Association support RCS

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argueti
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Re: Association support RCS

Message par argueti »

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Re: Association support RCS

Message par Tenor »

il manque les annexes !!!!!! :arrow:
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Re: Association support RCS

Message par RACING1906 »

Les trois intervenants ne transpirent ni l'aisance ni l'enthousiasme.

Est-ce que je me trompe ?

Dommage, car il s'agit, normalement, d'une grande victoire pour la cause qui nous est chère, le RACING.
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argueti
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Re: Association support RCS

Message par argueti »

J'ai trouvé Sitterlé assez sur sa réserve, peut être un peu fâché du modèle signé de la convention et l'éviction de deux de ses choix dans les dirigeants ...

Spielmann s'est montré fatigué mais soulagé, la sortie n'est pas loin.

Ancel a été le plus ferme des trois.
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argueti
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Re: Association support RCS

Message par argueti »

DNA a écrit :Tout est bien…

Après plus trois mois de négociations, les principaux dirigeants du Racing ont ratifié une convention qui doit clarifier la gestion du club. La durée de vie de document est de quatre ans et demi. D’ici là, le retour au professionnalisme est espéré.

Tout ça pour ça, pourrait-on penser. Après un feuilleton à rebondissements dont il a l’insupportable secret, le Racing est apparu parfaitement pacifié ou presque, hier midi, quand les trois hommes forts du club strasbourgeois ont déboulé devant les médias. Patrick Spielmann, président de l’association, Frédéric Sitterlé, présenté l’été dernier comme le partenaire privé privilégié dans la reconstruction d’un club placé en liquidation judiciaire, et Henri Ancel, proche de la Municipalité mais également de deux camps qui tendaient au mieux à se considérer en chiens de faïence ces derniers temps, ont donc trouvé un accord.

« Sur la base d’un texte type du ministère »

« La période de discussions peut paraître longue, mais la convention est signée pour quatre ans et quelques mois, a expliqué Patrick Spielmann. On a trouvé un accord sur la base d’un texte type du ministère de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale. » Les écrits organisent les relations entre l’association, qui a repris les activités du club une fois la liquidation judiciaire prononcée à l’été dernier, et la société par action simplifiée (SAS), créée et dirigée par Frédéric Sitterlé.

Ce dernier avait apporté les garanties au tribunal lorsque le club a été menacé de disparition pure et simple. Il a dans l’idée d’être à la base d’un retour vers les sommets, tout du moins vers le professionnalisme. Néanmoins, entre les chevilles ouvrières du Racing amateur et les rêveurs d’un futur doré ou nettement moins terne, les fritures ont pu apparaître sur la ligne. Henri Ancel a aidé à mettre de l’huile dans les rouages et à éteindre l’incendie qui s’est propagé au monde politique quand l’opposition a évoqué le sujet au conseil municipal le mois dernier.

La subvention allouée par la Ville représente les deux tiers du budget cette saison. Frédéric Sitterlé avait assuré d’un apport de plusieurs millions d’euros dans les trois ans mais tardé à ouvrir concrètement le portefeuille. D’aucuns ont décelé une escroquerie en gestation ou des malversations à prévoir dans les premières propositions de convention. « Il ne faut pas se tromper d’adversaire, a lâché Henri Ancel hier. Si le club est aujourd’hui un grand accidenté, c’est à cause de Jafar Hilali, par qui le cataclysme est arrivé. Là, il n’y avait pas de mauvaise volonté, ni de souhait de s’enrichir personnellement. Mais on sait qu’avec le Racing, il est parfois dur de faire bouger les choses. »

Au final, la nouvelle convention aurait fait l’objet d’un accord assez simple puisqu’elle s’appuie sur… le texte qui a longtemps eu cours. Elle est néanmoins valable quatre ans et demi, tandis que le précédent document faisait l’objet d’une nouvelle signature chaque année. Elle prévoit également quelques nouveautés avec l’organisation d’un conseil de club, composé de six personnes, trois désignées par l’association et trois par la SAS. Cette entité aura en charge la politique sportive, les orientations stratégiques et la validation du budget.

Cette dernière question relève de la plus haute importance. Lancé dans la course à la remontée, le Racing peut très bien être relégué par les instances fédérales pour des raisons financières. C’est ce qui lui est arrivé l’été dernier, son incapacité à remonter en Ligue 2 l’ayant conduit en CFA2.

