Jean-Claude Plessis
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Re: Jean-Claude Plessis
Plessis ne peut réellement penser celà, il annonce quand même des recrues. Ce groupe est bien trop faible
			
			
									
									30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
						06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Re: Jean-Claude Plessis
depuis son arrivée, on ne parle plus du racing dans les journaux  
			
			
									
									
						
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Re: Jean-Claude Plessis
Ben pour ce qu'on en racontait c'est peut être pas plus mal !
			
			
									
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Re: Jean-Claude Plessis
Ca fait du bien de ne plus entendre enfin les "sauveurs" locaux.
			
			
									
									
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Re: Jean-Claude Plessis
Ca fait du bien pour endormir tout le monderaphou96 a écrit :Ca fait du bien de ne plus entendre enfin les "sauveurs" locaux.

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Re: Jean-Claude Plessis
chic, un président qui n'intervient pas dans les choix sportifs  
			
			
									
									
						
- PoY
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Re: Jean-Claude Plessis
Ouais enfin à 3-0, on peut pas dire que Marcos a servi à quelque chose  
			
			
									
									
						
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Re: Jean-Claude Plessis
Alsace Foot du 5 mai 2010 a écrit : « Ne pas décevoir »
Vendredi 30 avril 15h, rendez-vous dans le bureau du président. Jean-Claude Plessis nous accueille dans son nouveau lieu de travail au fond du couloir. « Il faut que je l’aménage différemment mais bon ce n’est pas la priorité », lance-t-il avant de nous inviter à nous asseoir :
L’ancien cadre du groupe Peugeot et président du FC Sochaux de 1999 à 2008 est sorti de sa retraite à 66 ans pour venir au chevet du Racing club de Strasbourg à la demande de l’actionnaire majoritaire Alain Fontenla. Le cinquième président de la saison fait le point un peu plus d’un mois après sa nomination.
Lorsqu’un président veut aménager un bureau à sa convenance cela veut dire qu’il s’installe dans la durée. C’est votre cas ?
Jean-Claude Plessis : Je veux m’installer à long terme dans ce bureau mais ce que je veux c’est m’installer à long terme personnellement. Cela m’importe plus. J’ai toujours vécu dans des bureaux qui servaient de salle de réunion ou ça discutait, ou ça se disputait. J’aime travailler au milieu des gens et vivre au milieu des miens.
Un peu plus d’un mois après votre arrivée dans quel état d’esprit êtes-vous ?
Ici j’ai eu la chance de trouver un personnel de qualité. C’est une affaire qui marchait, il ne faut pas non plus tomber dans la paranoïa. Le principal souci est le maintien de l’équipe. Tout le monde est tendu vers cet objectif. Une fois qu’on aura les points, on pourra passer à la deuxième phase parce que le club a besoin de repartir. Pour l’instant il est surtout malade de ses résultats. Aujourd’hui, il y a deux priorité : l’équipe et le prochain passage devant la DNCG fin mai.
Le club aura un déficit à éponger…
Il sera comblé. On se présentera devant la DNCG avec un résultat à l’équilibre quitte à obtenir un délais de quelques semaines pour qu’il le soit définitivement. Mais je pense que le passage devant la DNCG devrait bien se passer.
Vous n’avez pas de regret d’avoir rempiler…
