L'Alsace a écrit :Sikimic reprend le brassard
Déjà appelé à succéder à Loïc Damour il y a deux ans en National, le défenseur serbe du RCSA, Milovan Sikimic, a été nommé capitaine par l’entraîneur François Keller, en lieu et place d’un Ludovic Golliard qui n’en prend pas ombrage.
« Dans la tempête des résultats que nous traversons aujourd’hui, j’ai besoin d’un phare qui aide les autres à se repérer. » C’est en ces termes que François Keller a officialisé hier une décision prise en tout début de semaine, après deux entretiens avec les intéressés : le remplacement de Ludovic Golliard par Milovan Sikimic comme capitaine du Racing.
L’entraîneur strasbourgeois assure qu’il avait ce changement « en tête depuis un ou deux mois » et se refuse à parler de choc psychologique. « Non, parce que dans mon esprit, ça reviendrait à désavouer Ludovic Golliard. Or, il n’y a aucun désaveu dans la désignation d’un nouveau capitaine. » Le coach s’appuie sur un petit rappel historique pour étayer sa décision : « A l’intersaison 2011, David Ledy aurait pu devenir capitaine. Il avait fait le choix de rester au club malgré la rétrogradation en CFA 2. Mais j’avais à l’époque choisi Ludo parce que je souhaitais que le capitaine soit un défenseur et parce qu’il est un leader exemplaire, sur la pelouse comme en dehors. Il l’est toujours. Depuis, Milo est revenu au Racing (Ndlr : en janvier 2012) . Tout le monde reconnaît en lui un leader charismatique et emblématique. À l’intersaison, je n’avais aucune raison de réattribuer le brassard. Mais aujourd’hui que nous traversons une passe difficile, j’ai besoin d’un capitaine plus expansif sur le terrain. Ludo reconnaît lui-même que ce n’est pas dans sa nature. »
Le technicien et son désormais ex-capitaine s’en sont expliqués lundi. « Si j’avais senti que le retrait du brassard risquait de déstabiliser ou fragiliser Ludo, je ne l’aurais pas fait », reprend le coach, « Ce n’est que lorsqu’il m’a donné son feu vert que je l’ai proposé le lendemain à Milo. »
Golliard : « Avoir un bout de tissu à un bras, ce n’est pas le problème »
Dès lundi, L. Golliard avait d’ailleurs expliqué, sur www.lalsace.fr, « ne pas être vraiment adepte » de la réunion entre joueurs organisée le matin même. « Milo a lancé l’idée et j’ai suivi », avait-il admis. 48 heures plus tard, il reste convaincu que « ce genre de réunion ne sert pas vraiment à quelque chose. On l’a bien vu ce matin(1). S’agissant du capitanat, je le sentais venir. On en avait déjà parlé avec le coach. Je lui ai dit que s’il pensait qu’un changement pouvait servir le groupe, je n’y voyais pas d’inconvénient, c’est moi qui l’ai proposé. Effectivement, si on attend de moi que j’aboie et hurle sur les autres, ce n’est pas mon registre. Avoir un bout de tissu à un bras, ce n’est pas le problème aujourd’hui. À la lumière de nos derniers résultats, on voit bien qu’il faut faire quelque chose. Mon souci, comme celui de l’équipe, c’est d’abord d’être performant. »
Milovan Sikimic, qui a accepté de prendre le relais, n’en fait pas non plus une affaire d’État. « Ça ne me dérangeait pas de ne pas avoir le brassard. En National, je ne l’avais pas non plus en début de saison (Ndlr : il l’avait récupéré mi-septembre 2010 à la place de Loïc Damour - 19 ans à l’époque - que Laurent Fournier souhaitait décharger de cette responsabilité pas facile à assumer pour un joueur si jeune) . Peut-être que Ludo va être soulagé. Il sait très bien, parce que je le lui ai déjà dit, que je n’ai pas besoin du brassard pour être un leader. Si le coach pense que je peux apporter quelque chose sur le terrain, je suis prêt à le faire. Mais j’ai surtout décidé de me concentrer sur les prestations individuelles, à commencer par la mienne. Je suis le premier à dire que je ne suis pas performant ces derniers temps. Si nous, les cadres, comme David (Ledy) , Steph (Noro) , Ludo et moi ne sommes pas bons, qui va tirer le groupe vers le haut ? En ce moment, nous manquons de rage et de gnac. À part Pacho (Donzelot) , le seul exempt de tout reproche à ce niveau, tout le monde doit se poser des questions. »
François Keller n’est pas le dernier à s’en poser : « Dans notre situation, c’est le contraire qui serait inquiétant. Aujourd’hui, certains joueurs ont besoin d’être rassurés, guidés. » À charge pour le « phare Sikimic » d’éclairer leur lanterne et de les orienter vers le bon chemin.