« Un besoin en trésorerie que l’on peut estimer entre 400 000 et 500 000 euros »

Frédéric Sitterlé devra bel et bien apporter sa contribution, dès cette saison. Henri Ancel a pu se forger une idée des besoins. « Il y a deux points à considérer, explique-t-il au regard d’un rapide survol des comptes du club. Le déficit d’exploitation s’élèvera entre 1 et 1,3 million d’euros pour la présente saison ( en partie comblé par la subvention municipale qui s’élève à 750 000 euros). Mais il y a surtout un besoin en trésorerie avant le 30 juin que l’on peut estimer entre 400 000 et 500 000 euros. » En fait, le chiffre n’a rien de spectaculaire. « On le retrouve de manière récurente tous les ans », précise Patrick Spielmann.

Frédéric Sitterlé sera donc mis à contribution. Le jeune chef d’entreprise promet de ne pas se défiler. « La convention est un acte de propriété du club, explique-t-il. Mon apport financier était conditionné par la signature de la convention. J’avais envisagé un autre texte, avec une valorisation du rôle de l’association, mais il est devenu politiquement invendable en raison d’incompréhensions. On est parvenu à un accord. Le but désormais est de refermer au plus vite la parenthèse dépôt de bilan. »

Ce n’est pas pour demain. Après 80 années de professionnalisme, le Racing est plongé dans le monde amateur dont il tente de s’extirper. Une échéance de trois à cinq ans est espérée pour revoir le jour. Dans tous les cas, le plus tôt sera le mieux. Évidemment.

Des problèmes, quand même

Il ne s’agit pas de réduire l’importance du document conclu lors de l’AG réunie hier matin. Néanmoins, quelques nuages noirs continuent à obscurcir l’horizon et rendent vains tout espoir de tourner, en un tour de bras, la page la plus sombre qu’a connue le Racing, avec sa relégation en CFA2 l’an dernier. Depuis quelques mois, le club alsacien ressemblait à un aigle à deux têtes qui désirait voler vers deux directions différentes.

Ancel appelé à remplacer Spielmann

Un proche du dossier admettait volontiers que la cohabitation entre Frédéric Sitterlé et Patrick Spielmann ressemblait au mariage d’une carpe et d’un lapin : « Ce n’est pas vraiment la même manière de travailler ». Henri Ancel a lui même considéré que « tout était à vif et que dans ces conditions, reconstruire de façon sereine n’a pas nécessairement été évident. »

Il ne fait guère de doute que le président de l’association donnera sa démission dans les semaines à venir. « J’aurais préféré que l’on ne parle pas de moi, explique l’intéressé. Je veux bien me consacrer à des sujets qui me tiennent à cœur, mais on peut être gagné par de la lassitude. » Patrick Spielmann souhaite donc prendre du recul, ne plus apparaître en première ligne, se concentrer sur quelques dossiers en gestation, comme un développement transfrontalier du club. En attendant, Henri Ancel apparaît comme le candidat tout désigné à la succession. « Le jour où Patrick Spielmann démissionnera, il sera possible d’envisager une candidature mais l’important est d’avancer tous ensemble », préfère botter en touche “l’héritier pressenti”, revenu aux affaires à la demande de Spielmann et Sitterlé.

Il reste que des problèmes qui vont au-delà des personnes restent en suspens. La convention signée s’inscrit dans un retour au professionnalisme à terme. Pour l’heure, alors qu’il consacre une bonne part de son budget à son centre de formation, le Racing n’a aucun moyen de conserver dans ses effectifs la jeunesse qu’il forme. « Nous avons sollicité un spécialiste sur la question, l’avocat de Vincent Collet ( l’entraîneur de la SIG) sur le sujet, explique Patrick Spielmann. Des joueurs ( une trentaine) sont nourris, logés, blanchis, profitent du savoir faire des entraîneurs et peuvent s’en aller. C’est dur à accepter. » Il reste que la législation sportive ne protège guère les efforts déployés par le monde amateur.

Conserver Kuentz

Concrètement, au centre de formation strasbourgeois, la figure angulaire, Jean-Marc Kuentz, directeur du centre et à la tête de l’équipe une, a de quoi se poser quelques questions. Il a volontairement signé un contrat d’un an à l’été dernier. « Il sera associé à toutes les discussions sur la politique sportive du club, garantit Henri Ancel. Nous savons que c’est un éducateur de qualité. » Après avoir perdu des dizaines des meilleurs jeunes formés au club, ce serait ballot de perdre l’un de ses meilleurs entraîneurs.
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argueti
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Re: Association support RCS

Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Retour aux bonnes manières ?

Après un trimestre d’explications musclées, l’association amateur RCS et Frédéric Sitterlé ont fini par s’entendre sur une convention de gestion consensuelle valable jusqu’en juin 2016. L’assemblée générale a validé cet accord hier matin.

