Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)

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argueti
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)

Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Sous l’œil du gendarme

Le club strasbourgeois sera reçu cet après-midi par la DNCG (1). Son dossier tient-il vraiment la route ? Analyse avant un rendez-vous capital pour l’avenir.

Jafar Hilali le disait lors de sa toute première visite à l’effectif professionnel le 3 novembre : il espère obtenir ce jeudi, lors de l’audition du Racing devant la DNCG (14 h 30), la levée de la mesure d’encadrement de la masse salariale à laquelle est soumis son club depuis janvier. L’espoir du propriétaire londonien est-il justifié ? Décryptage.

Le plan de trésorerie tient-il la route ? Jafar Hilali l’a répété à plusieurs reprises : « La trésorerie est assurée jusqu’en juin. » Après le conflit du début 2010 avec les collectivités en général et la municipalité strasbourgeoise en particulier, le club va - c’est vrai - bénéficier en 2010-2011 de subventions presque doublées (2). Un apport d’argent frais estimé à 2,35 millions par le RCS, qui a élaboré son budget sur l’hypothèse d’une 2e place. Ce montant inclut toutefois une prime d’accession en Ligue 2 de 200 000 euros encore loin d’être acquise à ce stade de la saison.

Par ailleurs, même si ce n’est pas illogique dans un bilan consolidé (qui englobe les charges et recettes du centre de formation), la direction londonienne a intégré dans son plan de trésorerie l’intégralité de la vente des bâtiments du centre à la Ville de Strasbourg. Soit 1,6 million (4,1 millions minorés du remboursement anticipé d’un prêt de 2,5 millions auprès d’un établissement bancaire).

Le contrat de cession devrait être signé dans quelques jours. En contrepartie, les Londoniens accorderont un droit de préemption - en cas de revente du club - aux actionnaires minoritaires propriétaires de plus de 5 % (Robert Lohr, Egon Gindorf et Dominique Pignatelli). Dans les faits, la section pro ne récupérera que 500 000 euros, en remboursement d’un prêt du même montant qu’elle avait accordé, lors de la construction il y a dix ans, à l’association support RCS qui gère le centre. « Le reliquat de 1,1 million ne remontera pas sur les comptes de la SASP (3), ni ne partira à Londres », garantit l’adjoint strasbourgeois aux finances Alain Fontanel. « La DNCG va surtout vérifier ce jeudi deux choses : un, si la trésorerie, particulièrement tendue ces trois prochains mois, n’a pas été surévaluée et sera suffisante ; deux, si le budget présenté est réaliste et si les économies promises lors de l’audition précédente en juillet ont été réalisées. Dans le cas contraire, Jafar Hilali devra refaire un chèque. »

La masse salariale des pros a-t-elle été suffisamment réduite ? Les joueurs peuvent aisément en témoigner : les rémunérations pratiquées cette saison à Strasbourg n’ont plus aucun rapport avec les émoluments somptuaires des années d’opulence. Plafonnée à 1,5 million par la DNCG, la masse salariale du groupe pro présentée ce jeudi sera légèrement supérieure : 1,56 million. Rappelons que la tolérance du gendarme financier de la LFP est de 3 %, soient 45 000 euros.

Le RCS dépassait donc légèrement cette limite avant que comme annoncé dans « L’Alsace » du 11 novembre, il ne se sépare hier de Victor Correia. Contre une indemnité forfaitaire de 15 000 euros, l’attaquant guinéen a résilié un bail qui courait jusqu’en juin. Son poids salarial sur les sept derniers mois (toutes charges comprises) représentait environ 40 000 euros. Le club bas-rhinois en économise ainsi 25 000.

Pas anodin, mais pas suffisant cependant pour compenser l’omission un brin étonnante de Boubacar Kébé. Pour 2010-2011, le salaire du Burkinabé est annoncé à… 0 euro. Certes, l’attaquant, blessé depuis le début de saison, est pour le moment pris en charge par l’assurance maladie. Mais l’ex-Nîmois, qui a déjà repris l’entraînement collectif, espère jouer en CFA 2 avant la trêve de Noël et postuler pour une place dans le groupe pro après. Il ne sera alors plus en arrêt maladie. Sa rétribution de janvier à juin s’élève tout de même à 72 000 euros, charges patronales non comprises. De quoi alourdir sensiblement la masse salariale globale et, peut-être, faire tiquer la DNCG.

Le budget est-il crédible ? Avec des dépenses de 9,3 millions pour des recettes de 4,5, le budget prévisionnel 2010-2011 fait apparaître un déficit de 4,8 millions que la direction du RCS compte boucher de la façon suivante :

1. 950 000 euros d’indemnités de mutation : 600 000 pour le transfert de Bah à Stuttgart, 100 000 pour celui de Franck Dja Djedje à Arles-Avignon et un bonus de 250 000 euros versé par Lorient pour la première sélection A de Kévin Gameiro (4).

2. 1,6 million - à quelques fractions près - de produit exceptionnel lié à la vente du centre de formation (voir ci-dessus).

3. Un abandon de compte courant de 2,8 millions. Avant la révision du budget DNCG le 15 novembre, l’intéressement sur la revente de Kévin Gameiro (30 % au-dessus de 3 millions d’euros) avait été comptabilisé pour - précisément - 2,8 millions, ce qui induisait un transfert du néo-international pour 12,3 millions avant le 30 juin 2011. Les dirigeants ont fini par comprendre que la DNCG n’appréciait que très modérément les recettes aléatoires. Bien entendu, si la cession de Gameiro était réalisée avant fin juin, le bonus récupéré réduirait d’autant leur abandon de créances.

Bonus espérés

On le sait : le Racing attend le prochain versement par Lorient d’une prime de 250 000 euros pour la première cape de Kévin Gameiro chez les Bleus. Il espère aussi un transfert de son ex-attaquant pour récupérer 30 % sur la plus-value (voir par ailleurs). Mais le club strasbourgeois table également sur deux recettes complémentaires encore aléatoires.

Dans le contrat de cession de Magaye Gueye cet été à Everton (pour 1,42 million), il a inclus un bonus lié au nombre de matches officiels de l’international espoirs avec les « Toffees. » Le RCS percevra 309 000 euros si son ex-attaquant dispute 15 rencontres de Premier League et Carling Cup (l’équivalent de la Coupe de la Ligue)

A ce jour, Magaye, appelé une bonne douzaine de fois sur le banc en championnat, n’est toujours pas entré en jeu. Il a en revanche pris part à deux tours de Carling Cup contre Hudddersfield Town (5-1) et à Brentford (1-1 – élimination d’Everton aux tirs au but). Le « pactole » n’est donc pas encore dans la poche du RCS.

Par ailleurs, la direction espère obtenir 270 000 euros pour son ancien attaquant Thievy Bifouma, parti sans crier gare à l’intersaison. Recruté en 2007, le joueur originaire de Saint-Denis a passé trois saisons en convention de formation. Alors qu’il arrivait en fin de bail, le Racing lui a proposé un contrat stagiaire dans les délais légaux (par courrier recommandé avec AR avant le 30 avril). Mais à la reprise estivale, Bifouma, régulièrement appelé en CFA l’an passé, a fait défection. Et pour cause ! Il s’était dans l’intervalle engagé avec l’Espanyol Barcelone. Contactée par le club catalan, la Fédération Française a sollicité une lettre de sortie internationale auprès du Racing. Sûr de son bon droit, ce dernier a refusé. Bifouma n’en a pas moins obtenu une licence en Espagne et joue chaque week-end avec les juniors A. Le RCS a saisi la FIFA et réclame donc 270 000 euros de dédommagement (90 000 par année de formation, comme c’est le règlement). Cette manne pour l’heure hypothétique dépend de la célérité avec laquelle l’instance internationale traitera le litige.

Entre Londres et l’ombre

Les Londoniens s’arrogeant chaque jour un peu plus un pouvoir sans partage, certaines informations sont évidemment exclues de la communication officielle. Comme le dirait Anne Roumanoff, « on ne nous dit pas tout. » Les patrons londoniens du Racing, qui ont éliminé les empêcheurs de tourner en rond en réduisant le nouveau directoire aux seuls président Jafar Hilali et président délégué Christophe Cornelie, gèrent le club sans consulter personne. Ce qu’Alain Fontenla avait d’ailleurs annoncé dès la fin 2009 : « Nous avons nos méthodes. » Voici un petit florilège d’opérations pas nécessairement contestables, mais dont on peut néanmoins se demander si elles servent les intérêts du Racing.

Des ventes déjà absorbées. « L’Alsace » le révélait le 4 novembre : les produits des transferts de Franck Dja Djedje à Arles-Avignon et Mamadou Bah à Stuttgart ont déjà pris la direction de Londres. Au total, 700 000 euros à déduire du montant investi par Hilali et Fontenla depuis un an : 7,2 millions (dont 1,6 million pour le rachat à Philippe Ginestet). Leur engagement financier au RCS n’est donc plus « que » de 6,5 millions (rachat compris).

Dayan, Rousseau et Seck payés par le club. Ceux qui assistaient à l’époque à la conférence de presse n’ont pas oublié les cris d’orfraie et autres dénégations offusquées d’Olivier Kachkach, l’un des bras droits de Hilali : « Les rémunérations de Hervé Seck (ex-directeur de la communication), Luc Dayan et Benoît Rousseau (venu avec Dayan pour une mission de conseil de quatre mois) seront assurées par Racing Investissements (Ndlr : la holding que Fontenla et les autres ont rachetée à P. Ginestet). La SASP n’en supportera jamais le poids. »

Pourtant, le mercredi 10 novembre en conseil de surveillance, les Londoniens ont fait voter la prise en charge par le RCS des honoraires, salaires et frais des trois hommes. Une ardoise de… 314 000 euros TTC pas anodine pour un club en principe pas censé la régler. Cerise sur le gâteau : Racing Investissements s’est octroyé une commission de 5 %. 12 000 euros environ retourneront ainsi à Londres. Les autres actionnaires apprécieront.

Relevons d’ailleurs que RI facture au club la totalité des honoraires de Luc Dayan, alors même que l’éphémère président attend toujours le paiement d’un reliquat de 75 000 euros HT. Il a saisi la justice pour récupérer non seulement cette somme, mais aussi 175 000 euros de dommages et intérêts (notre édition d’hier).

Abandon de compte courant : seulement la moitié. Sur la foi d’une déclaration de leur ex-président et porte-parole Jean-Claude Plessis (« L’Alsace » du 2 juillet), les Londoniens ont laissé croire qu’ils avaient abandonné la totalité de leurs 3 millions injectés en janvier en compte courant pour répondre aux exigences de la DNCG. Un prêt direct auquel ils n’ont en réalité renoncé que pour moitié. Cet abandon de 1,5 million, daté du 30 juin, correspond à la part d’Alain Fontenla. Carousel Finance n’a pas abandonné la sienne. Le club reste donc débiteur de la société de Jafar Hilali - qui n’a donc rien perdu pour l’instant - pour le même montant.

Détail d’importance : l’abandon de son prêt par Fontenla ne peut s’accompagner d’une clause de retour à meilleure fortune. « Il a l’air agacé et pressé que tout ça cesse », observait récemment un acteur du club. On peut comprendre que s’asseoir sur 1,5 million puisse le chagriner un peu.

Commissions en suspens

En marge des nombreux litiges aux Prud’hommes avec ses anciens salariés (« L’Alsace » d’hier), le Racing est actuellement en désaccord avec au moins deux agents de joueurs qui réclament depuis plusieurs semaines le paiement de leurs commissions sur certains transferts. Le premier, Maxence Lambert, est Strasbourgeois et attend le versement de 30 000 euros hors taxe, payables en trois échéances, pour sa mission dans les dossiers des Camerounais Anicet Eyanga et Patrick Mevoungou.

Le premier avait signé cet été à Strasbourg, mais devant les difficultés rencontrées pour faire homologuer les contrats de ses joueurs, le Racing l’a prié de plier bagages début septembre. Le 2 e, qui figurait dans le groupe des 30 Camerounais avant la Coupe du monde en Afrique du Sud, mais n’a pas été retenu par Paul Le Guen (Ndlr : qui l’a toutefois recommandé à Laurent Fournier), a passé une journée à Strasbourg. Peu emballé par les conditions proposées - un salaire mensuel de 4000 euros et une prime à la signature de 5000 -, loin de ce à quoi il s’attendait, il a décliné l’offre. Il évolue aujourd’hui à Sturm Graz (Autriche). « J’ai non seulement passé du temps sur ces dossiers, en me déplaçant en Autriche - où le Cameroun était en stage - pour convaincre Mevoungou, mais depuis mai, je suis aussi intervenu sur d’autres, comme la validation des cartes de séjour de Jocelin Ahoueya et Eric Nyatchou Ndema », indique M. Lambert, « A plusieurs reprises, le club m’a certifié - par SMS, puisque c’est visiblement son mode de fonctionnement - que je serais payé. Je ne l’ai jamais été. Mon avocat M e Fady a, mi-octobre, mis le club en demeure. Comme rien n’a bougé, il a déposé une assignation en référé au tribunal de commerce début novembre. J’ai en ma possession le bordereau de commission signé par le directeur sportif Jean-Luc Witzel. Je ne comprends pas. » Une audience en référé est prévue le 30 novembre.

« On m’avait promis 10 % de l’économie »

Autre cas épineux : celui d’un agent mulhousien qui souhaite rester anonyme dans l’attente de l’épilogue. Il est intervenu dans le transfert de Marcos à Troyes. Avec le départ du Brésilien et de son confortable contrat de deux ans, le club bas-rhinois a économisé environ 500 000 euros (charges comprises). L’intermédiaire haut-rhinois, qui affirme que le Racing a à l’époque pris contact avec lui pour un coup de main, réclamait 36 000 euros HT, mais devrait rehausser sa requête à 50 000 euros. « Le club m’avait promis 10 % de l’économie totale et quand je vois que je n’arrive pas à être payé pour moins, je ne vois pas pourquoi je serais conciliant. » Pour faire valoir ses droits, il dispose d’une reconnaissance de dette du Racing datée du 10 novembre - où on lui indique qu’après plusieurs reports, il sera payé au plus tard fin novembre - et d’une attestation de la Ligue certifiant qu’il a été « mandaté par le RC Strasbourg en vue de la signature de l’avenant de résiliation du contrat » de Marcos, « signé le 23 juillet et homologué par la LFP le 28. »

Ces deux différends ne seront évidemment pas résolus avant l’audition devant la DNCG cet après-midi. Est-ce un hasard ?

7,44

C’est, en millions d’euros, le montant des abandons en compte courant consentis par les actionnaires - passés et actuels -, avec clause de retour à meilleure fortune. Ce qui signifie que le Racing devra, à plus ou moins brève échéance, rembourser ces 7,5 millions. Une dette monstrueuse à ajouter aux procédures prud’homales en cours dont le risque maximal atteint 11 millions (« L’Alsace » d’hier). Ces chiffres, qui donnent le vertige, sont pour le moins de nature à décourager tout repreneur potentiel, à supposer, évidemment, que le club soit un jour à vendre.

A noter que les propriétaires londoniens peuvent toujours prétendre récupérer les 3,5 millions qu’ils ont abandonnés en 2009-2010, mais qui correspondent en fait au compte courant que Philippe Ginestet leur avait cédé pour un euro symbolique lors de la revente du club en décembre 2009 (Ces 3,5 millions viennent en supplément du prêt de 1,5 million auquel a renoncé Fontenla (voir par ailleurs). Les abandons 2009-2010 s’élèvent à 5 millions.). Ce jeudi, la DNCG s’attardera fatalement sur un autre chiffre : le RCS a clos 2009-2010 avec des fonds propres négatifs de plus de 550000 euros. Comme elle en a l’habitude, la LFP en exigera sans doute l’apurement.

Dossier : Stéphane Godin

(1) Direction nationale du contrôle de gestion de la Ligue de Football Professionnel.
(2) Celles de l’exercice précédent figurent néanmoins au compte de résultats 2009-2010 pour environ 750 000 euros.
(3) Société anonyme sportive professionnelle, autrement dit le club pro, qui validera les comptes 2009/2010 en AG le mercredi 8 décembre à 14h30.
(4) Le club morbihannais a jusqu’au 15 juillet 2011 pour payer. Passé le 1er juillet 2011, cette indemnité devra être retirée du budget 2010-2011
.
Vous voulez des détails, voila tout :D
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)

Message par baskath »

On peut toujours se dire qu'on n'est pas les seuls...
lequipe.fr a écrit :Grenoble : La DNCG pourrait sévir
Déjà bien mal en point sportivement, Grenoble redoute l'audition programmée jeudi devant la DNCG. La lanterne rouge de Ligue 2 est en effet aussi en proie à de grosses difficultés financières. Son actionnaire majoritaire, la société japonaise Index, souhaiterait céder ses parts. Mais en attendant de trouver un repreneur, les dettes s'accumulent. Des négociations sont bien menées avec la mairie depuis plusieurs semaines, selon L'Equipe, pour tenter de sortir de l'impasse. Seulement avec toujours rien de concret, le club risque des sanctions. La rétrogradation administrative à titre conservatoire n'est pas à exclure.
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Roswell Man
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)

Message par Roswell Man »

Feu vert pour Arles-Avignon, par contre Pacy va subir des sanctions plus lourdes que prévu (3 points en moins notamment).
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)

Message par lolo »

3 pts au lieu de 2.
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)

Message par silex57 »

Et nous ça donne quoi ?
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)

Message par argueti »

La réponse vient toujours quelques jours après ;)
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)

Message par Roswell Man »

En général, quand le verdict est différé c'est qu'il y a (ou va y avoir) des délibérations. Non ?
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)

Message par argueti »

Pas de news d'après un membre du club ;)
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)

Message par baskath »

Tiens, ils prennent des possibles ventes en compte, maintenant ? Bon, j'imagine que les négociations sont tout de même plus avancées.
lequipe.fr a écrit :La DNCG clémente avec Grenoble ?
Auditionnés jeudi par la DNCG, les dirigeants grenoblois ont plutôt bien réussi leur examen de contrôle. Alors que le club rencontre actuellement de grosses difficultés financières, L'Equipe explique vendredi que le GF38 pourrait néanmoins s'en sortir avec des sanctions mesurées. Raisons invoquées : la possible vente de Daisuke Matsui à la formation russe de Tomsk, où il est prêté, mais surtout la cessation partielle ou totale du club par l'actionnaire majoritaire, la société japonaise Index. Des discussions sont justement en cours avec des repreneurs éventuels.
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)

Message par Roswell Man »

DNCG - Verdict aujourd’hui ?

Rien de significatif n’a filtré hier de l’audition du Racing et de ses dirigeants, le président Jafar Hilali en tête, devant la DNCG (*) à Paris. Mais ce n’est guère étonnant. Le gendarme financier de la Ligue de Football Professionnel a en effet eu une après-midi très chargée. À son copieux menu, les auditions de trois clubs dont les cas ne sont pas les moins épineux : Arles/Avignon, lanterne rouge de Ligue 1, Grenoble, relégué de L 1 en fin de saison passée et « bon » dernier de Ligue 2, et Strasbourg dont on ne compte plus les passages devant la DNCG depuis un an.

Noro convaincant

Selon des sources proches de la Ligue, les trois entrevues se seraient prolongées assez tard, de sorte qu’aucune décision n’aurait été communiquée hier. Mais le verdict de l’organe de contrôle de la LFP ne devrait pas être mis en délibéré. Les clubs pourraient même en être informés dès aujourd’hui, ce que corroborent les informations récoltées du côté de Grenoble.

La campagne hivernale de recrutement du Racing en dépend. Arrivé cet été de Créteil, Yohan Betsch espère toujours l’homologation de son contrat. L’avenir de Stéphane Noro est lui aussi suspendu au jugement. À l’essai depuis lundi, le milieu de terrain a fait très bonne impression. Alors qu’il devait repartir ce week-end, il restera toute la semaine prochaine avec le groupe d’un Laurent Fournier qu’il a visiblement convaincu.

S.G.
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