Jean-Pierre Papin

[FM17]

quel con...

[urotsukidogi]

C'est beau les déclarations haut et fort qu'on ne suit pas 24h après, il s'est trompé de boulot JPP, c'est politique qu'il aurait du faire

[PoY]

il n est peut être pas bon mais il assume et ne restera pas pour gagner du fric ou sauver sa place....

Ou pas !

[fan_racing]

Loupé, JPPète ne vaut sans doute pas mieux que Furloulou.

[Stan]

Un peu lopette JPP sur le coup.

[FM17]

il n est peut être pas bon mais il assume et ne restera pas pour gagner du fric ou sauver sa place....

Ou pas !

Papin n en fait pas une question d argent contrairement à Furlan....Par contre, je déteste les mecs qui n assument pas leurs paroles et sur ce coup il est effectivement lopette !!
De plus, comme je l ai écrit (avant qu il ne signe) Chateauroux descendra, ils n ont pas d équipe et leur meilleur joueur (Bedimo) est parti à la trêve....Papin a fait une grosse d erreur en s engageant la bas !

[Tenor]

Juste une branlée à Nimes, et JPP sera remis en place

[télésupporteur]

papin a quand même une qualité
ne pas s'engager avec le racing et privilégier chateauroux

[raphou96]

« Je ne suis pas fautif »

Quelques heures avant un déplacement décisif à Nîmes (28eme journée de Ligue 2), Jean-Pierre Papin, l'entraîneur de la Berrichonne de Châteauroux, fait le point sur la fin de saison et revient sur les raisons qui l'ont poussé à rester chez l'actuel 18eme du classement.

Jean-Pierre Papin, comment avez-vous préparé ce déplacement périlleux à Nîmes ?
On l'a préparé de la meilleure des manières. Les joueurs ont bien travaillé, surtout au niveau de l'efficacité. Un secteur qui nous fait défaut depuis plusieurs semaines. Dans le jeu, on n'est pas trop mal, mais on fait trop d'erreurs défensivement. Mais ça fait 3 ou 4 matchs que l'on n'a pas la même défense. Les joueurs ont bien compris le message de la semaine dernière. On va essayer de faire un résultat là-bas. Je n'ai pas peur de Nîmes. Ce sera juste un match de football vendredi. Il suffira de se mettre à leur niveau. Lyon l'a démontré mercredi.

Comment avez-vous trouvé les joueurs à l'entraînement cette semaine ?
Ils étaient sérieux, appliqués et responsables. J'ai senti que mon équipe était concernée par son avenir. Avec mon effectif, on peut faire des choses à condition que tout le monde tire dans le même sens. Ça été le cas lors de la seconde mi-temps contre Bastia. Il ne faut que des individualités tirent la couverture de leur côté. Mon équipe manque de confiance. Il lui manque un résultat positif car en ce moment, ça ne tourne pas bien pour nous. Il faut aussi noter que notre gardien Vincent Fernandez va nous manquer pendant trois mois.

Lorsque vous avez repris l'équipe en décembre celle-ci a très vite réagi avant de s'effondrer quelques semaines plus tard. La mayonnaise est-elle retombée ?
Je pense juste que la motivation de certains joueurs a baissé. Dans cette Ligue 2, il faut être constant du début à la fin. Chez nous, certains joueurs pensaient être arrivés après trois bons matchs consécutifs. Ils doivent se remettre tous les jours en question. Je suis obligé de leur rappeler au quotidien. Mais c'est dommageable de rappeler ce genre de choses. C'est tellement fondamental pour moi. C'est difficile pour un coach de répéter toujours la même chose. Maintenant, s'il faut se répéter tous les jours, toutes les minutes et toutes les secondes, c'est ce qu'on fera.

Vous allez recevoir à six reprises en cette fin de saison, notamment des concurrents directs pour le maintien comme Dijon ou Vannes. Ce sera des occasions en or pour Châteauroux...
Oui. Pour se maintenir, il faudra gagner quatre matchs minimum et faire deux matchs nuls à l'extérieur. Pour cela, il faudra reproduire la deuxième mi-temps effectuée contre Bastia (2-2, 27eme journée de Ligue 2).

« Avec les joueurs, on n'a pas la même mentalité et les mêmes valeurs »

Avant le match contre Bastia la semaine dernière, vous aviez dit que vous quitteriez le navire si votre équipe ne s'imposait pas. Elle a été tenue en échec 2-2 à domicile. Pourquoi êtes-vous resté ?
Parce que la réaction de mes joueurs a été bonne. Ils se sont révoltés en deuxième mi-temps. Et c'est ce que j'attendais. A partir de là, les conditions étaient réunies pour continuer jusqu'à la fin de la saison. J'espère que mes joueurs vont enchaîner car ils ont encore leur destin entre leurs mains. Ils doivent prendre aussi conscience que personne ne nous donnera les points.

Vous n'avez gagné qu'un match depuis votre arrivée (Ndlr : contre Angers le 19 janvier 2-0). Vous sentez-vous fautif par rapport à la mauvaise passe actuelle de la Berrichonne de Châteauroux ?
Non pas spécialement. Il y a un groupe entier. Chacun a sa responsabilité.

Est-ce que votre expérience de joueur vous sert à guider votre équipe ?
Oui, ça me permet d'avoir des repères. Mais le problème, c'est qu'avec les joueurs, on n'a pas la même mentalité et les mêmes valeurs. Donc c'est compliqué. Je le savais au départ. Maintenant, je vais tout faire pour sauver le club de la relégation.

Si la Berrichonne de Châteauroux se maintient, continuerez-vous à entraîner cette équipe l'an prochain ?
On verra bien. On prendra le temps de réfléchir au moment venu. D'abord, il faut penser au maintien. Je n'ai pas encore discuté de ce sujet avec le président.

Et si Châteauroux descendait en National, réfléchirez-vous à deux fois avant de reprendre une équipe en main ?
Je n'ai pas à répondre à cette question. On n'en est pas là pour l'instant.

« Depuis mes passages à Strasbourg et Lens, je commence à connaître les hommes »

Est-ce que vos expériences à Strasbourg et Lens vous servent ?
Bien entendu. Toute expérience est toujours bonne à prendre. Avec Strasbourg, j'étais monté en Ligue 1. Il ne faut pas l'oublier. Après, quand vous jouez la montée ou la relégation, ce n'est pas le même championnat.

Que retenez-vous de ces expériences ?
Avec ces passages à Strasbourg et Lens, je commence à comprendre un petit peu mieux les hommes.

Avez-vous digéré l'épisode lensois ?
Lens, c'est terminé. Je suis à Châteauroux aujourd'hui. Le passé est écrit, ce qui m'intéresse c'est l'avenir.

Vous avez été contacté par Strasbourg en décembre dernier ? Pourquoi n'avez-vous pas répondu favorablement à l'offre des dirigeants alsaciens ?
Il n'y avait pas les conditions réunies. J'étais parti avec mes valises là-bas. Au dernier moment, il a fallu attendre une décision de la DNCG. Celle-ci n'a pas été bonne donc je ne suis pas parti.

[lolo]

Avec ces passages à Strasbourg et Lens, je commence à comprendre un petit peu mieux les hommes.

Il a trop traîné à la voile rouge ou quoi?