 
 Même Roland Ries le trouvait à gauche ce Fritz ! il aurait même déclaré "à Strasbourg on a Fritz on a rien compritz"
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pas assez d'argent dans le circuit, bling bling et cie, qu'est-ce que un mec comme ça vient nous emmerder dans notre sphèreKeating a écrit :Vous allez trouver ça con, mais je crois que le projet de Thomas était trop "de gauche" pour pouvoir réussir en Alsace....
 c'est comme ça que l'on peux le comprendre, mais c'est aussi à tous les niveaux du club
 c'est comme ça que l'on peux le comprendre, mais c'est aussi à tous les niveaux du club  

L'Alsace a écrit :Fritz n’aura pas les clefs
À la demande des salariés qui souhaitent que cesse la mascarade, le conseil de surveillance a, avant de démissionner, poliment éconduit le supporter-propriétaire Thomas Fritz.
Les choses ont été claires, nettes et carrées. A 15 h 30, comme prévu, a débuté hier la réunion du directoire, suivie du conseil de surveillance. Alors que l’ex-propriétaire londonien Jafar Hilali et son subalterne Christophe Cornelie ont démissionné par lettre recommandée avec accusé de réception sans avoir le courage de venir affronter ceux qu’ils vont conduire dans les prochains jours au pôle emploi, l’équipe Graeff s’est déplacée au grand complet pour assumer ses responsabilités, même si l’exercice de son pouvoir, validé jeudi dernier par une assemblée générale dont personne ne sait vraiment aujourd’hui si elle était légale, aura duré moins d’une semaine.
Dans les premiers instants du directoire, le nouveau supporter-propriétaire Thomas Fritz a été invité à présenter son projet. « Quel projet ? Il n’y a pas de projet », tranche le kiné Eric Moerckel, convié, comme trois autres représentants du personnel (le directeur de la sécurité Christophe Krebs, le coordinateur sportif Pascal Camadini et le concierge François Chatelet-Dubs), à assister à des débats qui concernaient directement l’avenir des salariés.
Une fois l’exposé terminé, les deux autres membres du directoire, le président Louis Bacchialoni et Lukas Furrer, proches de S. Graeff, ont démissionné. Les quatre membres du conseil de surveillance (Sébastien Graeff, René Maechler, tous deux présents, Jean-Pierre Valente et Egon Gindorf) les ont ensuite imités en bloc. Ils ont également décidé d’introduire une requête pour la nomination d’un administrateur judiciaire. « Ces démissions prennent effet immédiatement », indique M e Arnaud Schmitt.
« Une décision professionnelle et raisonnable »
Sébastien Graeff a ensuite rappelé T. Fritz pour l’informer de ce que son avocat Arnaud Schmitt appelle « une décision professionnelle et raisonnable. » Et l’avocat luxembourgeois, strasbourgeois d’origine, de la motiver. « Après la démission du directoire, le conseil de surveillance a constaté la vacance du pouvoir.Deux choix s’offraient à lui : soit nommer Thomas Fritz ; soit requérir la nomination d’un administrateur provisoire dès vendredi. Après avoir écouté M. Fritz et les représentants du personnel, après aussi avoir mené une réflexion depuis que l’acquisition de Racing Investissements (Ndlr : l’une des holdings de tutelle du club) par M. Fritz a été portée à notre connaissance, nous avons décidé de ne pas lui confier les clefs du club. Il n’est à cette heure dirigeant ni de Racing Investissements, ni d’EuroRacing (l’autre holding), ni de la SASP. Notre rôle n’était pas de lui faire obstruction et cette décision ne porte pas de jugement sur la valeur de son projet, mais nous avons estimé que la désignation d’un administrateur était dans l’intérêt du club. Après, rien n’interdit à M. Fritz de faire valoir ses droits, notamment en respectant les délais du droit des sociétés, comme celui de quinze jours nécessaire à la convocation d’une assemblée générale. »
Dans quinze jours, Thomas Fritz sera retourné depuis longtemps dans un anonymat dont seul le manipulateur Jafar Hilali pouvait l’extraire.