(1) Lors de la séance d’hier, quelques minutes après un début d’embrouille entre David Ledy et Abdoulaye Coulibaly, un échange verbal entre Ludovic Golliard et David Ledy a failli dégénérer. Un coup de chaud comme il en arrive parfois. L’an passé, Anthony Sichi et Pacho Donzelot avaient eux aussi été à deux doigts d’en venir aux mains.
[Ex] Milovan Sikimic
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Re: Milovan Sikimic
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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Milovan SIKIMIC, captain courage
Milovan Sikimic est sur le point d’entamer sa cinquième saison sous le maillot strasbourgeois. Pilier du système défensif organisé par François Keller pour aborder le retour du club en National, le capitaine serbe envisage la suite avec ambition.
C’est comme si le poids des ans n’avait pas de prise sur lui. Au cœur de la préparation du Racing, quand les tours de terrain faisaient tirer la langue de quelques-uns de ses coéquipiers, le Serbe aux épaules aussi carrées que son crâne est lisse, a parfois quitté le terrain avec le sourire, quasiment en sifflotant.
« Je suis prêt encore à enchaîner cinq ou six étés comme ça », lâchait le défenseur à l’adresse des responsables de la préparation physique. En tout cas, pour l’heure, sa montée en régime n’est pas loin d’être impeccable. Six matches amicaux en cette préparation estivale ne vont pas entamer le joueur de 32 ans. Sans jouer les fiers à bras, il ne se transforme pas non plus en faux modeste. Ce n’est pas son genre.
« On doit se mettre tout de suite dans le dur »
Le parfum du National, l’ambiance du groupe strasbourgeois, mais aussi le contenu des matches amicaux nourrissent la confiance du capitaine. « Il nous reste encore deux semaines de préparation, on va s’en servir pour peaufiner la condition, anticipait-il, samedi, au terme de la cinquième victoire décrochée en six matches, à Mothern, face à Dudelange (2-1). On veut bien préparer le début de saison. Il va être important. On a quatre matches durs à gérer pour commencer le championnat. On doit se mettre tout de suite dans le dur. »
Le scénario du dernier exercice, quand il a fallu cravacher pour arracher la montée, alors que le début avait été ponctué par trop de nuls, lui trotte dans la tête. En entamant le prochain millésime par trois déplacements en quatre matches, il est convaincu qu’il ne vaudra mieux pas traîner en route.
« Je pense qu’on n’a pas grand-chose à craindre au niveau du physique, on a bien travaillé là-dessus, souligne-t-il. On arrive à gagner les matches amicaux dans les derniers instants. Ça veut dire quelque chose. » Il reste que le foot ne se résume pas à un jeu de puissance, de vitesse ou d’endurance. Mais les repères au Racing n’ont pas changé. Il y a trois nouveaux (Grimm, Liénard, Belhameur). Il y a un ciment solide, confectionné sur le socle de victoires décrochées en pagaille depuis deux ans et deux montées.
