Nouveaux Actionnaires ?

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Psychogene
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Re: Nouveaux Actionnaires ?

Message par Psychogene »

Pathétique, complètement pathétique. Mais quelle énorme mascarade.

J'ai presque envie d'aller à la boutique du Racing leur ramener mon abonnement. Complètement dégouté...
Matthieu
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NéRiK
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Re: Nouveaux Actionnaires ?

Message par NéRiK »

:shock:

Quoi un abonnement au Racing? Ca existe? :lol:
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
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argueti
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Re: Nouveaux Actionnaires ?

Message par argueti »

Et Fontenla encore présent l'année prochaine vous le reprenez ?
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silex57
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Re: Nouveaux Actionnaires ?

Message par silex57 »

Et avec les alsaciens ?
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argueti
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Re: Nouveaux Actionnaires ?

Message par argueti »

Et avec moi ?


:arrow:
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Re: Nouveaux Actionnaires ?

Message par fan_racing »

Ça dépend : posté dans la tribune Ouest pour contrôler les billets ou en tant que Président du Racing ? 8)
Il faudrait calculer les probabilités de remporter Euromillions si on était une centaine de supporters à jouer.
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Keating
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Re: Nouveaux Actionnaires ?

Message par Keating »

argueti a écrit :Et Fontenla encore présent l'année prochaine vous le reprenez ?
Si je devais choisir de prendre un abonnement en fonction du racing ...
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argueti
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Re: Nouveaux Actionnaires ?

Message par argueti »

DNA a écrit :Ries dans l'arène

Après la tonitruante sortie d'Alain Fontenla, le week-end dernier, Roland Ries, le maire de Strasbourg, a décidé de se plonger dans un dossier compliqué. La municipalité veut des éclaircissements.

A quelques semaines de la désignation du pays organisateur de l'Euro-2016, les tapageuses évolutions du principal club alsacien ne pouvaient décemment pas le laisser insensible. Repris par Alain Fontenla depuis début décembre, le Racing focalise moult attentions du maire de Strasbourg.

« L'image de la ville est écornée »

Or, les récentes sorties verbales du propriétaire n'ont ménagé personne. Sans s'en prendre directement aux politiques, le résident londonien a peut-être espéré conserver une porte entrouverte en orientant toute son ire à l'adresse de Henri Ancel. Mais en vilipendant le mandataire désigné par le premier magistrat pour organiser la reprise du club, il risque surtout d'être confronté à des sourcils bien froncés. Le Racing a une image désastreuse depuis un trimestre. Roland Ries ne peut s'en satisfaire. « J'aimerais que les choses soient clarifiées, a-t-il souligné hier, interpellé par l'échec de la négociation menée jusqu'à vendredi dans la nuit. L'image de la ville est écornée. Je ne peux pas me désintéresser de ce qui se passe au Racing. » Il y a douze ans, son camp politique a payé suffisamment cher le fait de se détourner du pensionnaire de la Meinau pour ne pas rééditer la même erreur. Aussi, le Maire entend-il « rencontrer les deux parties ». Il ne fait pas l'ombre d'un doute que Henri Ancel lui a fait un rapport détaillé sur tout ce qui s'est passé ces derniers temps. Alain Fontenla sera donc probablement prié d'expliquer son refus. Peut-être reviendra-t-il à des intentions plus dociles au regard de l'ardoise due. « Il est juste que j'ai décidé de la suspension de la subvention municipale mais, je le répète, c'est pour voir clairement ce qui va se passer, reprend Roland Ries. Ce que je vois, c'est que le club n'a pas payé son loyer depuis un an et demi. Cela date d'avant l'arrivée du nouveau propriétaire, je l'ai bien noté. Mais là, au regard des derniers épisodes, je vais m'intéresser de près à ce dossier. » Alain Fontanel (attention, ne pas confondre avec Fontenla), le vice-président de la CUS, en charge notamment des finances, se montre encore plus précis sur cette question de gros sous. « En fait, le Racing n'a pas payé depuis le 1er juillet 2008, détaille le candidat aux Régionales. Cela fait donc 19 mois de loyer de retard. Nous avons procédé aux relances d'usage, par courrier, avec accusé de réception. »

« Ce qui m'importe, c'est que le Racing soit dans une situation de transparence »