« Tout est bien qui finit bien. » Voilà comment Patrick Spielmann, président de l’association support RCS foot, a ouvert son intervention devant la presse hier midi à la Meinau, au sortir d’une assemblée générale rondement menée autour d’un consensus dégagé au forceps, après quelques joutes sévères sur lesquelles aucun des protagonistes n’a souhaité s’étendre. Sur fond de « On efface tout et on recommence », la signature de la nouvelle convention de gestion liant l’asso à la future SAS (1) a été validée à l’unanimité par la trentaine de membres fondateurs et dirigeants présents. Pour être précis, pouvoir a été donné à P. Spielmann de la signer et la soumettre au Préfet et aux services de la DRJSCS (2), susceptibles d’y apporter quelques modifications.

Cette convention de quatre ans et quelques semaines - jusqu’en juin 2016 - prendra effet dès cet examen administratif passé (3). Une nouvelle SAS sera créée, Frédéric Sitterlé assumant alors les besoins en trésorerie jusqu’en juin, estimés entre « 400 et 500 000 euros » par Henri Ancel, probable successeur de Spielmann. Car ce dernier a pratiquement officialisé ce que « L’Alsace » annonçait dès le 14 février : son prochain retrait. « Dans un futur proche, je passerai la main. Depuis des mois et même plus que ça, ce rôle de président occupe toutes mes journées, parfois plus. Il est logique d’être gagné par la lassitude. »

Comme prévu, Henri Ancel devrait lui succéder. « À supposer que le conseil d’administration l’accepte à l’unanimité. » Ce passage de relais n’interviendra que lors d’un CA ultérieur, à une date à fixer. Comme prévu aussi, la convention validée hier en AG a été débarrassée des exigences initiales de F. Sitterlé, « sur la base d’un texte qui, dans sa structure, reprend le texte type du ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale », selon Spielmann. Henri Ancel confirme « qu’on ne parle plus de redevance de marque, ni d’indemnité à l’échéance à verser par l’association à la SAS en cas de non-renouvellement unilatéral. »

Un conseil de club pour réfléchir au sportif

Quelles nouveautés y sont-elles liées ? D’abord, la création d’un conseil de club de six membres : trois représentants de la SAS et trois de l’association, dont les deux présidents. « Ce conseil n’aura qu’un rôle consultatif, mais réfléchira avant le 30 juin à la politique sportive pour 2012-2013 », détaille Ancel, « En cas d’égalité, la voix du président de la SAS, qui sera aussi président de ce conseil (Ndlr : Sitterlé, qui en est à l’initiative), sera prépondérante. » Ensuite, le versement par la SAS à l’association de 50 % des indemnités de mutation des joueurs formés au club. Une clause inapplicable aujourd’hui, puisque le centre de formation n’est plus labellisé (voir par ailleurs). « Mais ces sommes ne viendront pas s’ajouter à la dotation de la SAS vers l’asso », pointe H. Ancel, « Elles s’y substitueront. Ça permet de consolider l’indépendance de l’association. » La contribution de la SAS au fonctionnement de l’association amateur sera définie chaque année avant le 30 juin. Pour cette saison, le déficit d’exploitation devrait osciller entre 1 et 1,3 million d’euros.

Aujourd’hui que la nouvelle convention est avalisée, Frédéric Sitterlé s’engage à respecter ses promesses. « Mon investissement a toujours été conditionné par cette convention qui est l’acte de propriété du club. La convention plus simple a le mérite d’être expliquée et comprise plus facilement. L’idée, c’est de réduire les charges de la SAS et de revenir à un point d’équilibre beaucoup plus bas. Le Racing a cette chance de repartir de zéro et de pouvoir mettre en place un modèle économique qui s’appuierait sur quatre secteurs équilibrés : 1. Les sponsors ; 2. Le marketing et le merchandising ; 3. La billetterie ; 4. Les droits télé et de mutation. Certains clubs dépendent à 60 % des droits télé. C’est beaucoup trop. J’ai bon espoir que dans 18 mois, lorsque nous serons en National, nous puissions refermer la parenthèse du dépôt de bilan. »

« Le club est encore malade »

On saura dans quelque temps si les vœux formulés hier matin se sont concrétisés. Mais chacun semble désormais désireux d’oublier les chicaneries des dernières semaines, à l’instar d’un Ancel invitant à tourner la page : « Nous allons passer sur des péripéties qui ont existé. Le club est encore très malade. C’est un grand accidenté de l’ère Jafar Hilali dont il ne faut pas oublier qu’il a envoyé le club par le fond. Il ne faut pas se tromper d’adversaire. Il n’y a pas eu de volonté de Frédéric Sitterlé de s’enrichir à titre personnel. Sinon, je ne serais pas là. L’historique récent fait que tout est encore à vif. Les dissensions des derniers temps sont sans doute dues aux précautions, aux sur-précautions prises par l’association après le cataclysme vécu sous Hilali. »

