L'Equipe 2 - Championnat de National 3
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Quand Fichaux rend service... 
En raison des nombreuses absences en défense, Claude Fichaux a rechaussé les crampons, ce week-end à Viry-Châtillon, avec les stagiaires. Le lendemain, il assurait son rôle d'entraîneur avec les 16 ans du Racing. Week-end qui s'est conclu par deux succès pour lui...
JOUEUR... - Il avait mis les crampons de côté en fin de saison dernière. Et il ne pensait pas spécialement les ressortir. Jeudi dernier, pourtant, Jean-Marc Kuentz, qui devait palier les absences de Sam (suspension) et de Sow (blessé), avait demandé à Claude Fichaux s'il pouvait venir épauler les jeunes stagiaires en déplacement à Viry-Châtillon.
Possédant encore une licence de joueur, l'entraîneur des 16 ans, qui compte près de 400 matches en professionnel, a donc été titularisé dans l'axe défensif et a tenu les 90 minutes. Une titularisation qui coïncidait avec la troisième victoire à l'extérieur de la réserve (2-1, buts de Kobylik et Mphela).
... ET ENTRAINEUR. - Le lendemain, Claude Fichaux endossait l'habit d'entraîneur des 16 ans, celui qu'il revêt chaque week-end cette saison. Sur le terrain du Paris FC, en match en retard de la 12e journée, ses protégés se sont imposés 2-1 (buts de Gasmi et Durak). « Nous avons joué sur un terrain synthétique ancienne génération. Par conséquent, ce n'était pas un grand match, admet Fichaux. L'équipe était jeune. C'est la rencontre où nous avons produit le moins de jeu mais nous avons été capables de nous imposer. »
Une victoire, la troisième de suite, qui permet aux 16 ans de conserver leur deuxième place, avec un match en retard. De bon augure avant de se déplacer sur le terrain de Metz, samedi. Les Messins, actuellement en tête du groupe, sont les seuls à avoir battu les 16 ans Strasbourgeois pour l'instant. « Ce sera "le" gros match du cycle retour », annonce Fichaux.
			
			
									
