
Tombé(e)s au champ d'honneur / Ils nous ont quitté ...
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Mort de Miklos Feher en plein match...
Je pensais que qqun en avait parlé car c'est grave je trouve et très triste..
Bravant la pluie, des centaines de personnes sont venues rendre mardi un dernier hommage au joueur de football international hongrois Miklos Feher, foudroyé dimanche à l'âge de 24 ans en plein match, dans le nouveau stade du Benfica Lisbonne transformé en lieu de pèlerinage.
Des fleurs, des bougies et des écharpes aux couleurs de différentes équipes de football ont été déposées depuis lundi autour du cercueil et le long de la grille d'entrée du stade par des centaines de supporteurs oubliant les rivalités entre clubs.
"Je suis un fan du Sporting et pourtant je suis ici! Regardez ça!", lance un supporteur du Sporting Portugal, le grand rival lisboète du Benfica, brandissant une écharpe de son club en direction d'une équipe de télévision.
Dans le hall d'entrée, les admirateurs signent l'un des dix livres de condoléances, avant de défiler lentement devant le cercueil recouvert du drapeau rouge, blanc et jaune du Benfica.
Un jeune homme d'une vingtaine d'années, une écharpe du Benfica autour du cou, s'arrête près du cercueil en faisant le signe de la croix avant d'être invité, par les agents de sécurité, à avancer plus rapidement.
Il est suivi par un groupe de six amis, arborant des écharpes de différentes couleurs, se tenant par la main.
"C'est monstrueux"
Devant la porte d'entrée, une femme enceinte, un homme appuyé sur des béquilles ou encore deux femmes de ménage ayant profité de leur pause déjeuner font la queue, qui s'étend sur plusieurs dizaines de mètres, pour rendre un dernier hommage au joueur.
"Que Dieu te protège", peut-on lire sur une pancarte posée à même le sol, devant l'entrée du stade.
L'émotion est telle que certains admirateurs se sont évanouis, rapportent les médias portugais.
Pour les amateurs de football plus âgés, la mort foudroyante de Feher rappelle celle d'une autre vedette du football portugais. C'était en 1973. Fernando Pascoal das Neves, surnommé Pavao, un joueur du FC Porto, s'effondrait sur le terrain à la 13e minute d'un match comptant pour la 13e journée du Championnat national.
"C'est monstrueux! Cette fois, c'était pire que la mort de Pascoal das Neves, car tout le monde a assisté à la mort du joueur en direct à la télévision", a déclaré à l'AFP Carlos Costa, 68 ans, avant de laisser éclater ses larmes, précisant avoir pris la précaution d'apporter ses médicaments pour le coeur.
Dernier sourire
Miklos Feher s'est écroulé dimanche soir sur la pelouse du Vitoria Guimaraes, qui accueillait le Benfica Lisbonne dans le cadre de la 19e journée du Championnat.
Après les efforts de réanimation infructueux des médecins des deux équipes, il a été admis à l'hôpital du Guimaraes en état d'"arrêt cardio-respiratoire". Peu de temps après, les médecins constataient son décès.
A l'issue de l'autopsie du joueur lundi, qui n'a pas permis d'élucider les causes de la mort, la dépouille du joueur a été transportée à Lisbonne. A son arrivée, le cercueil a été porté par six joueurs jusqu'à la chapelle funèbre dressée pour l'occasion dans le hall d'entrée du stade de la Luz.
Le stade du Benfica - le club portugais qui rassemble le plus grand nombre de supporteurs - a ouvert ses portes mardi jusqu'à 23h30 (heure GMT), afin que les admirateurs du joueur puissent lui rendre hommage avant les obsèques prévues mercredi en Hongrie.
Depuis dimanche les télévisions portugaises rediffusent en boucle les images terribles du dernier sourire de Feher, peu avant qu'il ne se torde en deux et ne tombe à la renverse sur la pelouse, en direct devant les caméras
			
			
									
									
						Bravant la pluie, des centaines de personnes sont venues rendre mardi un dernier hommage au joueur de football international hongrois Miklos Feher, foudroyé dimanche à l'âge de 24 ans en plein match, dans le nouveau stade du Benfica Lisbonne transformé en lieu de pèlerinage.
Des fleurs, des bougies et des écharpes aux couleurs de différentes équipes de football ont été déposées depuis lundi autour du cercueil et le long de la grille d'entrée du stade par des centaines de supporteurs oubliant les rivalités entre clubs.
"Je suis un fan du Sporting et pourtant je suis ici! Regardez ça!", lance un supporteur du Sporting Portugal, le grand rival lisboète du Benfica, brandissant une écharpe de son club en direction d'une équipe de télévision.
Dans le hall d'entrée, les admirateurs signent l'un des dix livres de condoléances, avant de défiler lentement devant le cercueil recouvert du drapeau rouge, blanc et jaune du Benfica.
Un jeune homme d'une vingtaine d'années, une écharpe du Benfica autour du cou, s'arrête près du cercueil en faisant le signe de la croix avant d'être invité, par les agents de sécurité, à avancer plus rapidement.
Il est suivi par un groupe de six amis, arborant des écharpes de différentes couleurs, se tenant par la main.
"C'est monstrueux"
Devant la porte d'entrée, une femme enceinte, un homme appuyé sur des béquilles ou encore deux femmes de ménage ayant profité de leur pause déjeuner font la queue, qui s'étend sur plusieurs dizaines de mètres, pour rendre un dernier hommage au joueur.
"Que Dieu te protège", peut-on lire sur une pancarte posée à même le sol, devant l'entrée du stade.
L'émotion est telle que certains admirateurs se sont évanouis, rapportent les médias portugais.
Pour les amateurs de football plus âgés, la mort foudroyante de Feher rappelle celle d'une autre vedette du football portugais. C'était en 1973. Fernando Pascoal das Neves, surnommé Pavao, un joueur du FC Porto, s'effondrait sur le terrain à la 13e minute d'un match comptant pour la 13e journée du Championnat national.
"C'est monstrueux! Cette fois, c'était pire que la mort de Pascoal das Neves, car tout le monde a assisté à la mort du joueur en direct à la télévision", a déclaré à l'AFP Carlos Costa, 68 ans, avant de laisser éclater ses larmes, précisant avoir pris la précaution d'apporter ses médicaments pour le coeur.
Dernier sourire
Miklos Feher s'est écroulé dimanche soir sur la pelouse du Vitoria Guimaraes, qui accueillait le Benfica Lisbonne dans le cadre de la 19e journée du Championnat.
Après les efforts de réanimation infructueux des médecins des deux équipes, il a été admis à l'hôpital du Guimaraes en état d'"arrêt cardio-respiratoire". Peu de temps après, les médecins constataient son décès.
A l'issue de l'autopsie du joueur lundi, qui n'a pas permis d'élucider les causes de la mort, la dépouille du joueur a été transportée à Lisbonne. A son arrivée, le cercueil a été porté par six joueurs jusqu'à la chapelle funèbre dressée pour l'occasion dans le hall d'entrée du stade de la Luz.
Le stade du Benfica - le club portugais qui rassemble le plus grand nombre de supporteurs - a ouvert ses portes mardi jusqu'à 23h30 (heure GMT), afin que les admirateurs du joueur puissent lui rendre hommage avant les obsèques prévues mercredi en Hongrie.
Depuis dimanche les télévisions portugaises rediffusent en boucle les images terribles du dernier sourire de Feher, peu avant qu'il ne se torde en deux et ne tombe à la renverse sur la pelouse, en direct devant les caméras
- FM17
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J ai vu les images et c était horrible...Loin de moi d avancer quoique ce soit concernant ce malheureux mais il y a eu autant de morts sur un terrain de foot ces 8 dernières saisons que durant les 25 auparavant..
Faut peut être se poser les vraies questions aujourd hui...
			
			
									
									Faut peut être se poser les vraies questions aujourd hui...
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
						- argueti
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Maneo a écrit :C'est terrible ces images. On croirait avoir tout vu avec Foé et là ce joueur hongrois qui recoit un carton jaune avec le sourrire. Il se baisse et s'écroule à jamais devant ses coéquipiers et tout un stade ! Le football est-il devenu si dangereux ?
Ca se saurait qd même..
le foot n'est pas dangereux faut pas dire ça. Soit il s'est dopé soit il avait un problème cardiaque y'a pas 36 solutions..
QD tu vois que Foé qui selon un spécialiste avait le coeur abimé comme une personne de 50 ans tu te pose des questions..
- argueti
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Des larmes et des questions  
Près d'un millier de personnes ont rendu hommage à Miklos Feher, inhumé hier à Gyor, sa ville natale. Les causes du décès du joueur hongrois du Benfica sont toujours inconnues.
Près d'un millier de supporteurs, la famille et les joueurs de différentes équipes ont rendu un dernier hommage à l'attaquant Miklos Feher, qui a été enterré hier à Gyor (ouest de la Hongrie) après avoir été foudroyé par une attaque cardiaque en plein match, dimanche au Portugal. Dans la petite chapelle de sa ville natale, toute l'équipe du Benfica Lisbonne — le club portugais du jeune joueur — se trouvait aux côtés des proches en deuil.
« Le monde entier pleure »
Des ministres des gouvernements hongrois et portugais, les anciens coéquipiers de Feher au sein de l'équipe nationale et près d'un millier de personnes qui ont connu Feher depuis ses débuts à Gyor ont participé à cette dernière cérémonie. « Le monde entier pleure pour toi », a déclaré Imre Bozoky, le président de la Fédération nationale de football (MLSZ) devant le cercueil de Miklos Feher, dont le corps a été revêtu d'un drap blanc, avec les couleurs du drapeau hongrois, rouge-blanc-vert, et une écharpe du Benfica. La grande majorité des personnes venues aux funérailles attendaient à l'extérieur de la chapelle, sous le froid et dans la neige, beaucoup d'entre eux avec des fleurs dans les mains et des larmes aux yeux. Miklos Feher, 24 ans, est mort foudroyé par un arrêt cardiaque en plein match de Championnat du Portugal entre son club du Benfica Lisbonne et le Vitoria Guimaraes, dimanche soir à Guimaraes. Il avait été immédiatement transporté à l'hôpital, où les médecins avaient constaté sa mort.
« Que ce drame serve d'exemple »
Présent sur place, le président du Benfica, très affecté, a laissé entendre qu'il pourrait démissionner de son poste après le décès de son joueur. « Il y a des valeurs dans la vie plus importantes qu'un ballon. Qu'aucun supporteur du Benfica ne m'en tienne rigueur à l'avenir, mais il y a des moments dans la vie où il faut savoir arrêter », avait déclaré dans la nuit de mardi à hier Luis Filipe Vieira. Le président du club a fait ces déclarations énigmatiques devant les caméras de télévision, quelques minutes après la fermeture des portes du stade da Luz. Le hall principal du stade avait été transformé en chapelle ardente et était resté ouvert jusqu'à minuit afin de permettre aux admirateurs de Feher de rendre un dernier hommage au jeune joueur, dont le cercueil était exposé. « Cela doit faire réfléchir les gens et je vais sûrement réfléchir avec ma famille sur mon avenir au Benfica. Cela m'a beaucoup marqué », a déclaré M. Vieira, qui espère que ce drame « serve d'exemple ». Les causes de la mort de Feher n'ont pas été élucidées, aucune lésion n'ayant été décelée lors d'une autopsie de quatre heures et demi réalisée lundi. Des tissus ont été prélevés pour des examens complémentaires, notamment toxicologiques, en laboratoire. M. Vieira a été élu à la tête du Sport Lisboa et Benfica le 1e r novembre 2003 avec un taux record de 90,47 % des voix, en remplacement de Manuel Vilarinho.
RIP
			
