Association support RCS

[Tenor]

va savoir si le dossier n'a pas été volontairement transmis sans toutes les pièces justificatives, pour moi ça ne tient pas !!!
si je suis gagné par une volonté absolue qu'un dossier doit absolument aboutir dans les meilleurs délais, à fortiori à la Préfecture, je fais en sorte que le dossier soit complet, et je contrôle à nouveau s'il n'y a pas des pièces manquantes...
c'est soit se foutre de la gueule du monde, soit être d'une incompétence extrême !
il me semble avoir lu quelque part cette convention : j'avoue qu'elle paraît bien terne, un truc complètement basique, donc certainement incomplète, floue, non adaptable à la circonstance.
quelqu'un ment grossièrement dans cette affaire

[fan_racing]

va savoir si le dossier n'a pas été volontairement transmis sans toutes les pièces justificatives, pour moi ça ne tient pas !!!
si je suis gagné par une volonté absolue qu'un dossier doit absolument aboutir dans les meilleurs délais, à fortiori à la Préfecture, je fais en sorte que le dossier soit complet, et je contrôle à nouveau s'il n'y a pas des pièces manquantes...

Ces gens sont là depuis des lustres, on ne me fera pas croire qu'ils ne sont pas au courant (ou au moins en mesure de se mettre au courant) des pièces justificatives à fournir à la préfecture. A mon avis, c'est donc bien de la mauvaise foi. J'espère me tromper.

[RACING1906]

En tout cas, SITTERLE avait, de son côté, "oublié" de transmettre les statuts de sa propre S.A.S.

Il ne les a fait porter qu'hier à 18h30 à la Préecture.

[télésupporteur]

comme au poker, Sitterlé fait tapis
les autres devront aussi s'étaler pour que l'on voit
enfin une bonne chose pour le racing

[Tenor]

En tout cas, SITTERLE avait, de son côté, "oublié" de transmettre les statuts de sa propre S.A.S.

Il ne les a fait porter qu'hier à 18h30 à la Préecture.

et je parie que les portes à cette heures-ci étaient encore grandes ouvertes pour recevoir le dossier

[RACING1906]

Pour lui, oui. Il n'est pas le commun des mortels.

[alphons]

en tous cas pour des personnes qui souhaitent rapidement faire valider la convention...ca fait pas tres pro.

[Its_me]

« Personne ne se nourrit sur la bête »

Le Racing se reconstruit sur le terrain. En coulisses, il ressemble à un champ de mines, au point d’inspirer une nouvelle interpellation de la part de l’opposition au conseil municipal strasbourgeois ce soir. Au cœur du conflit, Patrick Spielmann présente sa réalité des choses et conteste les accusations

Depuis plusieurs mois, une guerre larvée divise le club. Elle vous oppose à Frédéric Sitterlé. Décelez-vous une origine, un épisode annonciateur de la cacophonie actuelle ?

- Nos relations ont débuté sous de très bons auspices. Je reconnais à Frédéric Sitterlé d’avoir été là, l’été dernier, quand il n’y avait plus grand monde et plus d’argent. Nos relations se sont dégradées en raison d’une incompréhension réciproque autour des deux projets de convention (de licence de marque et de gestion de la Société par action simplifiée, SAS). Le montage proposé me semblait contraire à l’histoire du club et aux intérêts de l’association. Si je parle d’incompréhensions réciproques, c’est que je ne veux pas faire de procès d’intention à qui que ce soit. Il y avait des intérêts différents. Nous avons eu du mal à trouver une vision commune. Je croyais que nous avions réussi à dépasser cela en signant une nouvelle convention qui va pouvoir entrer en vigueur dans les toutes prochaines semaines.

« Sans apport de fonds dans les prochaines semaines, le club ne pourra payer ses fournisseurs »

- Quel regard portez-vous sur la situation actuelle ?

- Je crains que le maelstrom permanent ne risque à terme de déstabiliser l’équipe. Sans remontée en CFA il n’y aura plus de Racing, il ne faut pas l’oublier. Il y a des insinuations qui me dérangent voire me blessent quand elles portent atteinte à la réputation du club, de ses dirigeants et de ses bénévoles sans lesquels le Racing n’existerait plus depuis longtemps. Personne au club ne se nourrit « sur la bête », il y a au contraire beaucoup de travail désintéressé souvent dans des conditions difficiles. Nous risquons d’ailleurs de perdre nos meilleurs cadres et nos bénévoles si cette instabilité se poursuit.