Au contraire, je m’éclate. J’ai la chance d’avoir la confiance des actionnaires. J’ai posé mes conditions et jusqu’à preuve du contraire, ils les ont acceptées. J’ai fait sans doute un peu d’efforts. Ils ont été maladroits et ils le reconnaissent. Ils n’ont pas l’habitude de l’entreprise, du football et des relations medias mais on les a mal jugés, mal présentés. Ce sont des gars qui ont pignon sur rue. Ils ne sont pas traders comme on veut bien le dire. Ils travaillent à Londres, Paris ou à Genève sur des produits financiers. Ils vendent leur savoir aux banques. Ils ont trouvé un créneau. Ce sont des gars intelligents. Ils ont leurs idées, peut-être qu’elles ne plaisent pas toujours mais moi je les écoute. Ils sont jeunes mais on ne leur fait pas.
La cellule TRACFIN cellule du ministère des finances a tout de même ouvert une enquête sur l’origine des fonds. Il y a un doute donc…
D’abord ce n’est pas de l’argent sale. On le sait aujourd’hui. Avant de venir je me suis renseigné. Je n’ai pas été vice-président de la Ligue de football pendant six ans sans avoir quelques sources d’informations. Ils ont les moyens et l’intention de garder le club, de le structurer. Aujourd’hui on travaille très bien. Ce matin j’ai décidé de faire un audit dans tous les services mais aussi au niveau de tous les contrats que nous pouvons avoir avec les collectivités ou avec Sportfive. Un audit général pour avancer. Moi je veux leur montrer comment on part et où on va aller. J’ai vu le personnel pour leur expliquer que cet audit est fait pour aider tout le monde.
En mars vous avez présenté Alain Fontenla à Jean-Michel Aulas qui inaugurait un restaurant à Londres. Comment s’est passée la rencontre ?
J’ai aussi emmené Christophe Cornélie à Lyon pour assister à la demi-finale retour contre Munich en Ligue des Champions. Je leur fais découvrir le monde du football, rencontrer des présidents. J’ai entendu des échos comme quoi Jean-Michel Aulas n’était pas ravi. C’est faux. Il a été ravi de les rencontrer comme il a été ravi de revoir Cornélie. A Londres nous avons aussi rencontrer le directeur financier de Chelsea et d’autres présidents.
Comment sont vos relations avec Alain Fontenla ?
Elles sont excellentes mais je le vois peu. J’ai plutôt des relations avec Jafar Hilali que j’ai au téléphone quasiment tous les jours pour un prétexte ou un autre il a envie de savoir. Ils vivent dans une petite équipe et travaillent ensemble depuis très longtemps. Ils ont fait leurs études ensemble. Nous sommes des pièces rapportées. Il faut qu’ils aient complètement confiance en nous. Ils demandent à comprendre, c’est tout. Ils ne veulent pas qu’on mette leur fric en l’air. Parfois on est pas d’accord sur un sujet mais de temps en temps je cède parce que je pense que ce n’est pas trop important.
Un exemple…
A l’accueil, chaque personne qui entre doit marquer ses coordonnées sur un registre désormais. Ce n’est pas dans mes procédés. Pour eux, ça fait partie de leur fonctionnement, mais je pense qu’un jour ça disparaîtra. Je suis contre mais je n’en fais pas une affaire.
Comment ont évolué les relations avec la Ville de Strasbourg qui ne voulait plus avoir de relations avec Alain Fontenla ?
On a pas encore vu les élus mais je ne veux les revoir que lorsque j’aurai préparé le budget de la DNCG pour leur montrer qu’on prépare l’avenir. Y aller encore la bouche en cœur pour leur faire des promesses, non. Depuis que je suis là j’ai plutôt eu des signes favorables. J’irai quand on aura tous les éléments et ensuite je prendrai rendez-vous avec le maire seul ou accompagné.
Quel est votre plan en cas de maintien en Ligue 2 ?
On fera le bilan avec l’entraîneur et les recruteurs pour savoir. Il y a des joueurs en fin de contrat que l’on avait pas prévu de conserver mais que l’on va garder. Je vais monter une équipe avec ceux qui ont envie. Certains joueurs sont venus me voir en me disant qu’ils me faisaient confiance parce qu’ils savent que je respecte toujours mes paroles.