« On a aussi travaillé dans une configuration où on a le ballon, explique-t-il à propos du match de samedi, alors que le Racing a pu moins s’intéresser à la possession du cuir, comme lors de la victoire obtenue face à Colmar (2-1), trois jours plus tôt. Il faut s’y préparer aussi. Après, le club a choisi de s’appuyer sur les joueurs qui ont fait un sacré boulot depuis deux ans. Il y avait des joueurs de qualité et puis on a développé un vrai état d’esprit. »
« Montrer que je ne suis pas encore rayé de la carte »
« Milo » participe à une entreprise de reconstruction massive après avoir vécu un naufrage presque définitif. Avec les Ledy, Noro ou Donzelot, il s’est finalement attaché à un mourant à qui il souhaite redonner pleinement vie. « J’ai participé à une descente aux enfers, j’ai vécu des moments difficiles et je veux complètement me libérer de cet échec en remettant le Racing à sa place, au moins en Ligue 2, indique-t-il. J’ai confiance en mes coéquipiers. On ne connaît pas les objectifs du club, mais on va viser logiquement le meilleur classement possible. On a un public qui nous pousse. On doit rester confiant, ne pas s’enflammer, ni considérer qu’il y a une énorme attente autour de nous. »
Milovan Sikimic se fait partisan d’une certaine sérénité. Le défenseur est une source de bon sens qui ne sera pas de trop à l’heure de (re) découvrir un championnat, quitté par la petite porte d’une liquidation judiciaire que d’aucuns ont apparenté au faire-part de décès d’un club.
« Je n’ai pas eu de soucis pendant cette préparation et je sais aussi que je suis un diesel pour la condition, conclut le capitaine. Je sens aussi que mes coéquipiers ont confiance en moi. Mon petit but personnel, c’est de montrer que je ne suis pas encore rayé de la carte. » Et, accessoirement, d’y replacer Strasbourg sur celle des villes de football.
DNA
C’est comme si le poids des ans n’avait pas de prise sur lui. Au cœur de la préparation du Racing, quand les tours de terrain faisaient tirer la langue de quelques-uns de ses coéquipiers, le Serbe aux épaules aussi carrées que son crâne est lisse, a parfois quitté le terrain avec le sourire, quasiment en sifflotant.
« Je suis prêt encore à enchaîner cinq ou six étés comme ça », lâchait le défenseur à l’adresse des responsables de la préparation physique. En tout cas, pour l’heure, sa montée en régime n’est pas loin d’être impeccable. Six matches amicaux en cette préparation estivale ne vont pas entamer le joueur de 32 ans. Sans jouer les fiers à bras, il ne se transforme pas non plus en faux modeste. Ce n’est pas son genre.
« On doit se mettre tout de suite dans le dur »
Le parfum du National, l’ambiance du groupe strasbourgeois, mais aussi le contenu des matches amicaux nourrissent la confiance du capitaine. « Il nous reste encore deux semaines de préparation, on va s’en servir pour peaufiner la condition, anticipait-il, samedi, au terme de la cinquième victoire décrochée en six matches, à Mothern, face à Dudelange (2-1). On veut bien préparer le début de saison. Il va être important. On a quatre matches durs à gérer pour commencer le championnat. On doit se mettre tout de suite dans le dur. »
Le scénario du dernier exercice, quand il a fallu cravacher pour arracher la montée, alors que le début avait été ponctué par trop de nuls, lui trotte dans la tête. En entamant le prochain millésime par trois déplacements en quatre matches, il est convaincu qu’il ne vaudra mieux pas traîner en route.
« Je pense qu’on n’a pas grand-chose à craindre au niveau du physique, on a bien travaillé là-dessus, souligne-t-il. On arrive à gagner les matches amicaux dans les derniers instants. Ça veut dire quelque chose. » Il reste que le foot ne se résume pas à un jeu de puissance, de vitesse ou d’endurance. Mais les repères au Racing n’ont pas changé. Il y a trois nouveaux (Grimm, Liénard, Belhameur). Il y a un ciment solide, confectionné sur le socle de victoires décrochées en pagaille depuis deux ans et deux montées.
