Les Brêves du Football
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				EDES
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Re: Les Brêves du Football
Par contre, j'arrive pas à comprendre en vertu de quoi il est sanctionné par la fédération colombienne. Ce n'est même pas de l'antijeu.
			
			
									
									"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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Re: Les Brêves du Football
Si les supporters de Barranquilla tenaient vraiment à leur mascotte, qu'est-ce qu'elle foutait sur la pelouse, prête à se faire dégommer ?...
			
			
									
									
						- PoY
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Re: Les Brêves du Football
Comportement anti sportif ?Its_me a écrit :Par contre, j'arrive pas à comprendre en vertu de quoi il est sanctionné par la fédération colombienne. Ce n'est même pas de l'antijeu.
- Its_me
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Re: Les Brêves du Football
Bah ça n'a rien à voir avec du sport 
			
			
									
									"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
						- Keating
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Re: Les Brêves du Football
Exploser la mascotte de l'adversaire, c'est surement considérer comme manque de respect de l'adversaire ...
			
			
									
									
						- Gotcha
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Re: Les Brêves du Football
l'histoire ne dit pas s'ils l'ont bouffée après le match  
			
			
									
									
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Re: Les Brêves du Football
salaud !!!Stan a écrit :Ça reste un pioc !D520 a écrit :un vrai gros con !!!
c'est pas un pigeon, merde c'est une chouette !!!!
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				Alkand
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Re: Les Brêves du Football
Je dirais la même chose... Ça peut être sanctionné de la même manière que des propos injurieux ou des gestes déplacés envers des supporters.PoY a écrit :Comportement anti sportif ?
Si... Ils l'ont incinérée.Gotcha a écrit :l'histoire ne dit pas s'ils l'ont bouffée après le match
- argueti
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Re: Les Brêves du Football
L'Equipe a écrit :Trop de pub sur les maillots !
Au menu de notre chronique : haro sur les tuniques à sponsors multiples, une loi pour les stades contestée et la révolution du foot espérée en Tunisie.
Voilà qui va interpeller les clubs de foot et leurs entreprises partenaires. Près de 8 supporters sur 10 se prononcent contre les maillots "sapins de Noël", c'est-à-dire bardés d'un grand nombre de marques. Ce rejet s'est exprimé «spontanément» lors de l'étude menée par Sportlab sur la mémorisation des sponsors dans le sport en 2010. «Le maillot est considéré par les fans comme un symbole qu'il faut préserver», décrypte Gilles Dumas, le directeur de l'agence de marketing, interrogé sur BFM. «Lorsqu'un maillot porte quatre ou cinq marques différentes, ce n'est plus du sponsoring mais de la publicité», souligne le spécialiste. Toute la difficulté consiste à capter les mêmes budgets avec un sponsor unique. N'est pas le Barça ou Manchester United qui veut.
L'étude Sportlab montre aussi que Carrefour et le Crédit Agricole, deux sponsors de l'équipe de France lors du Mondial, sont les deuxième et quatrième marques les mieux mémorisées, malgré le (à cause du ?) festival sud-africain des Bleus. Comme en 2009, BNP Paribas, sponsor du tennis, est en tête de ce classement, tandis que Perrier, autre ami de la petite balle jaune, ressort comme la marque associée au sport la plus sympathique. Le cyclisme place trois sponsors dans le top 10 : la FDJ, Bouygues et LCL.
BEA, PPP, késako ?
L'assemblée nationale a adopté mercredi une proposition de loi qui doit permettre à Nancy, Lens et Paris de boucler le financement de la rénovation de leurs stades en vue de l'Euro 2016. Bollaert et le Parc des Princes ont la particularité d'être loués par les clubs aux municipalités propriétaires pour une très longue durée. Un "bail emphytéotique administratif" (BEA) également envisagé pour Picot, à condition que le projet puisse recevoir des aides publiques, ce que le texte vise précisément à autoriser. Non sans risque d'endettement pour les collectivités tempêtent les opposants, à l'image d'Hervé Féron, député (PS) de la banlieue de Nancy, qui pointe «une loi sur commande».
Les sept autres stades candidats (hors Stade de France) ont des régimes différents. Lyon doit être construit sur fonds privés (sauf les accès) ; à l'inverse, rénover Geoffroy-Guichard et le Stadium de Toulouse revient exclusivement aux collectivités, propriétaires-gérants des enceintes. Le régime intermédiaire du partenariat public-privé (PPP), enfin, concerne Lille, Bordeaux, Nice (constructions) et Marseille (rénovation) : la Ville est propriétaire du stade et fait appel à des partenaires privés pour le financer et l'exploiter pendant une trentaine d'années. Les géants du BTP montent en première ligne : Eiffage à Lille, Bouygues à Marseille...
La Tunisie attend la reprise
«Après la révolution politique, il faut une révolution du football» : Ahmed Mghirbi, le consultant vedette du foot tunisien, résume le sentiment général des supporters, privés de Championnat depuis le 9 janvier et inquiets de ses difficultés financières, héritées d'un passé «de magouilles et d'incompétences» et alourdies par le bouleversement dans le pays. Les clubs interrogés par Afrik.com pleurent les aides des municipalités qui n'arrivent pas, pas plus que l'argent des paris sportifs ou des droits télé. Quasi faillite, salaires impayés, joueurs en grève, enjeux de sécurité, légitimité des dirigeants fédéraux... Chaque journée reportée plombe un peu plus la saison. «Le pays avance à pas de géant, mais tout le monde attend avec impatience la reprise de la Ligue 1», piaffe lui aussi Mghribi. D'autant que la révolution va plutôt bien sur le terrain : les quatre représentants tunisiens en Ligue d'Afrique des champions et en Coupe de la CAF ont tous gagné ce week-end. - J.LB.
L'histoire est en marche ...
						
                
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