bonjour tristesse et je pèse mes mots
SR Colmar
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Re: SR Colmar
eh oui, ils ont gagné leur finale de coupe d'europe à Strasbourg, et hier ils étaient pas capables de gagner contre Vannes, c'est dingue le fameux coup de main qu'ils avaient promis de donner au Racing
bonjour tristesse et je pèse mes mots
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Re: SR Colmar
alors plus de pitié, on leur pique leur entraîneur 
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Re: SR Colmar
et ils vont descendre
non qu'il aille au diable 
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Re: SR Colmar
COLMAR FACE A SES LIMITES
Le manque de profondeur de banc des SRC a contraint Damien Ott à effectuer des choix surprenants, vendredi soir. En l’absence de plusieurs cadres, certains joueurs ont dû se reconvertir et abandonner, par là même, leur poste de prédilection. La mue la plus spectaculaire concerne l’attaquant Papa Ibou Kébé, utilisé en tant que... latéral gauche.
On ne remplace pas comme ça des joueurs du calibre de Judicaël Crillon (suspendu) et Adam Shaïek (ligaments croisés). Indiscutables dans le onze de départ, depuis le coup d’envoi de la saison, le latéral gauche et le milieu de terrain ont indéniablement manqué à Colmar, vendredi soir face à Vannes.
Le hic, c’est que les SRC ne disposent pas d’une profondeur de banc assez importante pour compenser de telles absences. Sous les yeux incrédules des 1 800 supporters du Stadium, Damien Ott a sans doute tenté, avant-hier, l’un des coups de poker les plus fous de sa carrière d’entraîneur.
Papa Ibou Kébé arrière gauche ? Il fallait le voir pour le croire... Même en échafaudant tous les scénarii possibles, comment aurait-on pu deviner que l’attaquant colmarien serait relégué à ce poste ? Le pire, c’est qu’il s’en est bien sorti, le bougre !
« Il a été très bon », faisait remarquer le coach des Verts, un peu avant minuit, dans le club-house du Stadium.
Mensah : « J’ai eu du travail, mais je suis là pour ça »
Tout le monde, dans l’équipe, ne peut pas en dire autant. Après un premier quart d’heure convaincant, Colmar a pris l’eau pendant près de 60 minutes. Et on se demande, avec le recul, comment les Bretons ont bien pu gaspiller autant d’opportunités de faire trembler les filets...
« Il nous faut cinq occasions pour marquer un but », constate, avec un brin d’amertume, l’entraîneur vannetais Thierry Froger. « Si on est en est là aujourd’hui (en position de relégable, ndlr) , c’est précisément en raison de ce manque d’efficacité. Devant, on a vendangé, et derrière, on n’a pas eu la capacité de contenir les feux follets colmariens. »
Ce sont néanmoins les visiteurs, vendredi, qui ont offert la meilleure impression. Sans leur gardien Cédric Mensah, auteur de cinq arrêts décisifs – dont certains, sur des frappes à bout portant –, les Verts auraient sans nul doute encaissé leur neuvième défaite de la saison.