									En raison des nombreuses absences en défense, Claude Fichaux a rechaussé les crampons, ce week-end à Viry-Châtillon, avec les stagiaires. Le lendemain, il assurait son rôle d'entraîneur avec les 16 ans du Racing. Week-end qui s'est conclu par deux succès pour lui...
JOUEUR... - Il avait mis les crampons de côté en fin de saison dernière. Et il ne pensait pas spécialement les ressortir. Jeudi dernier, pourtant, Jean-Marc Kuentz, qui devait palier les absences de Sam (suspension) et de Sow (blessé), avait demandé à Claude Fichaux s'il pouvait venir épauler les jeunes stagiaires en déplacement à Viry-Châtillon.
Possédant encore une licence de joueur, l'entraîneur des 16 ans, qui compte près de 400 matches en professionnel, a donc été titularisé dans l'axe défensif et a tenu les 90 minutes. Une titularisation qui coïncidait avec la troisième victoire à l'extérieur de la réserve (2-1, buts de Kobylik et Mphela).
... ET ENTRAINEUR. - Le lendemain, Claude Fichaux endossait l'habit d'entraîneur des 16 ans, celui qu'il revêt chaque week-end cette saison. Sur le terrain du Paris FC, en match en retard de la 12e journée, ses protégés se sont imposés 2-1 (buts de Gasmi et Durak). « Nous avons joué sur un terrain synthétique ancienne génération. Par conséquent, ce n'était pas un grand match, admet Fichaux. L'équipe était jeune. C'est la rencontre où nous avons produit le moins de jeu mais nous avons été capables de nous imposer. »
Une victoire, la troisième de suite, qui permet aux 16 ans de conserver leur deuxième place, avec un match en retard. De bon augure avant de se déplacer sur le terrain de Metz, samedi. Les Messins, actuellement en tête du groupe, sont les seuls à avoir battu les 16 ans Strasbourgeois pour l'instant. « Ce sera "le" gros match du cycle retour », annonce Fichaux.
L'histoire est en marche ...
						- argueti
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Le Racing rate le coche  
Racing-Club de Strasbourg II - AS Saint-Etienne II 0-0. Stade Jean-Nicolas Muller. Arbitre : M. Mombert, assisté de MM. Collinet et Lamy. Temps pluvieux. Pelouse glissante. Une centaine de spectateurs. Avertissements : à Strasbourg, Momha (85e) ; à Saint-Etienne, Luissint (13e) et Paulin (88e). Strasbourg : Delin, Momha, Savane, Keita, Fichaux (cap), Camadini, Kobylik, Bellaïd, Mouloungui, Moukouri, Ulm (Mphela, 61e). Ent : Kuentz. Saint-Etienne : Guillaud, Paulin, Meslien (cap), Courand, Gharibian, Barthélémy, Dogbé, Luissint, Alidor (Dabo, 65e), Houri, Ech Chergui. Ent : Fernandez.
« Il y a de bons et de mauvais matches nuls. Celui-ci en est un bon, même s'il ne fait pas nos affaires sur le plan comptable. Nous avions les moyens d'arracher une victoire. » Jean-Marc Kuentz, le coach de la réserve du Racing, pouvait légitimement être déçu hier au stade Jean-Nicolas Muller après le nul concédé par ses troupes à une très bonne équipe de Saint-Etienne. Face à des Verts qui ont pleinement justifié leur place dans le haut du tableau, les stagiaires, renforcés par une flopée de pros (Camadini, Mouloungui, Kobylik et Moukouri), ont fait mieux que soutenir la comparaison. Les Stéphanois doivent à leur gardien Guillaud d'être repartis d'Alsace avec les deux points du nul. Le 3e portier forésien a remporté rien moins que trois duels face aux attaquants alsaciens : deux face à Moukouri (35e et 71e), idéalement servi par Camadini (excellent hier), puis Kobylik, et un devant Mouloungui (77e), encore mis sur orbite par le professionnel corse du RCS. Kobylik aurait aussi pu trouver la faille sur une frappe enroulée du droit (41e) et une superbe reprise de volée à la réception d'un centre de Mouloungui (80e). Mais Guillaud, grâce notamment à une remarquable parade horizontale sur la 1è r e tentative du Tchèque, était encore sur la trajectoire. « Nous avons manqué de réalisme, alors que nous nous sommes procuré des occases », regrettait encore J.-M. Kuentz, « mais nous avons néanmoins produit un bon match de CFA face à un bon adversaire. Nous ne sommes toujours pas décrochés au classement (Ndlr : le RCS reste cependant relégable) et il va falloir se battre. Nous le savions. Mais les joueurs ont fait le match que je leur avais demandé. » Dès mercredi (17 h) au stade Muller en match en retard face à Moissy-Cramayel, les jeunes pousses du RCS auront l'occasion de confirmer cette embellie. À condition, précisément, de convertir leurs occasions. Suivra, ensuite, dimanche (15 h) un déplacement capital à Nancy, compagnon d'infortune du bas de tableau.
			
			
									