Le centre des débats

Quid du centre de formation ? Cette question, cruciale eu égard aux dépenses qu’il engendre, sera prochainement débattue lors de tables rondes organisées en interne. La première aura lieu lundi. Frédéric Sitterlé, qui indique que « sa priorité est de préserver le savoir-faire du centre », n’y assistera pas. « Que veut-on en faire ? Avec quels moyens ? », s’interroge Henri Ancel. « La réflexion démarre pour voir comment on s’organisera la saison prochaine. Jean-Marc Kuentz (le responsable de la formation), qui arrive en fin de contrat, y assistera. Sa décision de poursuivre l’aventure au Racing dépendra des orientations prises. Mais nous sommes tous d’accord sur la qualité de la personne et sur ce que son vécu et son expérience peuvent apporter. »

Parmi les pistes de réflexion, la protection du centre contre les départs gracieux de ses jeunes. En l’absence de label fédéral dudit centre (Ndlr : que le RCS ne pourra récupérer qu’une fois le statut pro retrouvé), les « gamins », tous sans contrat, sont en effet libres de partir où ils le souhaitent. Un avocat travaille pour l’éviter. Mais il va devoir préparer un texte qui ferait jurisprudence et qui, en l’état actuel des règlements, semble relever de l’utopie. Ancel : les raisons de son retour. L’ancien médiateur nommé par la Ville en décembre 2009 a tenu hier à préciser les conditions de son retour aux affaires. « Je suis revenu à la demande de Patrick Spielmann, Frédéric Sitterlé (Ndlr : dont il a été le conseiller dans le dossier de reprise du RCS après la liquidation judiciaire), des partenaires économiques, mais pas du tout de la mairie », a-t-il insisté, « J’ai eu un rôle de liant. J’ai en fait rejoué le rôle de médiateur qui avait un temps été le mien. »

Départs de Chauveau et Rabby : Ancel assume. Le probable futur président de l’association a aussi confirmé être à l’origine des départs de Matthieu Rabby et Philippe Chauveau, respectivement « bras droit » et auditeur financier de Frédéric Sitterlé dont ce dernier a tenu à souligner le travail. Henri Ancel a évoqué « un choix personnel » guidé par sa volonté d’œuvrer avec une équipe en laquelle il aurait confiance. Une confiance que lui inspiraient pas les deux collaborateurs de l’homme d’affaires haut-rhinois.

(1) Société par actions simplifiée.
(2) Direction régionale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale.
(3) La convention doit prendre effet avant le 30 juin pour que Frédéric Sitterlé puisse assumer les besoins en trésorerie jusqu’à la fin de saison. Or, sa durée ne peut législativement excéder cinq ans. C’est pour cette raison qu’elle ne porte « que » sur quatre ans et quelques mois.
Godin confirme l'impression donnée hier par les intervenants : tout le monde reste marqué par ce qui s'est passé les derniers mois avec Hilali, d'où les réactions de la mairie par exemple et des politiques ...
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Re: Association support RCS

Message par Kaniber »

Départs de Chauveau et Rabby : Ancel assume. Le probable futur président de l’association a aussi confirmé être à l’origine des départs de Matthieu Rabby et Philippe Chauveau, respectivement « bras droit » et auditeur financier de Frédéric Sitterlé dont ce dernier a tenu à souligner le travail. Henri Ancel a évoqué « un choix personnel » guidé par sa volonté d’œuvrer avec une équipe en laquelle il aurait confiance. Une confiance que lui inspiraient pas les deux collaborateurs de l’homme d’affaires haut-rhinois


ça veut tout dire :shock:
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Re: Association support RCS

Message par Tenor »

ca veut dire qu'il s'est impliqué dans un engrenage, qu'il aura du mal à quitter un jour le club après avoir investi à fonds perdus :lol: trop tard, la ville surveille les comptes et les supporters aussi ;)
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Re: Association support RCS

Message par alphons »

il est obligé d'etre efficace pour ne pas perdre d'argent.

si le racing monte tous les ans d'un niveau il pourra le revendre en L2 ou un L1 en gagnant de l'argent.

chaque annee ou le racing ne montera pas lui coutera tres cher ....

il sera obligé d etre bon... :mrgreen: :mrgreen:
moi ca me va tres bien :mrgreen: :mrgreen:

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Re: Association support RCS

Message par alphons »

a mon avis la montee de cfa en national ne sera pas vraiment difficile, il suffira de prendre en juin 3 bons joueurs.

par contre pour monter de national en L2, la ca va se compliquer. Il faudra investir et remodeler l'equipe en profondeur.

mais bon on va une fois terminer la saison et montee en cfa

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