« À titre personnel, j’ai eu du travail, mais je suis là pour ça , commentait modestement l’ancien portier de la réserve de l’OM. Tout le monde fait des efforts, il n’y a pas que moi. Je n’ai pas envie de chercher des coupables... Ce qui prédomine, c’est un sentiment de frustration, parce qu’on a mené deux fois au score, avant d’être rejoints à la dernière seconde. C’est cruel. »
Vu sous cet angle, oui, certainement. Mais Colmar s’est aussi heurté à ses limites intrinsèques. Viser la Ligue 2 avec un effectif aussi léger relève de l’utopie. Surtout lorsque certains joueurs, considérés comme des cadres en début de championnat, sont gentiment priés d’aller faire un tour en équipe réserve…
Titulaires mais remplacés à la mi-temps, il y a neuf jours à Strasbourg, le milieu Fabien Jarsalé et l’attaquant Romain Armand ne figuraient même pas dans le groupe, vendredi. Rien ne dit qu’ils y réapparaîtront un jour…
Quant à l’ex-capitaine Benoît Haaby – présent depuis plus de trois ans au club –, la dernière fois qu’on l’a vu sur la pelouse, en équipe première, c’était le 21 mars (défaite 0-2 contre le Red Star). Le défenseur central a-t-il disputé, il y a un mois, son dernier match de National sous le maillot vert ? Ce n’est pas impossible…
« Je fais des choix stratégiques, insiste Damien Ott. Notre effectif n’est pas conséquent, ça permet à certains joueurs de s’exprimer. »
« On ne va rien lâcher »
Une note positive, pour conclure : si les hommes et les positions changent, au fil des rencontres, l’état d’esprit, lui, reste le même. Cette équipe colmarienne ne fait pas toujours rêver, mais elle se bat, en toutes circonstances.
« C’est ce qu’il faut retenir », plaide l’attaquant Frédéric Marques, qui a inscrit son quatrième but de la saison, avant-hier. « Pour la montée, c’est cuit, mais le maintien est assuré, et nous irons affronter le Paris FC avec beaucoup de détermination, vendredi prochain. L’objectif, désormais, c’est de finir le mieux possible. Pas comme l’an dernier… »
« On ne va rien lâcher, promet, de son côté, l’entraîneur des SRC. Nous occupons une position qui nous permet de travailler sereinement. Il faut apprendre de nos erreurs et ne pas se décourager. »
Les Verts ont encore cinq journées de championnat pour embellir le tableau.
DNA
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Re: SR Colmar
A la Meinau il n'avait pas besoin de banc , comme toi qu'il aille au diableLe hic, c’est que les SRC ne disposent pas d’une profondeur de banc assez importante pour compenser de telles absences
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Re: SR Colmar
Et pourtant, ils avaient remplacé trois joueurs à la mi-temps à la MEINAU.
Qu'ils aillent au diable !!!
Qu'ils aillent au diable !!!
- Kaniber
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Re: SR Colmar
les matchs de Colmar qui pourrait intéresser le Racing
vendredi 25 avril 2014 - 20:00
PARIS F C / COLMAR S R
vendredi 2 mai 2014 - 20:00
COLMAR S R / LUCON VENDEE FOOT
vendredi 9 mai 2014 - 20:00
BOULOGNE U S C O / COLMAR S R
vendredi 16 mai 2014 - 20:00
COLMAR S R / LUZENAC A P
vendredi 23 mai 2014 - 20:00
AMIENS S C / COLMAR S R
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vendredi 25 avril 2014 - 20:00
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COLMAR S R / LUCON VENDEE FOOT
vendredi 9 mai 2014 - 20:00
BOULOGNE U S C O / COLMAR S R
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- PoY
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Re: SR Colmar
Amiens est à 11 points, il reste 15 points à prendre, donc ils sont bien trop loin 
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Re: SR Colmar
ne comptez pas sur Colmar pour gagner contre des équipes qui jouent le maintien comme le RCSA, ce serait plutôt le contraire 
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Re: SR Colmar
SR COLMAR : COMMENT PASSER LE CAP ?
Après avoir obtenu un maintien difficile lors de leur première saison en National, les Colmariens ont pris la mesure de la troisième division française les années suivantes et ont même, à maintes reprises, flirté avec le podium synonyme d’accession en Ligue 2. Mais à chaque fois, les Verts ont joué « petit bras » notamment au Stadium.
Vendredi dernier, à l’occasion de la venue de Vannes, l’antépénultième du championnat, Abdoulaye Diawara et ses coéquipiers ont une nouvelle fois raté l’opportunité de se rapprocher du podium. Certes, la troisième place du tableau semblait inaccessible, mais une victoire face aux Bretons aurait permis aux Colmariens de grimper vers la quatrième place, ex aequo avec le Red Star, et ainsi de continuer à mettre la pression sur le GFC Ajaccio. Au lieu de cela, l’égalisation des Vannetais dans les dernières secondes du match a rétrogradé les Verts à la 8e place.