« On a aussi travaillé dans une configuration où on a le ballon, explique-t-il à propos du match de samedi, alors que le Racing a pu moins s’intéresser à la possession du cuir, comme lors de la victoire obtenue face à Colmar (2-1), trois jours plus tôt. Il faut s’y préparer aussi. Après, le club a choisi de s’appuyer sur les joueurs qui ont fait un sacré boulot depuis deux ans. Il y avait des joueurs de qualité et puis on a développé un vrai état d’esprit. »
« Montrer que je ne suis pas encore rayé de la carte »
« Milo » participe à une entreprise de reconstruction massive après avoir vécu un naufrage presque définitif. Avec les Ledy, Noro ou Donzelot, il s’est finalement attaché à un mourant à qui il souhaite redonner pleinement vie. « J’ai participé à une descente aux enfers, j’ai vécu des moments difficiles et je veux complètement me libérer de cet échec en remettant le Racing à sa place, au moins en Ligue 2, indique-t-il. J’ai confiance en mes coéquipiers. On ne connaît pas les objectifs du club, mais on va viser logiquement le meilleur classement possible. On a un public qui nous pousse. On doit rester confiant, ne pas s’enflammer, ni considérer qu’il y a une énorme attente autour de nous. »
Milovan Sikimic se fait partisan d’une certaine sérénité. Le défenseur est une source de bon sens qui ne sera pas de trop à l’heure de (re) découvrir un championnat, quitté par la petite porte d’une liquidation judiciaire que d’aucuns ont apparenté au faire-part de décès d’un club.
« Je n’ai pas eu de soucis pendant cette préparation et je sais aussi que je suis un diesel pour la condition, conclut le capitaine. Je sens aussi que mes coéquipiers ont confiance en moi. Mon petit but personnel, c’est de montrer que je ne suis pas encore rayé de la carte. » Et, accessoirement, d’y replacer Strasbourg sur celle des villes de football.
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Re: Milovan Sikimic
je me demande juste si a sont poste en National il va pas avoir des difficulté , car l'Année dernière il avait (sur certains ) matchs des problèmes pour suivre des joueurs plus jeunes que lui
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Re: Milovan Sikimic
A ce sujet, j'aurais bien aimé que le RACING recrute un jeune défenseur central au cas où.
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Re: Milovan Sikimic
Milovan Sikimic, sous contrat jusqu’en 2016 

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Re: Milovan Sikimic
Voila c'est faitAlsace a écrit :Sikimic se fond dans la masse
Pour soulager la masse salariale du Racing, encadrée par la DNCG (1) , le capitaine Milovan Sikimic a récemment accepté une baisse provisoire de ses émoluments, avec rattrapage prévu en 2014-2015. Un effort qui aidera le club à se renforcer cet hiver si François Keller le juge nécessaire.
« L’effort que je consens est minime. » Milovan Sikimic n’aurait sûrement jamais évoqué le sujet en public si « L’Alsace » ne lui avait pas posé la question de visu. Il faut dire que l’affaire s’est réglée en toute discrétion il y a quelques jours et que personne, du côté de la Meinau, n’entendait en faire la publicité.
À la demande du président Marc Keller, le capitaine a accepté de réduire son salaire jusqu’en fin de saison. Une minoration d’environ 25 % qui n’a rien d’anodin, même si à terme, le Serbe s’y retrouvera. Il se refuse d’ailleurs à considérer son geste comme exceptionnel : « La démarche est assez simple. La DNCG a encadré la masse salariale du club. Pour soulager cette dernière, le président m’a demandé de baisser mes émoluments jusqu’en juin et garanti que je récupérerais la différence ensuite. Sous forme de prime ou de report en 2014-2015 ? Je l’ignore. Nous n’en avons même pas discuté. C’est un homme de parole et ça me suffit. Je n’étais pas obligé, mais c’est d’autant moins un problème que je ne suis pas lésé. Quand on peut faire des efforts, on les fait, c’est tout. Ça permettra peut-être aux dirigeants de réaliser ce dont ils ont envie. »
Comprenez : renforcer le groupe en janvier si l’entraîneur François Keller le juge indispensable. Car au club, tout le monde garde en mémoire le dernier mercato hivernal et les arrivées déterminantes de Guillaume Gauclin, Yann Bénédick et Jean-Philippe Sabo dans l’accession en National cinq mois plus tard.