Quel est votre politique de recrutement ?
On aura pas de problèmes pour trouver des joueurs parce qu’il y a plein de joueurs qui vont se trouver au pied du camion. A nous d’être malins, d’attendre. Beaucoup de joueurs sont en fin de contrat, les clubs vont dégraisser. Il faut être patients.
Qui allez-vous laisser partir ?
Je ne vendrai pas pour vendre. On va être dans une troisième année de L2. Ca veut dire que nos plus jeunes joueurs ont trois années d’échecs avec nous. Pour Magaye Gueye par exemple, si demain un club de L1 dont je sais que l’entraîneur le fera jouer, je me vois mal le bloquer une année de plus ici. C’est le cas pour tous. Mais je ne dis pas que tous vont partir mais cela veut dire que des discussions peuvent s’ouvrir. Est-ce que Fanchone n’a pas fait l’année de trop ? On se doit d’être responsable. Je pense que s’il y a une offre pour lui on le laissera partir. S’il y a une offre pour Mamadou Bah je ferai pareil.
Quel budget envisagez-vous ?
Nous sommes en train de finaliser mais nous pourrions partir avec un budget de 14 millions d’euros. C’est une grosse baisse par rapport à ce qu’il y avait. La première chose que je veux faire c’est réinstituer un centre de formation performant. Il faut essayer de recruter les meilleurs jeunes et pas se les faire piquer par tout le monde. Je veux quelques Alsaciens parce que cela fait partie de notre patrimoine.
Quel est le projet du Racing à long terme ?
Je ne sais pas si on va monter la saison prochaine et de toute façon il faut d’abord se maintenir. Tout ce que je sais c’est qu’on sera un grand club dans les cinq ans. C’est la volonté des actionnaires et c’est aussi la mienne. Il y a un potentiel ici qu’il n’y avait pas à Sochaux. Strasbourg est un vrai club de foot moderne.
Et si Strasbourg descend en National, quel est le plan B ?
Y a pas de plan B. Descendre ? Je n’y pense pas, c’est pas un plan B c’est un plan Z un plan « Titanic ». Je suis prêt à dormir avec les joueurs s’il le faut. Comment voulez-vous parler du plan B ? Le plan B c’est retourner à Toulouse. Sérieusement, J’ai été bien reçu par les Strasbourgeois, par les élus et les supporters. Je suis arrivé un peu comme le messie dans un moment extrêmement difficile donc je ne veux pas les décevoir.
L'histoire est en marche ...
						- raphou96
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Re: Jean-Claude Plessis
« Aucune raison d'avoir peur »
Jean-Claude Plessis fait le point sur la situation de Strasbourg avant son dernier match crucial à Châteauroux. Même si le Racing n'a jamais gagné à l'extérieur depuis le début de la saison, le président alsacien n'est pas inquiet et estime que la roue tournera en sa faveur vendredi.
Jean-Claude Plessis, vos joueurs sont-ils inquiets avant de jouer ce match hyper important vendredi à Châteauroux ?
Les joueurs sont concentrés mais pas inquiets. On s'est réuni et on a beaucoup parlé. J'ai senti quelque chose de fort. Quelque chose que l'on aurait dû déceler avant. Ils sont extrêmement motivés. Il n'y a aucune raison d'avoir peur. Ce n'est que du football. En cas de problème, la vie continuerait. On est devant Châteauroux au classement. A nous d'aller faire le match qu'il faut. Montrer que l'on n'est pas à notre place. Même si je pense que Châteauroux ne l'est pas non plus. On s'est tous mis dans cette situation. Il ne fallait pas attendre le dernier jour pour se sauver. Je préférerais qu'on reste en L2 pour gagner du temps et pour les salariés du club. Il faut qu'on s'en sorte. Moi, je positive. Je pense qu'il y a des équipes plus mal loties que nous comme Châteauroux, Guingamp, qui doit gagner absolument, et Vannes, qui doit faire un résultat à Metz.
Strasbourg n'a jamais gagné à l'extérieur depuis le début de la saison. Est-ce que cela vous fait peur ?