La prochaine étape est en gestation avec le recours à un huissier pour réclamer les quelque 650 000 euros dus. En fait, l'occasion semble idéale de mettre à plat la relation pleine de friture entre les responsables politiques et les dirigeants du Racing. Car les élus ont choisi de mettre en attente deux apports financiers de 400 000 euros, concernant notamment les prestations de service (soit la panneautique ou encore le logo sur le maillot strasbourgeois). La mairie a donc quelques moyens de se faire entendre. « En fait, je veux comprendre pourquoi le propriétaire ne veut plus vendre, poursuit Roland Ries. Il semblait que la proposition qui lui a été faite accédait à toutes ses demandes. J'ai été assez stupéfait d'apprendre l'échec des négociations. » Et la teneur des propos d'Alain Fontenla, qui a évoqué un environnement mafieux et apparenté l'Alsace à une zone de non-droit, n'est pas de nature à calmer ses inquiétudes. « Je n'ai aucun a priori contre ce monsieur, mais je dois dire que j'ai été échaudé par ses déclarations initiales, quand il avait dit que je refusais de le rencontrer alors que je l'ai reçu et que je l'ai rencontré au stade, rappelle le maire de Strasbourg. Mais, aujourd'hui, ce qui m'importe, c'est que le Racing soit dans une situation transparente. Et le degré d'informations sur le propriétaire ne permet pas d'être complètement serein. » Or la ville s'est lancée dans un engagement massif aux côtés de la Fédération dans la perspective de l'Euro-2016. L'investissement pour rénover la Meinau doit s'élever à plus de 160 millions d'euros si le stade strasbourgeois accueille des matches de l'épreuve continentale. Un fiasco sportif, économique voire social du Racing se doublerait d'une incontestable entaille politique pour ceux qui apparaîtraient, de près ou de loin, comme responsables. « C'est un dossier très important en soi, pour la ville, pour la candidature de la France à l'Euro-2016 et pour le contribuable. Il s'agit de le faire avancer au plus vite », résume-t-on du côté des responsables de la cité. Alain Fontenla a repris la parole depuis samedi. Il est donc prié désormais de faire la lumière sur toutes ses intentions. La fin de l'ère de l'obscurantisme a peut-être enfin sonné.

Les locaux réfléchissent

Les représentants locaux au conseil d'administration du Racing envisageaient de démissionner samedi, après le refus de vendre exprimé par Jafar Hilali puis Alain Fontenla. Ils sont, pour l'heure, en phase de réflexion. Le conseil d'administration du Racing n'est pas (encore) constitué de démissionnaires. Si Jafar Hilali a refusé la dernière offre formulée par des investisseurs locaux, organisés par Henri Ancel et représentés par Frédéric Sitterlé dans la dernière ligne droite des négociations, Léonard Specht, Dominique Pignatelli et Thierry Wendling n'ont pas encore mis à exécution leur menace de rendre leur tablier d'administrateur.

Pignatelli désorienté

Le trio se donne encore quelques jours de réflexion. « Je suis désorienté après ce qui s'est passé ce week-end, indique Dominique Pignatelli. Je continue à jouer collectif. Avec Léonard Specht et Thierry Wendling, nous définirons une position commune avant la fin de la semaine. » Il s'agit déjà de digérer la déception d'un nouvel échec. Le président des SR Hoehneim réaffirme l'aspect symbolique de sa démarche. « Ma participation dans le dossier local, avec essentiellement mon apport initial, m'a conduit à m'effacer logiquement derrière Frédéric Sitterlé et Henri Ancel dans la discussion qui a abouti à un échec, poursuit-il. Je n'ai pas eu de contact avec Hilali ou Fontenla ces dernières semaines. Là, il me semble qu'il y a besoin d'un peu de temps pour réfléchir. »

Dans l'attente

Révoqué du CA avant d'être réintégré in extremis sous la pression de Léonard Specht et Dominique Pignatelli, Thierry Wendling entend également respecter la ligne de conduite définie dans les prochains temps. « Ma position est très claire, explique-t-il. Je suivrai ce que Léo et Dominique décident. Ils ont permis que je demeure administrateur (ndlr : le conseil d'administration était passé de 8 à 9 membres pour donner aux « Londoniens » le poids qu'il jugeait nécessaire tout en maintenant Wendling, le 17 février), je partagerai leur décision. » Après avoir organisé la résistance, les locaux présents au sein du CA attendent les prochaines évolutions avant de trancher.

François Namur
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argueti
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Re: Nouveaux Actionnaires ?

Message par argueti »

L'Alsace a écrit : Ries : « C’est ahurissant »

Le maire de Strasbourg Roland Ries refuse que le club phare de sa ville « parte à vau-l’eau ». Il dénonce les attaques verbales du propriétaire Alain Fontenla et assure qu’il ne laissera pas faire.