Cette issue a sacrément énervé Christophe Gryczka qui espérait que son équipe allait poursuivre sur la lancée de la victoire dans le derby la semaine précédente. « C’est un éternel recommencement, s’insurge le président des Verts. Dès qu’on a la possibilité d’aller plus haut, on la fout en l’air. Ça fait trois saisons que l’équipe se retrouve dans ce genre de situation et à chaque fois, elle ne parvient pas à passer le cap ».
Après avoir terminé à la 15e place lors de la découverte du National, en effet, les Verts ont pris la 8e place la saison suivante après avoir été 5e au début des matches retour et raté l’occasion de monter sur le podium lors d’un tournant au Stadium face à… Vannes.
« On a l’impression d’être une équipe de milieu de tableau »
La saison dernière, la formation de Damien Ott est même montée sur le podium au terme d’un mois de décembre exceptionnel lors duquel elle est allée battre Créteil, le leader sur son terrain (0-3) et Épinal au stade des Colombières (1-3) avant de connaître une descente aux enfers marquée par des conditions météorologiques et des matches remis en semaine sans doute pas étrangers à ses résultats en dents de scie qui l’ont écarté du haut du tableau.
« Et cette saison, c’est la troisième fois qu’on est en mesure de faire un saut vers l’avant et à chaque fois on rate la marche, poursuit Gryczka. On a l’impression qu’on est une équipe de milieu de tableau et que si ça continue comme ça, on va le rester. Qu’est-ce qui pourrait changer ça ? Je sais bien que pour le podium c’est foutu, mais pour aller voir les partenaires et tenter de récupérer les 500 000 euros qu’il nous manque pour rivaliser avec les meilleures équipes dans la course à la Ligue 2, il vaut mieux présenter le meilleur classement possible. »
Mais les Verts ont pourtant une nouvelle fois rivalisé avec les meilleurs puisqu’après un début de championnat douloureux, ils sont remontés à la 5e place lors de la 16e journée et une victoire sur Boulogne (1-0) après avoir notamment battu le Racing, Vannes et Luçon, Mais, entre-temps, un sévère 0-3 face au Paris FC au Stadium les avait remis à leur place, avant que Luzenac les fasse revenir sur terre (0-3).
Cela n’a pas empêché les Colmariens de repartir de l’avant et de signer une belle série de sept matches sans défaite (deux victoires et cinq nuls dont quatre à l’extérieur) et de reprendre la 6e place lors de la 24e journée, mais c’est cette fois le Red Star qui a joué les rabat-joie en s’imposant au Stadium (0-2). Enfin avant le match nul de vendredi face à Vannes, ils pouvaient viser le top 5.
« Je sais bien que le foot n’est pas une science exacte, note Gryczka. Je viens de suivre Lorient - Montpellier à la télé, et quand je vois les Montpelliérains, réduits à dix, mener 4-1 à la 87e et se faire remonter, je me dis qu’il vaut mieux relativiser. »
Absent vendredi soir, le président des Verts aura l’occasion de discuter de cette fin de championnat, et de la saison suivante, avec Damien Ott, puisqu’il accompagne le coach des Verts, jeudi, devant la commission de discipline de la Fédé (*). «On était plus ou moins d’accord de poursuivre la route ensemble, mais cela n’aurait pas été cohérent de ne pas attendre la décision fédérale, observe Christophe Gryczka. Je ne suis pas trop inquiet, mais même six mois de suspension ne l’empêcherait pas de débuter la saison prochaine. Au-delà, on verra. »
(*) L’entraîneur des Verts a été suspendu à titre conservatoire depuis le 13 mars après avoir bousculé le délégué du match face à Dunkerque et convoqué devant la CFD ce jeudi 24 avril à 14 h 15.
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