Il y a un jour où les séries se terminent. La vie n'est pas seulement faite de certitudes. Tant qu'on a encore une chance de gagner à Châteauroux, on va y croire. En plus, ils ne sont pas très performants à domicile (ndlr : 5 victoires). Si on fait match nul, on s'en sortira peut-être, contrairement à Châteauroux qui est dans l'obligation de gagner devant son public. A nous d'être malins tactiquement et de laisser passer l'orage. Cette morosité à l'extérieur va s'arrêter. Il faut bien qu'on en gagne un.
Strasbourg semblait avoir fait le plus dur pendant l'hiver et vous voila menacés aujourd'hui. Avez-vous des regrets ?
On n'a pas eu la réussite que d'autres peuvent avoir. Les deux points que l'on perd contre Nîmes (1-1, 35eme journée) nous font mal. On avait la place pour passer.
Est-ce que le but inscrit par Jean-Alain Fanchone dans les arrêts du jeu du dernier match face au Havre (1-1) montre que la réussite est en train de tourner en votre faveur ?
Sur le plan comptable, ça ne change pas grand-chose car il aurait quand même fallu gagner à Châteauroux. Mais personnellement, ce but m'a libéré. J'étais dans les travées de la Meinau et ça m'a redonné de l'espoir. J'avais presque les larmes aux yeux. En plus, ce but a été marqué par Fanchone que je n'arrête pas d'engueuler car je le trouve parfois trop décontracté. Mais en football, quand vous vous faîtes rejoindre à la fin, vous êtes abattus mais quand c'est l'inverse, vous êtes tout euphoriques. Mais dans les deux cas, vous ne marquez qu'un point (Rires).
« Je n'ai promis aucune prime. Il n'y a que la valeur morale qui compte »
L'an dernier Strasbourg a manqué la montée à Montpellier lors de la dernière journée. Est-ce que cet échec a eu un retentissement sur vos joueurs cette saison ?
Bien sur que cela fait mal mais aujourd'hui, ce n'est plus exactement le même effectif. Nos sept premiers matchs ont été catastrophiques. Vous imaginez, on a pris (6-1) à Istres au premier tour de Coupe de la Ligue. Maintenant, ce n'est pas l'heure pour faire le bilan. Puis la blessure de Fauvergue nous a été préjudiciable car on ne joue pas si mal que cela. Il n'y a pas de joueur de son niveau pour le remplacer.
Est-ce que vous avez senti que toute la ville de Strasbourg était derrière son club cette semaine ?
Je n'ai pas reçu de fax d'encouragement de la part de la mairie. Je suis étonné de ne pas avoir reçu de message des collectivités. Je le dis comme je le pense. A Sochaux, ça ne se passait pas comme cela. Malgré cela, je tiens à souligner que j'ai été très bien reçu par les Strasbourgeois.
Si Strasbourg descendait en National, comment le club pourrait se relever ?
Le club se relèvera. C'est une option que nous n'avons pas du tout envisagée. Il sera temps d'y penser si la catastrophe arrive. Pour l'instant, on est en L2 et on veut y rester.
Qu'est-ce que vous avez promis aux joueurs en cas de maintien ?
Rien. On n'en a pas parlé pour l'instant. Il n'y a que la valeur morale qui compte.
- FM17
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Re: Jean-Claude Plessis
Pour les entraineurs quand on est vieux on est dépassé....et pour les présidents ?? je pose la question hein ?
en tout cas, GROSSE ERREUR d avoir confirmé Janin dans ses fonctions alors que le Racing était 11è et à 8 pts du 3è...Ca va vite en sport et dès qu on lache un peu on est mort...
			
			
									
									en tout cas, GROSSE ERREUR d avoir confirmé Janin dans ses fonctions alors que le Racing était 11è et à 8 pts du 3è...Ca va vite en sport et dès qu on lache un peu on est mort...
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
						
 
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