Depuis des semaines, Henri Ancel était son porte-parole. En attendant l’issue des négociations entre des repreneurs alsaciens auxquels il avait très tôt apporté son soutien et les propriétaires du Racing, Roland Ries s’était volontairement tenu en retrait. Le maire de Strasbourg, comme son médiateur, privilégiait une solution amiable. Aujourd’hui que les discussions sont rompues et qu’Alain Fontenla affirme une nouvelle fois n’être plus vendeur, le premier magistrat sort de sa réserve.

Roland Ries, comment réagissez-vous à l’échec des négociations dans le processus de rachat du Racing ?

D’abord, je tiens à faire un petit retour en arrière. Ma première réaction, lorsque le club a été vendu à M. Fontenla début décembre, a été de dire que tout ça relevait des affaires internes du Racing et ne concernait que très indirectement la Ville qui n’est plus actionnaire, seulement partenaire. Mais je me suis assez vite rendu compte que si le RCS est une société anonyme depuis déjà de nombreuses années (Ndlr : depuis 1997), l’image de la Ville lui reste étroitement liée. Le feuilleton à rebondissements auquel nous assistons depuis plus de trois mois ne donne pas une bonne image de notre club et de notre ville. J’ai donc demandé à un ami, Henri Ancel, qui est un homme de l’art dans la transmission d’entreprises, de négocier au nom de la Ville pour permettre aux investisseurs locaux de reprendre le Racing à l’amiable. Il l’a parfaitement fait. Jusqu’à vendredi peu avant minuit, la vente paraissait bien engagée. A minuit cinq, les propriétaires ont décidé de ne plus vendre.

En 48 heures, les relations entre les deux parties se sont singulièrement tendues…

Ce week-end, nous avons assisté à une charge extrêmement violente, tous azimuts, de M. Fontenla contre Henri Ancel, les investisseurs régionaux qui sont tous honorablement connus ici, la Ligue de Football Professionnel et la Ville de Strasbourg, donc le maire que je suis. La bataille est devenue féroce. Je me dois d’intervenir.

« J’ai personnellement bloqué la subvention »

Comment ?

Notre stratégie pour arriver à un accord amiable n’a pas abouti. Nous sommes dans une impasse alors que l’offre des Alsaciens – 1,6 million d’euros pour le rachat des parts, 3 millions pour le remboursement du compte courant et 300 000 euros pour les faux frais – me paraît très raisonnable. La LFP a elle aussi adopté une position très claire. Son président Frédéric Thiriez souhaite que les locaux prennent le relais. Si la Ligue manifeste autant d’inquiétudes, au travers de la DNCG qui a proféré en janvier des menaces aussi graves que la rétrogradation ou l’exclusion du club ou de son directeur général dans les colonnes de « L’Equipe » ce lundi (voir ci-dessous), c’est qu’elle doit avoir de solides raisons.

Le bruit court que vous auriez convié Frédéric Thiriez à Strasbourg avant la fin de semaine. Est-ce exact ?

Je le lui ai demandé, oui. J’attends encore sa réponse.

Quelles mesures comptez-vous prendre à l’encontre du club ?

Il est un peu tôt pour répondre en détail à cette question. Mais j’ai personnellement bloqué la subvention de 900 000 euros en attendant d’y voir plus clair. Les faits prouvent que j’ai bien fait. Mais je ne l’ai pas fait seulement parce que la façon dont se comportent les propriétaires est pour le moins opaque. Je l’ai fait aussi parce que le RCS a une dette importante à l’égard de la Ville pour la location de la Meinau, d’un montant de 680 000 euros.

Alain Fontenla affirmait samedi que le règlement avait été effectué…

Sauf s’il l’a fait hier ou avant-hier, c’est faux. Sinon, mes services m’auraient alerté. Je le répète : les raisons de bloquer la subvention sont multiples.

Avez-vous été choqué par les propos d’Alain Fontenla ?

Choqué ? Je trouve complètement ahurissant qu’il ose parler de Strasbourg comme d’une zone de non-droit et des investisseurs alsaciens comme de mafieux. Je le répète : c’est une agression tous azimuts. Chacun en a pris pour son grade, alors même que depuis trois mois et demi, la vie du Racing n’est régie que par d’incessantes vicissitudes — pour parler poliment — et volte-face pour le moins difficiles à comprendre. Je vais me concerter ces prochains jours avec les investisseurs régionaux et en fin de semaine, je prendrai des positions très claires au nom de la Ville et de la Communauté Urbaine de Strasbourg.

Etes-vous inquiet ?