			
									
									Près d'un millier de personnes ont rendu hommage à Miklos Feher, inhumé hier à Gyor, sa ville natale. Les causes du décès du joueur hongrois du Benfica sont toujours inconnues.
Près d'un millier de supporteurs, la famille et les joueurs de différentes équipes ont rendu un dernier hommage à l'attaquant Miklos Feher, qui a été enterré hier à Gyor (ouest de la Hongrie) après avoir été foudroyé par une attaque cardiaque en plein match, dimanche au Portugal. Dans la petite chapelle de sa ville natale, toute l'équipe du Benfica Lisbonne — le club portugais du jeune joueur — se trouvait aux côtés des proches en deuil.
« Le monde entier pleure »
Des ministres des gouvernements hongrois et portugais, les anciens coéquipiers de Feher au sein de l'équipe nationale et près d'un millier de personnes qui ont connu Feher depuis ses débuts à Gyor ont participé à cette dernière cérémonie. « Le monde entier pleure pour toi », a déclaré Imre Bozoky, le président de la Fédération nationale de football (MLSZ) devant le cercueil de Miklos Feher, dont le corps a été revêtu d'un drap blanc, avec les couleurs du drapeau hongrois, rouge-blanc-vert, et une écharpe du Benfica. La grande majorité des personnes venues aux funérailles attendaient à l'extérieur de la chapelle, sous le froid et dans la neige, beaucoup d'entre eux avec des fleurs dans les mains et des larmes aux yeux. Miklos Feher, 24 ans, est mort foudroyé par un arrêt cardiaque en plein match de Championnat du Portugal entre son club du Benfica Lisbonne et le Vitoria Guimaraes, dimanche soir à Guimaraes. Il avait été immédiatement transporté à l'hôpital, où les médecins avaient constaté sa mort.
« Que ce drame serve d'exemple »
Présent sur place, le président du Benfica, très affecté, a laissé entendre qu'il pourrait démissionner de son poste après le décès de son joueur. « Il y a des valeurs dans la vie plus importantes qu'un ballon. Qu'aucun supporteur du Benfica ne m'en tienne rigueur à l'avenir, mais il y a des moments dans la vie où il faut savoir arrêter », avait déclaré dans la nuit de mardi à hier Luis Filipe Vieira. Le président du club a fait ces déclarations énigmatiques devant les caméras de télévision, quelques minutes après la fermeture des portes du stade da Luz. Le hall principal du stade avait été transformé en chapelle ardente et était resté ouvert jusqu'à minuit afin de permettre aux admirateurs de Feher de rendre un dernier hommage au jeune joueur, dont le cercueil était exposé. « Cela doit faire réfléchir les gens et je vais sûrement réfléchir avec ma famille sur mon avenir au Benfica. Cela m'a beaucoup marqué », a déclaré M. Vieira, qui espère que ce drame « serve d'exemple ». Les causes de la mort de Feher n'ont pas été élucidées, aucune lésion n'ayant été décelée lors d'une autopsie de quatre heures et demi réalisée lundi. Des tissus ont été prélevés pour des examens complémentaires, notamment toxicologiques, en laboratoire. M. Vieira a été élu à la tête du Sport Lisboa et Benfica le 1e r novembre 2003 avec un taux record de 90,47 % des voix, en remplacement de Manuel Vilarinho.
RIP

L'histoire est en marche ...
						
 
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