Avec les recrutements estivaux, mais aussi la prolongation automatique de plusieurs contrats - assortie de revalorisations - après la montée, la masse salariale du RCSA avait atteint le plafond autorisé : 1,2 million d’euros (hors charges patronales). Pour desserrer cet étau financier, Marc Keller s’ingénie à trouver des ‘‘astuces’’. L’accord passé avec Milo Sikimic s’inscrit dans ce travail de fond(s).
M. Keller : « La priorité, c’est le sportif »
« Le principe est très clair , détaille le président. Nos comptes seront prochainement réexaminés par la DNCG, comme tous les ans à mi-saison. Depuis notre arrivée, nous travaillons pour la convaincre du sérieux de notre gestion. Nous lui avons présenté cet été un retour à une situation nette positive et nous espérons, par la maîtrise de notre budget, peut-être obtenir un assouplissement de la mesure d’encadrement à laquelle nous sommes astreints comme tous les clubs de National. »
Fin juin, les actionnaires ont en effet abandonné leurs 800 000 euros de compte courant, avec clause de retour à meilleure fortune. Le Racing a de fait bouclé 2012-2013 avec un excédent, puisque le déficit de l’exercice, divisé par 3,5 par rapport au précédent (1,6 million environ), s’élevait à 450 000 euros. « On espère faire mieux en 2013-2014 , annonce l’ex-international. La masse salariale, qui peut encore évoluer en cas de départ d’un Saidou Sow par exemple, n’est que l’un de nos axes de travail, avec la maîtrise des charges et le développement des recettes. Milovan a accepté de décaler une partie de son salaire à 2014-2015. C’est l’une des ‘‘petites’’ mesures qui pourront nous aider à bouger cet hiver. La priorité, c’est le sportif. On découvre le National et si François estime nécessaire de recruter, nous essaierons de le faire. On anticipe donc au cas où. » Une prévoyance que le début de saison cahin-caha des Bleus justifie pleinement.
Ainsi Milovan Sikimic, sous contrat jusqu’en 2016 et qui n’a négocié aucune prolongation en contrepartie de son sacrifice provisoire, contribuera-t-il peut-être indirectement à payer l’un de ses futurs partenaires. « Les nouveaux dirigeants assument nos contrats et quand on sait ce par quoi le club est passé, c’est, à mes yeux, déjà énorme. Comme je l’ai déjà dit, l’effort que je consens est minime. » Sans doute. Mais comme il l’a aussi déclaré, rien ne l’y obligeait.
(1) Direction nationale du contrôle de gestion de la Fédération française de football.
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Re: Milovan Sikimic
Charnière Grimm / Modeste ?SO a écrit :Sikimic opéré !
Après la rechute de Ludovic Golliard (qui ne reprendra pas avant 2014), une autre mauvaise nouvelle est arrivée ce matin au Racing : Milovan Sikimic se fera opérer du genou droit, mercredi 6 novembre, pour un nettoyage de son articulation. Son indisponibilité sera connue après l’opération.
Autre blessé, Harold Ball sera indisponible 4 à 6 semaines suite à une fracture de la main droite lors de l’entrainement de jeudi dernier. Saïdou Sow reprendra le footing cette semaine. Stéphane Noro est ménagé sur ce début de semaine suite à une contracture ressentie vendredi face à Carquefou.
L'histoire est en marche ...
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Re: Milovan Sikimic
oui, Modeste - Grimm 4 matches pour convaincre... sinon il faudra recruter à ce poste à Noel.
(Les retours de Golliard et de Sikimic sont prevus en janvier voir fevrier)
(Les retours de Golliard et de Sikimic sont prevus en janvier voir fevrier)
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Re: Milovan Sikimic
ça sent le rafistolage et on racle les fonds de tiroir 

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Re: Milovan Sikimic
Quelqu'un sait si les matchs non disputés pour cause de blessures sont comptabilisés dans ceux de suspension ?
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)