Oui, plutôt. L’image de Strasbourg est en jeu. Mais au-delà de ça, je redoute un arrêt du football professionnel dans notre ville. Non seulement je ne dois pas m’en désintéresser, même si la Ville n’est plus qu’un partenaire, mais je vais m’investir personnellement dans le dossier. Je serai beaucoup plus présent. Je ne peux pas laisser le Racing partir à vau-l’eau.

Tous ligués

L’échec du processus de vente du RCS vendredi soir a donné le coup d’envoi des hostilités. La Ligue de Football Professionnel s’en mêle. La fronde s’organise en Alsace.

Jamais, dans cette histoire dont personne ne sortira grandi – et surtout pas le Racing dont on ignore même s’il sortira indemne –, Henri Ancel n’a outrepassé ses fonctions. Depuis le début, le médiateur nommé par la Ville s’est toujours exprimé au nom de Roland Ries, avec l’assentiment de ce dernier.

Dimanche, les deux hommes se sont téléphonés à trois reprises. Hier, le maire de Strasbourg est sorti de sa réserve (voir ci-dessus). Mais il n’est pas le seul. Dans les colonnes du quotidien sportif « L’Equipe » ce lundi, le directeur général de la Ligue de Football Professionnel et bras droit du président Frédéric Thiriez est monté au créneau. « Frédéric Thiriez a été très ferme », expliquait le DG en référence à une entrevue – déjà largement évoquée dans nos colonnes — entre le patron de la Ligue et les propriétaires du RCS le 26 décembre. « Il a indiqué qu’il souhaitait qu’ils partent et se rapprochent des investisseurs alsaciens. Si M. Fontenla n’est pas content de la méchante Ligue et de la méchante mairie, nous, nous ne sommes pas très contents non plus qu’il soit dans le paysage français. La Ligue est dans son rôle. Elle veille à ce que les propriétaires pilotent le club dans des conditions sécurisées, claires et nettes. Nous estimons et maintenons que ces conditions sont énigmatiques. On s’est rapproché du TRACFIN (1), qui a été saisi. M. Fontenla devrait quand même faire attention à ce qu’il dit… »

Cette escalade verbale connaîtra-t-elle une fin rapide ? Difficile à dire. Mais la pression environnementale risque d’aller crescendo d’ici à la fin de semaine. Les commissaires aux comptes du Racing auraient déjà lancé des procédures d’alerte auprès du procureur de la République sur certains mouvements financiers jugés suspects. « Ils l’ont fait », ne niait pas Alain Fontenla samedi soir. « Mais les commissaires aux comptes sont de mèche avec les Alsaciens. Malheureusement, nous ne pouvons pas les révoquer. La semaine dernière, mon propre commissaire aux comptes a désamorcé l’une de leurs procédures d’alerte, parce qu’elle n’était pas justifiée. »

Specht « inquiet comme beaucoup de monde »

Alors que la guerre des nerfs ne fait que commencer, les trois administrateurs alsaciens, Léonard Specht, Thierry Wendling et Dominique Pignatelli, ont décidé de surseoir de quelques jours à leur démission, censée être annoncée hier. « J’ai lu avec intérêt les déclarations de Jean-Pierre Hugues », commente D. Pignatelli, « si vraiment des irrégularités ont été commises, qu’il les dénonce. Dans l’attente d’éventuels éléments nouveaux, nous allons prendre le temps de la réflexion. »

« Nous nous reverrons ces prochains jours », confirme Léo Specht, « et nous prendrons une décision définitive avant la fin de semaine. Notre démission est un engagement commun. Alain Fontenla s’est montré très incorrect en mettant en cause des gens qui ont apporté du travail et créé des richesses depuis des décennies en Alsace. J’ai été très surpris de l’échec des négociations, car nous avons répondu aux exigences des propriétaires. Henri Ancel et Frédéric Sitterlé ont fait du bon boulot. Je crois que ces prochains jours, il ne faut plus trop parler. Les propriétaires ne veulent plus vendre. Nous en avons pris acte et n’avons plus les clefs. Comme beaucoup de monde en Alsace, je suis inquiet. »

Stéphane Godin
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Re: Nouveaux Actionnaires ?

Message par silex57 »

Si M. Fontenla n’est pas content de la méchante Ligue et de la méchante mairie, nous, nous ne sommes pas très contents non plus qu’il soit dans le paysage français.
Quel argumentaire de qualité !!

Tous ces mecs qui dénoncent le bordel autour du Racing ils ne se demandent pas qui l'a foutu ?
Je crois que ces prochains jours, il ne faut plus trop parler
Je crois que ces derniers mois il ne fallait pas trop parler.
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