Qu'a t'il bien pu se passer ?

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et tout a été ditalphons a écrit :Je crois que Sitterlé c'est rendu compte que
- investir de l'argent dans le racing et apres pouvoir le recupérer est un doux reve
- 5 millions sont tres insuffisant pour la machine RCS
- Un petit president du racing reste tributaire de tous gens qui gravitent autour du club.
(par un petit president j'entend quelqu un qui soit dependant des subventions de la ville, department, region)
Spielmann at au drek am steckn.......mais lui il a le soutient, (encore) de la ville, de LAFA.
 et bien
 et bien  

L'Alsace a écrit :Négociations avec Sitterlé : rien de neuf
Comme prévu, les négociations entre le pool de repreneurs et Frédéric Sitterlé, propriétaire de la marque Racing, se sont ouvertes hier. En début de soirée, rien n’avait filtré sur l’avancée - ou non - des tractations.

D'un coté pourquoi Sitterlé payerait le déficit alors que la convention n'a pas été validée ? D'un autre, demandez 3x le montant de la marque c’est abusé aussi ...L'Alsace a écrit :Sitterlé fait obstruction
Les négociations entre les repreneurs et Frédéric Sitterlé pour le rachat de la marque piétinent. D’autant que le Blodelsheimois cherche à les court-circuiter.
C’est une lapalissade que de le dire : lorsqu’une négociation est en cours, difficile d’en prévoir l’issue. Accord ou rupture brutale : les deux options restent possibles. Mais chaque jour qui passe réduit un peu plus la marge de manœuvre, surtout lorsque les positions sont toujours aussi éloignées. La DNCG (1), qui auditionnera le Racing pour la 2 e fois le mardi 26 juin à 9 h, a en effet laissé aux dirigeants jusqu’au début de semaine prochaine pour lui communiquer les lettres d’intention des futurs actionnaires.
Encore faut-il que d’ici là, le pool de repreneurs mené par Marc Keller trouve un accord avec l’investisseur fantôme Frédéric Sitterlé, propriétaire de la marque RCS. Contrairement à ce que « L’Alsace » supputait jeudi, l’ancien international et ses alliés n’ont pas du tout abandonné l’idée de faire supporter à l’homme d’affaires de Blodelsheim une partie (la moitié ?) du besoin en fonds propres au 30 juin (850000 euros), ni de lui faire céder la marque pour un euro symbolique. Certains d’entre eux n’en démordent pas. Mais en face, F. Sitterlé campe sur une position « hilalienne ». Comme le jusqu’au-boutiste londonien Jafar Hilali, qui était allé jusqu’à publier en juin 2011 sur le site internet du club la liste des supposés candidats au rachat de la section professionnelle (Ndlr : il paraît même que des Chinois étaient sur les rangs !), il semble résolu à ne pas céder le moindre pouce de terrain.
Hier, le Haut-Rhinois a ainsi tenté une approche indirecte de Christian Constantin, le président du FC Sion, qu’il avait rencontré le 26 août à l’aéroport d’Entzheim, mais qu’il a ensuite snobé des mois durant, comme la Ville de Strasbourg l’a aussi « snobé » ces dernières semaines, son adjoint aux finances Alain Fontanel n’ayant jamais libéré une date pour rencontrer le président sédunois. Sitterlé s’est vu opposer une fin de non-recevoir. Il est vrai que le patron du FC Sion avait d’autres chats à fouetter ce vendredi : il présentait sa dernière recrue, le champion du monde italien (en 2006 en Allemagne) Gennaro Gattuso qu’il a attiré en Valais pour deux saisons au nez et à la barbe de Galatasaray, mais aussi de fortunés clubs russes, chinois, qatariens et américains. Et sûrement pas pour un Franc suisse symbolique. Preuve, si besoin était, de son aisance financière.
Sitterlé a toutefois eu le temps de confier à son interlocuteur qu’il exigeait 500000 euros pour une marque qu’il a acquise contre 150000 euros fin août 2011. Du bluff ? En début de semaine, lors de ses premiers échanges avec son ex-conseiller Patrick Adler, proche de Marc Keller, il lui avait fait cette déclaration qui en dit long sur son état d’esprit. « Je me fous que le Racing finisse en DH. » Adler a évidemment répercuté ces propos à Marco Keller et son équipe.
Cette sortie musclée du Blodelsheimois a cependant tous les atours d’une énième bravade. Car contrairement à Jafar Hilali l’an passé, il n’a pas les moyens de mettre ses menaces à exécution. Il n’est effectivement « que » propriétaire de la marque. Et si d’aventure, les investisseurs optaient pour un changement de nom (2), hypothèse qu’ils n’écartent pas et à laquelle ne sont plus opposés beaucoup d’acteurs et observateurs du club (3), excepté la Ville de Strasbourg, F. Sitterlé se retrouverait à la tête d’une coquille vide. Sauf à ouvrir une enseigne de restauration rapide sur les Champs-Élysées et tenter de faire fortune grâce à la vente de merguez bien cuites estampillées Racing ! « La Ville préférera changer le nom du club plutôt que de voir capoter le dossier de reprise », pronostique un proche du dossier. On ne tardera plus à le savoir.
(1) Direction nationale du contrôle de gestion de la Fédération Française de Football.
(2) C’est possible jusqu’au 30 juin.
(3) Le président de la Région, Philippe Richert, ne l’excluait pas non plus jeudi lors de son déjeuner avec la presse.
Stéphane Godin

 
   
   
   
  
   
   
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une position « hilalienne »
 
   
   
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