- Comment expliquez-vous les revirements, entre la pacification intervenue dans le sillage de la signature de la fameuse convention et aujourd’hui ?

- Je ne sais pas. Peut-être une certaine lassitude. La tâche n’est pas facile et souvent ingrate. Je suis bien placé pour le savoir. Les proches de Sitterlé peuvent aussi porter une part de responsabilité.

- Considérez-vous que Frédéric Sitterlé se défile par rapport à un investissement sans cesse repoussé ?

- Nous approchons du moment de vérité. Sans apport de fonds dans les prochaines semaines, le club ne pourra plus payer ses fournisseurs. La convention de gestion est signée. Elle sera très prochainement validée par les services de l’État. Frédéric Sitterlé peut désormais assurer ses engagements comme il a confirmé vouloir le faire. C’est attendu par de nombreux acteurs depuis un certain temps.

« Tout à fait prêt à céder à nouveau la présidence »

- La convention liant l’association à la SAS a pu provoquer les montées de fièvre ces dernières semaines. Où en est-on sur le sujet ?

- Le dossier a été déposé le 3 avril. Après examen, les services de l’État nous ont demandé jeudi 12 avril des pièces complémentaires*. Je leur ai transmis celles relevant de ma responsabilité dès le lendemain. Nous attendons désormais la décision de la Préfecture dans les toutes prochaines semaines. La convention signée reprend toutes les préconisations du Ministère des sports. Le club sera ensuite enfin en ordre de marche.

- Frédéric Sitterlé regrette de ne pas disposer des pleins pouvoirs. Seriez-vous prêt à lui laisser ?

- J’ai naturellement, et de moi-même, laissé la présidence de l’association à Frédéric Sitterlé en octobre dernier. Il a ensuite souhaité me la redonner dès décembre. Il lui était difficile de signer lui-même les conventions pour les deux parties (l’association et sa société BMV) sans risque de conflit d’intérêt. Je suis tout à fait prêt à céder à nouveau la présidence de l’association, dès demain et dès les financements confirmés, si c’est cela les pleins pouvoirs. De fait, il deviendra, dès mise en œuvre de la convention, président du club et contrôlera ainsi l’équipe une et la stratégie du club. L’activité de l’association se limitera alors à nouveau à son centre de formation. La SAS pourra contrôler les dépenses de l’association et suivre de près son activité. L’article 7 de la convention lui donne le contrôle du futur conseil du club qui examinera tous les recrutements, toutes les dépenses de plus de 20 000 euros, débattra du budget de l’association et de ses choix stratégiques. Je tiens d’ailleurs à préciser que la totalité des engagements financiers pris depuis le début de cette année est conforme au budget établi avec Frédéric Sitterlé. Tout ce qui est payé correspond à des engagements pris en début de saison. Cela permet d’éviter des poursuites de fournisseurs non réglés.

- Quel regard portez-vous sur ces nouvelles péripéties, quelques mois après avoir eu affaire à Jafar Hilali ?

- Je suis triste et inquiet. Nous devons dépasser ces nouvelles difficultés. Il n’y a pas de malédiction mais une transition nécessairement difficile après la folie de la saison dernière. Nous devons faire ensemble les efforts nécessaires pour surmonter cette épreuve.

« Si la priorité est de vendre le club… »

Mais si la priorité est de vendre le club – seul Frédéric Sitterlé peut prendre cette décision — alors il faut être clair et que les choses se fassent en bon ordre, sans rupture. Le « plus offrant » ne peut pas être le seul critère, la qualité du projet sportif est un enjeu essentiel.

* : Il manquait la liste des salariés de l’association, une demi-douzaine de personnes, ainsi que le numéro d’immatriculation et le budget prévisionnel de la Société par actions simplifiée, en cours de constitution.

[RACING1906]

J'ajoute :

« Je tiens à préciser que contrairement à ce qui a pu être véhiculé, les fonctions d’administrateur de l’association ne sont pas rémunérées que ce soit sous forme de salaire, d’indemnité ou de frais divers, précise Patrick Spielmann. En quinze ans de présidence, je n’ai pas touché un euro de l’association ou du club et je ne me suis jamais fait rembourser la moindre facture de restaurant ».

DNA

[silex57]

Le montage proposé me semblait contraire à l’histoire du club

Ca par exemple j'aimerais savoir ce que ca veut dire, il faut évoluer pour progresser ...