									Racing-Club de Strasbourg II - AS Saint-Etienne II 0-0. Stade Jean-Nicolas Muller. Arbitre : M. Mombert, assisté de MM. Collinet et Lamy. Temps pluvieux. Pelouse glissante. Une centaine de spectateurs. Avertissements : à Strasbourg, Momha (85e) ; à Saint-Etienne, Luissint (13e) et Paulin (88e). Strasbourg : Delin, Momha, Savane, Keita, Fichaux (cap), Camadini, Kobylik, Bellaïd, Mouloungui, Moukouri, Ulm (Mphela, 61e). Ent : Kuentz. Saint-Etienne : Guillaud, Paulin, Meslien (cap), Courand, Gharibian, Barthélémy, Dogbé, Luissint, Alidor (Dabo, 65e), Houri, Ech Chergui. Ent : Fernandez.
« Il y a de bons et de mauvais matches nuls. Celui-ci en est un bon, même s'il ne fait pas nos affaires sur le plan comptable. Nous avions les moyens d'arracher une victoire. » Jean-Marc Kuentz, le coach de la réserve du Racing, pouvait légitimement être déçu hier au stade Jean-Nicolas Muller après le nul concédé par ses troupes à une très bonne équipe de Saint-Etienne. Face à des Verts qui ont pleinement justifié leur place dans le haut du tableau, les stagiaires, renforcés par une flopée de pros (Camadini, Mouloungui, Kobylik et Moukouri), ont fait mieux que soutenir la comparaison. Les Stéphanois doivent à leur gardien Guillaud d'être repartis d'Alsace avec les deux points du nul. Le 3e portier forésien a remporté rien moins que trois duels face aux attaquants alsaciens : deux face à Moukouri (35e et 71e), idéalement servi par Camadini (excellent hier), puis Kobylik, et un devant Mouloungui (77e), encore mis sur orbite par le professionnel corse du RCS. Kobylik aurait aussi pu trouver la faille sur une frappe enroulée du droit (41e) et une superbe reprise de volée à la réception d'un centre de Mouloungui (80e). Mais Guillaud, grâce notamment à une remarquable parade horizontale sur la 1è r e tentative du Tchèque, était encore sur la trajectoire. « Nous avons manqué de réalisme, alors que nous nous sommes procuré des occases », regrettait encore J.-M. Kuentz, « mais nous avons néanmoins produit un bon match de CFA face à un bon adversaire. Nous ne sommes toujours pas décrochés au classement (Ndlr : le RCS reste cependant relégable) et il va falloir se battre. Nous le savions. Mais les joueurs ont fait le match que je leur avais demandé. » Dès mercredi (17 h) au stade Muller en match en retard face à Moissy-Cramayel, les jeunes pousses du RCS auront l'occasion de confirmer cette embellie. À condition, précisément, de convertir leurs occasions. Suivra, ensuite, dimanche (15 h) un déplacement capital à Nancy, compagnon d'infortune du bas de tableau.
L'histoire est en marche ...
						- 
				Manu
- Manager général@Directoire 
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CFA
Dans une impasse
Auteurs d'une bonne rencontre trois jours plus tôt, les stagiaires du Racing ont montré tout l'inverse, hier, en match en retard. A l'envers en première période, ils se retrouvent, à présent, dans une situation particulièrement périlleuse.
RC Strasbourg II 1
Moissy-Cramayel 2
Stade Jean-Nicolas-Muller. - Mi-Temps : 0-1. 50 spectateurs. Arbitre : M. Duvoid assisté de MM. Sontag et Giulano. Les buts : Kobylik (79e') pour Strasbourg II ; Bensaidi (34e'), Corti (78e') pour Moissy-Cramayel. Les avertissements : Kobylik (36e'), Keita (52e'), Savane (81e') à Strasbourg II.
RC STRASBOURG II : Delin - Savane, Fichaux (cap.), Sam (Vergerolle, 61e'), Momha - Kobylik, Keita, Sylvestre (Faty, 46e'), Arrache (Ulm, 56e') - Mphela, Moukouri.
MOISSY-CRAMAYEL : Magniez - Felix, Bonelli, Tourville, Guidali, Pimenta (Lievin, 80e') - Presse, Oubbana (cap.), Lafont, Almeida (Corti, 68e') - Bensaidi (Racon, 74e').
Adossé à un mur du vestiaire, Jean-Marc Kuentz a le regard perdu dans le vide. Parce qu'il ne comprend pas ce qu'il vient de voir. Un entraîneur doit pouvoir répondre aux questions qu'il se pose sur son équipe après une rencontre. Lui, cherche les réponses.
Comment passer d'une bonne prestation contre Saint-Etienne (0-0) dimanche, à ce match-là ? Pourquoi, comme c'est souvent le cas cette saison, attendre d'être mené pour réagir ? Quel discours tenir à présent ? Ce genre de questions.
« Comme anesthésiés »
« Je ne m'explique pas cette première période, disait d'ailleurs Kuentz. C'était une "non-mi-temps". Nous étions comme anesthésiés. Il n'y avait rien, nous étions éteints. Il n'y avait pas de mouvement, pas de jeu. Dans notre situation, c'est dommage de s'infliger des handicaps. »
L'exact opposé de ce qui était présent sur le terrain dimanche contre Saint-Etienne. Trois jours plus tôt, en effet, les stagiaires du Racing avaient été bons, avaient développé du jeu et n'avaient manqué que d'un brin de réalisme pour empocher quatre points précieux dans leur lutte pour le maintien. Hier, il a manqué des tas de choses.
Douzième défaite
Notamment en première mi-temps, où les Strasbourgeois étaient « éteints ». Absents dans la plupart des compartiments du jeu, ils n'étaient menés à la pause que d'un but, signé Bensaidi (34e'). La réaction, par moments désordonnée, qui suivait ne permettait pas de revenir dans la partie.
D'autant que Moissy profitait du va-tout strasbourgeois pour piquer en contre, par Corti (78e'). La tête de Kobylik (79e') donnait un zeste d'espoir à la réserve. Un espoir qui n'aboutissait à rien, au final. Si ce n'est une défaite, la douzième de la saison, la septième à la maison.
Semaine fatale
« On savait quel match cela allait être. On savait que ce serait engagé et qu'il fallait du mouvement pour les contrarier, pestait l'entraîneur. Il a fallu être mené pour prendre conscience. Mais, dans notre situation, la prise de conscience doit avoir lieu de la première à la dernière seconde de jeu. »
Une affaire qui plonge un peu plus encore cette équipe toujours avant-dernière. Cette semaine devait être celle de la renaissance éventuelle. Elle devient une sorte de semaine fatale, quelque chose comme ça. « Nous ne sommes pas dans ce que l'on s'était fixé », convient Kuentz. Il reste une dernière chance, ce dimanche à Nancy. La toute dernière ?
			
			
									
									
						Dans une impasse
Auteurs d'une bonne rencontre trois jours plus tôt, les stagiaires du Racing ont montré tout l'inverse, hier, en match en retard. A l'envers en première période, ils se retrouvent, à présent, dans une situation particulièrement périlleuse.
RC Strasbourg II 1
Moissy-Cramayel 2
Stade Jean-Nicolas-Muller. - Mi-Temps : 0-1. 50 spectateurs. Arbitre : M. Duvoid assisté de MM. Sontag et Giulano. Les buts : Kobylik (79e') pour Strasbourg II ; Bensaidi (34e'), Corti (78e') pour Moissy-Cramayel. Les avertissements : Kobylik (36e'), Keita (52e'), Savane (81e') à Strasbourg II.
RC STRASBOURG II : Delin - Savane, Fichaux (cap.), Sam (Vergerolle, 61e'), Momha - Kobylik, Keita, Sylvestre (Faty, 46e'), Arrache (Ulm, 56e') - Mphela, Moukouri.
MOISSY-CRAMAYEL : Magniez - Felix, Bonelli, Tourville, Guidali, Pimenta (Lievin, 80e') - Presse, Oubbana (cap.), Lafont, Almeida (Corti, 68e') - Bensaidi (Racon, 74e').
Adossé à un mur du vestiaire, Jean-Marc Kuentz a le regard perdu dans le vide. Parce qu'il ne comprend pas ce qu'il vient de voir. Un entraîneur doit pouvoir répondre aux questions qu'il se pose sur son équipe après une rencontre. Lui, cherche les réponses.
Comment passer d'une bonne prestation contre Saint-Etienne (0-0) dimanche, à ce match-là ? Pourquoi, comme c'est souvent le cas cette saison, attendre d'être mené pour réagir ? Quel discours tenir à présent ? Ce genre de questions.
« Comme anesthésiés »
« Je ne m'explique pas cette première période, disait d'ailleurs Kuentz. C'était une "non-mi-temps". Nous étions comme anesthésiés. Il n'y avait rien, nous étions éteints. Il n'y avait pas de mouvement, pas de jeu. Dans notre situation, c'est dommage de s'infliger des handicaps. »
L'exact opposé de ce qui était présent sur le terrain dimanche contre Saint-Etienne. Trois jours plus tôt, en effet, les stagiaires du Racing avaient été bons, avaient développé du jeu et n'avaient manqué que d'un brin de réalisme pour empocher quatre points précieux dans leur lutte pour le maintien. Hier, il a manqué des tas de choses.
Douzième défaite
Notamment en première mi-temps, où les Strasbourgeois étaient « éteints ». Absents dans la plupart des compartiments du jeu, ils n'étaient menés à la pause que d'un but, signé Bensaidi (34e'). La réaction, par moments désordonnée, qui suivait ne permettait pas de revenir dans la partie.
D'autant que Moissy profitait du va-tout strasbourgeois pour piquer en contre, par Corti (78e'). La tête de Kobylik (79e') donnait un zeste d'espoir à la réserve. Un espoir qui n'aboutissait à rien, au final. Si ce n'est une défaite, la douzième de la saison, la septième à la maison.
Semaine fatale
« On savait quel match cela allait être. On savait que ce serait engagé et qu'il fallait du mouvement pour les contrarier, pestait l'entraîneur. Il a fallu être mené pour prendre conscience. Mais, dans notre situation, la prise de conscience doit avoir lieu de la première à la dernière seconde de jeu. »
Une affaire qui plonge un peu plus encore cette équipe toujours avant-dernière. Cette semaine devait être celle de la renaissance éventuelle. Elle devient une sorte de semaine fatale, quelque chose comme ça. « Nous ne sommes pas dans ce que l'on s'était fixé », convient Kuentz. Il reste une dernière chance, ce dimanche à Nancy. La toute dernière ?
- The_Key_Player
- Responsable marketing @Directoire 
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- Enregistré le : 4 janv. 2004 21:01
- Localisation : Genève
Vous remarquerz que Kobylic  joue apparamment plutôt bien avec la CFA!
Encore une fois, je ne comprend pas l'attitude de Kambou à son égard...
Il s'évertue à ne pas lui donner sa chance, çà m'énerve au plus haut point!!!
			
			
									
									Encore une fois, je ne comprend pas l'attitude de Kambou à son égard...
Il s'évertue à ne pas lui donner sa chance, çà m'énerve au plus haut point!!!
Faire aisément ce qui est difficile aux autres, voilà le talent; faire ce qui est impossible au talent, voilà le génie...
						- alison
- Professionnel@Pro 
- Messages : 384
- Enregistré le : 23 déc. 2003 18:06
Je suis tout à  fait d'accord avec toi seb  désloé : the key. ce qui est sûr c'est qu'on n'arrete pas de dire qu'il faut laisser leurs chances aux jeunes comme Arrache ou encore Mouloungui. Mais lui aussi a droit à  sa chance. On en a laissé une voire beaucoup plus à  Dorsin et il n'a pas su en profiter et malgré ça Kambou lui en a encore laissé et il n'en a toujours pas profité. Kobylic se débrouille pas si mal en cfa, donc je pense qu'il faudrait lui offir la sienne.
 désloé : the key. ce qui est sûr c'est qu'on n'arrete pas de dire qu'il faut laisser leurs chances aux jeunes comme Arrache ou encore Mouloungui. Mais lui aussi a droit à  sa chance. On en a laissé une voire beaucoup plus à  Dorsin et il n'a pas su en profiter et malgré ça Kambou lui en a encore laissé et il n'en a toujours pas profité. Kobylic se débrouille pas si mal en cfa, donc je pense qu'il faudrait lui offir la sienne. 
Au match aller strasbourg - nantes, il était entré vers la 87ème minute et à la 89 ème minute, il a marqué. Il a su créer la différence. Alors moi je dis qu'il faut lui donner sa chance...
			
			
													 désloé : the key. ce qui est sûr c'est qu'on n'arrete pas de dire qu'il faut laisser leurs chances aux jeunes comme Arrache ou encore Mouloungui. Mais lui aussi a droit à  sa chance. On en a laissé une voire beaucoup plus à  Dorsin et il n'a pas su en profiter et malgré ça Kambou lui en a encore laissé et il n'en a toujours pas profité. Kobylic se débrouille pas si mal en cfa, donc je pense qu'il faudrait lui offir la sienne.
 désloé : the key. ce qui est sûr c'est qu'on n'arrete pas de dire qu'il faut laisser leurs chances aux jeunes comme Arrache ou encore Mouloungui. Mais lui aussi a droit à  sa chance. On en a laissé une voire beaucoup plus à  Dorsin et il n'a pas su en profiter et malgré ça Kambou lui en a encore laissé et il n'en a toujours pas profité. Kobylic se débrouille pas si mal en cfa, donc je pense qu'il faudrait lui offir la sienne. Au match aller strasbourg - nantes, il était entré vers la 87ème minute et à la 89 ème minute, il a marqué. Il a su créer la différence. Alors moi je dis qu'il faut lui donner sa chance...
					Modifié en dernier par alison le 26 févr. 2004 17:27, modifié 1 fois.
									
			
									
						- Frantz
- Entraineur adjoint@Staff 
- Messages : 1615
- Enregistré le : 7 mars 2003 11:31
Comme c'est barré l'équipe 2 file droit en CFA2.
			
			
									
									Si l'Amazonie est le poumon de la terre, Metz en est le trou du cul.
http://rernes.free.fr/
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 ) faut croire en Koby !
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