Ce n'est pas parce qu'elles ne sont plus appliquées qu'il faut leur chier dessus pour autant.
Avoir du respect pour les petites putes et autres merdeux du genre, très peu pour moi, merci.
J'ajoute juste, pour ne pas se méprendre, que ceci ne s'applique pas qu'à JPP. Dans le milieu du foot pro (ou semi-pro...), effectivement, peu de joueurs / entraineurs / dirigeants méritent ne serait-ce qu'une once de respect.
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
Rien ne coûte que de défendre des valeurs...je dis juste que croire à certaines valeurs dans le foot professionnel relève de l utopie plus qu autre chose...
Tu sembles repprocher à Papin d avoir approcher Lens (mais savons nous réellement ce qui s est passé déjà ?)...Je pense que Papin est un sot mais je lui reconnais des qualités managériales évidentes...On vient de l apprendre à notre dépens ce soir...
Rester en L2 avec une équipe comme celle qu il a est un excellent résultat...Le Racing et Guingamp étaient largement supérieurs à Chateauroux...
Bravo JPP !!!
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
FM75 a écrit :Tu sembles repprocher à Papin d avoir approcher Lens (mais savons nous réellement ce qui s est passé déjà ?)
Non, bien d'autres choses...
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
« Le Racing, il reste là », lance JPP en posant la main sur son coeur. On est à quelques minutes du début de la rencontre, vendredi soir, sur la pelouse de Gaston-Petit. Et Jean-Pierre Papin, visiblement, ne goûte guère cette 38e journée, qui enverra, quoi qu'il arrive, une de « ses » équipes en National.
« C'est dommage que les deux clubs ne puissent pas se sauver », ajoute même l'ancien coach ciel et blanc alors que ses joueurs pénètrent sur la pelouse pour l'échauffement.
Un heure et demie plus tard, l'entraîneur de Châteauroux présente le même visage. Soulagé d'avoir maintenu son équipe, mais « désolé » pour le Racing, comme il l'a répété à l'envi dans les travées du stade berrichon.
«Un super souvenir»
Personne ne pourra dire que JPP a eu le succès hautain. Il n'a pas non plus voulu parler de revanche sur le sort. Respectueux de l'adversaire, et sobre dans ses manifestations de joie, Papin a même tenu à soutenir les Strasbourgeois « surtout les jeunes, que je voyais jouer en CFA à l'époque où j'entraînais le Racing ».
Après avoir savouré comme il se doit ce maintien arraché in extremis, le Ballon d'Or est donc allé vers les Strasbourgeois. Consolant les uns, en prenant d'autres dans ses bras, et ce jusqu'au bus alsacien...
« J'ai eu des soucis avec quelques personnes au club, mais pas avec le club lui-même », souligne même Jean-Pierre Papin pour rappeler, une fois encore, son attachement à un Racing qui lui a offert sa première chance comme entraîneur au niveau pro.
« Je me souviens encore du match de 2007 face à Metz (qui avait assuré au Racing la remontée en L 1, ndlr), l'ambiance était juste incroyable à la Meinau. C'est un super souvenir », se rappelle encore JPP.
Ému et sincèrement désolé pour le club strasbourgeois, JPP a offert vendredi soir une leçon de dignité bienvenue en cette période trouble.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc