[10/11] 24ème J: Niort / Strasbourg - 0/2
- Keating
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Re: [10/11] 24ème J: Niort / Strasbourg - 29/01/2010 à 18h00
un match en moins faut le dire vite ... On a un match en moins que Beauvais ou Rouen, mais aussi 2 matchs de plus que Fréjus, ou un de plus qu'Amiens, 4ème ....
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Re: [10/11] 24ème J: Niort / Strasbourg - 29/01/2010 à 18h00
C'est surtout qu'il reste un paquet de matchs à jouer, là si on veut monter on doit gagner tout ou presque puisqu'effectivement on a encore pas mal de points en retard, si on avait vraiment joué à Cannes je serai optimiste, là je pense encore qu'on ne montera pas cette année
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
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Re: [10/11] 24ème J: Niort / Strasbourg - 29/01/2010 à 18h00
DNA a écrit :Signes extérieurs de richesse
Dominés en première période, les Strasbourgeois ont fait la différence en seconde mi-temps face à une équipe niortaise réduite à dix. Après la victoire à Bayonne mercredi, le Racing a doublé la mise à l'extérieur et revient dans la course à la montée à cinq points du podium.
Deuxième match cette semaine et deuxième victoire à l'extérieur pour Stéphane Noro et le Racing qui se replacent dans la course à la montée. (Photo Le Courrier de l'Ouest/Philippe Bonnarme)
De notre envoyée spéciale à Niort
Au mois d'août dernier, à la Meinau, le Racing et Niort s'étaient séparés sur un match nul (0-0) qui n'avait pas fait les affaires alsaciennes. Mais hier soir, pour le match retour à René Gaillard, les Strasbourgeois ont récupéré les points perdus en s'imposant 2-0.
« En première mi-temps, on a été à la ramasse »
Dès l'entame, ce sont pourtant les Niortais qui prennent la rencontre en main, avec un trio Dembelé, Hébras et Glombard qui met la pression. Dominé dans la récupération, à l'image d'un duo Damour/Ahoueya fantomatique durant ces 45 premières minutes, le Racing n'arrive pas à sortir de la nasse. Heureusement pour lui, les attaquants locaux font preuve de maladresse, alors que de l'autre côté, les quatre mousquetaires de la défense se montrent plus que solides. Mais les Alsaciens, incapables d'inquiéter Aubeneau - le portier niortais n'a d'ailleurs pas touché la balle en première période -, rentrent au vestiaire tête basse. « En première mi-temps, on a été à la ramasse, on n'a pas gagné un duel et on n'était pas assez agressif », soulignait d'ailleurs avec raison Laurent Fournier. « On a mis une mi-temps à entrer dans le match », exposait aussi Benjamin Genghini. « Le coach nous a bien bougés dans les vestiaires et il avait raison, parce que dans l'engagement, on n'y était pas », poursuivait Stéphane Noro, dans la même veine, à l'issue de la rencontre. Au retour des vestiaires, l'équipe strasbourgeoise est animée de meilleures intentions même si Mathlouthi, blessé (*), doit laisser sa place à Belvito. Mais c'est un coup du sort qui va faire basculer la rencontre. A la 57e, Kévin Aubeneau sort dans les pieds de Stéphane Noro et bloque la balle des mains... hors de la surface. Le gardien local voit rouge et dans la foulée, Noro fait parler son talent en inscrivant un magnifique coup franc direct, imparable pour un Landais tout juste entré en jeu (60e). « Les coups de pieds arrêtés, c'est important et ça peut faire tourner un match », résumait d'ailleurs le milieu de terrain, une nouvelle fois décisif après son but à Rodez. Menés contre le cours du jeu, les Niortais tentent alors le tout pour le tout, mais butent sur la défense rugueuse, mais intraitable, du Racing menée par un Sikimic des grands jours. A force de pousser, les Chamois s'exposent aux contres et à la 78e, une accélération de Noro va offrir le break aux Strasbourgeois. Le meneur du Racing sert Damour, qui joue intelligemment avec Genghini. Ledy hérite finalement de la balle et trompe Landais d'une belle frappe croisée, inscrivant là son 3e but de la semaine après son doublé à Bayonne. Suffisant pour plier définitivement cette rencontre.
« Six points, c'est l'idéal »
« L'expulsion nous a bien aidés, mais même sans cela, on a été mieux en deuxième période. Je suis très content pour le club, ses supporteurs et très fier de mes joueurs », exposait Laurent Fournier. « On s'est bien repris après notre première mi-temps ratée et sur la semaine, rapporter six points, c'est l'idéal, tranchait aussi David Ledy. Mais il reste 18 matches et il va désormais falloir enchaîner à domicile. »
Barbara Schuster
(*) Touché au genou dans un choc, Ali Mathlouthi s'est montré rassurant à l'issue de la rencontre. Il souffre d'un gros hématome
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Re: [10/11] 24ème J: Niort / Strasbourg - 29/01/2010 à 18h00
L'Alsace a écrit :La preuve par neuf
Bien aidés par l’expulsion du gardien des Chamois Kévin Aubeneau juste avant l’heure de jeu, les Strasbourgeois se sont imposés hier à Niort pour la 3 e fois en quatre voyages en janvier (2-0). Ces neuf points pris sur douze les replacent à cinq longueurs du podium.
Nul besoin d’être un expert de la chose footballistique pour savoir quand le Niort - Strasbourg d’hier soir a basculé. Il a suffi d’un fait de jeu, à la 57 e, pour faire pencher la balance du côté du Racing. Une action anodine au demeurant, avec, au départ, un long ballon flottant en direction de la surface de réparation niortaise.
Le gardien deux-sévrien, Kévin Aubeneau, qui n’a rigoureusement rien eu à faire depuis le début de la rencontre, en apprécie mal la trajectoire et le relâche malencontreusement hors de sa surface dans les pieds de Stéphane Noro. Le néo-Strasbourgeois profite de la boulette et arme sa frappe. Parti à l’aventure au-delà de la ligne des 16 m, le portier niortais stoppe le tir des deux mains. Le carton rouge est indiscutable. Le temps pour sa doublure de suppléer Arnaud Gonzalez, rappelé sur le banc pour les besoins de la cause, et Noro ajuste un coup franc imparable, d’une superbe frappe enroulée du droit, dans la lucarne gauche de l’infortuné Pascal Landais, cueilli à froid (60 e). Une double peine en quelque sorte qui scelle le sort d’une partie jusque-là plutôt soporifique.
Certes, Niort a bien tenté de l’emballer, mais ses tentatives (tête de Ricaud à la 11 e, demi-volée de Gonzalez à la 16 e et nouvelle tête de Bernard à la 19 e) ont toutes pris la direction des nuages. Le Racing a subi, sans être réellement mis en danger. Il n’a surtout rien montré offensivement. Aubeneau se serait offert le luxe d’un café qu’il aurait pu le boire sans risquer de payer l’addition.
De fait, Laurent Fournier haussera sensiblement le ton à la pause. « Nous étions à la ramasse, pas du tout agressifs. Le foot est d’abord un combat et nous n’avons pas gagné un duel. »
« Le coach nous a bougés », dévoile Benjamin Genghini, « Il nous a dit que si nous voulions avoir quelque chose à jouer dans ce championnat, il nous fallait absolument gagner. L’erreur du gardien niortais nous a bien aidés. Mais encore fallait-il que Steph Noro (Ndlr : auteur de son 2 e but en 2 matches de National après Rodez) mette le coup franc derrière et que nous assurions le succès grâce au but de David Ledy. »
« La première fois qu’on est si près »
Tapi dans l’ombre tel un chat prêt à bondir sur sa proie, le Racing, en supériorité numérique, va effectivement se mettre à l’abri à la 78 e grâce à l’homme de la semaine, David Ledy, déjà double buteur à Bayonne mercredi. Le Haut-Rhinois va bénéficier de l’excellent travail de Loïc Damour, qui transperce les lignes adverses, s’appuie sur Genghini et sert son attaquant à l’angle des 16 m côté gauche. L’Aspachois décoche une frappe croisée du gauche qui fait définitivement mettre genou à terre à des Chamois abattus.
La sortie sur blessure d’Ali Mathlouthi sitôt la reprise (voir par ailleurs) est ainsi reléguée au rang d’anecdote sans conséquence, tout comme le penalty oublié par l’arbitre Romain Delpech pour une faute de Julien Outrebon sur le rentrant Mouhamadou Diaw. « Je ne le touche pas », jure le défenseur bas-rhinois. Pourtant, son croche-pied semblait évident (90 e + 2). Tout ça pour la petite histoire. Car il était trop tard pour remettre en cause la 8 e victoire d’un RCS qui a chaussé ses bottes de sept lieues en 2011, avec cinq succès pour une défaite en six rencontres (trois sur quatre en National). Même si le calendrier n’est pas à jour, les Bleus, toujours 8 es, ne pointent plus qu’à cinq points du podium. « C’est la première fois qu’on est si près », se réjouit Ben Genghini, « Enchaîner les victoires fait du bien, permet de recoller et donne envie d’aller plus haut encore. »
Ça tombe bien. Entre le 8 e de Coupe de France à Angers mardi et les réceptions de Bastia et Guingamp les 5 et 8 février, les Bleus se préparent à attaquer trois sommets.
De notre envoyé spécial Stéphane Godin
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Re: [10/11] 24ème J: Niort / Strasbourg - 29/01/2010 à 18h00
L'Alsace a écrit :« J’y croyais »
Laurent Fournier avait fixé un objectif de 7 points sur les quatre déplacements de janvier. Ses joueurs en ont récolté 9 grâce à trois succès à Rodez, Bayonne et Niort. Le RCS n’avait pourtant plus gagné à l’extérieur depuis 19 mois.
Laurent Fournier trouve encore la force d’en plaisanter. Dans les couloirs du stade René-Gaillard, un confrère niortais est le premier à lui demander ses impressions après la troisième victoire des siens lors des quatre déplacements de janvier. « Ma réaction ? Je vous la donne si je ne suis pas viré », blague le technicien, chambreur après ce 2 e succès à l’extérieur en trois jours. Son « vrai-faux » limogeage, qui date d’une semaine pile, hante toujours son esprit. « Ai-je gagné un peu de tranquillité grâce à cette victoire ? Sincèrement, je ne sais pas. Moi, je continue à faire mon truc comme depuis le début. Je n’ai pas de revanche à prendre. Je ne suis pas aigri. Juste fier de ce que font les joueurs. Après l’annonce de mon limogeage et l’hommage qu’ils m’ont rendu lors du but de la victoire en Coupe de France contre Évian (Ndlr : dans le sillage du buteur Ali Mathlouthi, ils s’étaient tous précipités sur lui) , j’ai reçu beaucoup de messages de soutien de techniciens du foot me disant que ça les changeait de voir des joueurs ainsi derrière leur entraîneur. Nos succès me font d’abord plaisir pour les joueurs. Je crois en ce groupe. Je suis aussi super content pour le club et les supporters. J’avais fixé un objectif de 7 points sur 12 à l’extérieur en janvier. Nous en prenons 9. J’y croyais. »
Sans doute, du côté de Londres et du président Jafar Hilali, se gargarisera-t-on de l’électrochoc provoqué par une éviction que seule la peur du ridicule - celle d’un président qui vire un coach n’ayant perdu, ce matin, que 3 de ses 29 matches officiels - a repoussée à plus tard.
« L’électrochoc s’était déjà produit à Rodez, non ? »
« Avec ces événements, le groupe s’est encore plus solidifié », glisse d’ailleurs David Ledy dont l’aveu pourrait apporter de l’eau au moulin du propriétaire. « Ce n’est pas ce que j’ai dit », corrige l’attaquant, auteur hier de son 6 e but en championnat. « Le coach fait du bon boulot. Nous sommes tous très contents de travailler avec lui. Nous l’étions avant. Pour le reste, nos deux victoires à l’extérieur de la semaine sont vraiment bénéfiques. Depuis le début 2011, nous sommes bien, avec cinq victoires en six matches. Malgré une mauvaise première mi-temps, nous avons su rapporter les trois points. C’est ce qui a changé par rapport au début de saison. Notre confiance va crescendo. »
Laurent Fournier réfute lui aussi en bloc la théorie du choc psychologique généré par l’annonce de son remplacement par l’Allemand Peter Zeidler : « Quel électrochoc ? L’électrochoc s’était déjà produit lors de notre victoire 3-0 à Rodez, non ? » Un argumentaire que Benjamin Genghini fait aussi sien. « Le groupe était déjà fort et solidaire. Il est sain. Il n’y a pas de tricheurs. L’épisode du départ du coach nous a juste encore plus rapprochés du staff. Nous avons montré que nous voulions continuer avec Laurent et Jacky (Canosi, son adjoint, qui devait lui aussi être évincé) . »
S.G
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Re: [10/11] 24ème J: Niort / Strasbourg - 0/2
ce journaliste qui signe dans l'alsace continue de faire référence aux seules défaites
personne ne lui encore dit qu'il vaut mieux gagner et perdre que deux matches nuls
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