu à de meilleurs sentiments. Tout en maintenant son refus, il a accepté que les négociations se poursuivent. »

Les tractations devraient donc continuer ces prochains temps. Sur les mêmes bases et dans le même esprit ? Rien n’est moins sûr, à entendre un Ancel qui avoue « perdre patience. L’offre que nous avons faite est l’offre maximum que nous ferons. S’il y en a d’autres ensuite, elles seront inférieures. J’écarte toute autre possibilité qu’un rachat rapide à 100 %. Je souhaiterais que tout soit réglé sous quinze jours. Mais je suis plutôt pessimiste. Maintenant, ça suffit. Ils doivent partir pour le bien du club. »

À défaut, Ancel et, derrière lui, une municipalité qui lui a donné carte blanche pour le représenter pourraient bien actionner des leviers de pression auxquels ils n’ont pas encore eu recours. L’étau peut encore être resserré.

Stéphane Godin

[PoY]

« Maintenant, ça suffit. Ils doivent partir pour le bien du club. »

Et pourquoi ?
En quoi c'est bien pour le club d'avoir des locaux sans le sou en place

[urotsukidogi]

pourraient bien actionner des leviers de pression auxquels ils n’ont pas encore eu recours.

C'est quoi ces leviers en question?

[fan_racing]

En quoi c'est bien pour le club d'avoir des locaux sans le sou en place

Ce ne sont à mon sens pas les sous qui manquent, mais l'envie de racheter un club pour un million de plus que le montent auquel ils l'estiment.