 
 mais faut' il être surpris

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  Thomasson a été très remuant et a donné le tournis aux Monégasques. But un peu chanceux mais c'est un but quand même.
 Thomasson a été très remuant et a donné le tournis aux Monégasques. But un peu chanceux mais c'est un but quand même. 
  Bellegarde a fait une excellente rentrée et a permis de mettre un peu de folie au milieu de terrain alors qu'on était en train de s'endormir.
 Bellegarde a fait une excellente rentrée et a permis de mettre un peu de folie au milieu de terrain alors qu'on était en train de s'endormir. Sissoko a été très bon à la récupération du ballon et a fait quelques montées qui auraient pu se finir par des buts ... si seulement l'aspect offensif n'était pas son gros point faible ...
 Sissoko a été très bon à la récupération du ballon et a fait quelques montées qui auraient pu se finir par des buts ... si seulement l'aspect offensif n'était pas son gros point faible ... Djiku a très bien commencé au milieu mais a baissé de rythme en passant défenseur (c'est logique en soi); mais il est également fautif sur le but monégasque avec une relance ratée plein axe
 Djiku a très bien commencé au milieu mais a baissé de rythme en passant défenseur (c'est logique en soi); mais il est également fautif sur le but monégasque avec une relance ratée plein axe 
  Fofana m'a semblé moins bon et moins disponible que ses pairs au milieu de terrain. Pas un mauvais match néanmoins.
 Fofana m'a semblé moins bon et moins disponible que ses pairs au milieu de terrain. Pas un mauvais match néanmoins. 
  
  Zohi a fait un bon débordement qui a apporté le premier but ... et puis il s'est "calmé" et a été plus en retrait alors qu'en face il y avait la place pour des débordements, des dribbles, etc
 Zohi a fait un bon débordement qui a apporté le premier but ... et puis il s'est "calmé" et a été plus en retrait alors qu'en face il y avait la place pour des débordements, des dribbles, etc




dna a écrit :Racing : la chance sourit aux audacieux
Avec des desseins plus offensifs qu’à l’accoutumée loin de la Meinau, le Racing a signé un joli succès en Principauté, ce samedi (1-3), qui le place dans le haut du tableau de Ligue 1. De quoi confirmer ses ambitions pour la seconde partie de saison.
La victoire du Racing à Louis-II, samedi soir, a eu une répercussion immédiate et assez inattendue : assombrir le moral de Daniel Elena.
« Vous, les Alsaciens, ce n’est même plus la peine de m’adresser la parole », se marrait le fidèle compère monégasque de Sébastien Loeb en rallye à la vue du score.
A contrario, cette seconde levée victorieuse de rang en Principauté – le 5 à 1 de janvier 2019 avait mis un terme à 40 ans d’insuccès – n’a pas suffi à embellir la soirée du pilote Hyundai qui a passé son week-end à galérer sur les routes du Monte-Carlo pour finir à un anecdotique sixième rang (lire par ailleurs).
Les hommes changent, les idées perdurent
Tout juste a-t-il pu chambrer son volubile équipier et se dire qu’il avait bien fait, à l’époque, de mettre la main au porte-monnaie quand Marc Keller l’avait sollicité pour réamorcer la pompe après le dépôt de bilan.
Depuis cette époque déjà lointaine à l’échelle du foot pro – en 2012 concernant la contribution de Loeb pour une équipe alors en CFA –, le Racing a donc sacrément grandi. Sous la houlette de Thierry Laurey depuis un peu moins de quatre ans, l’équipe s’est à nouveau installée dans le paysage de la Ligue 1.
Avec 30 points au compteur, la voilà même qui émarge dans la première partie du tableau depuis sa virée victorieuse à Monaco, que les plus optimistes voyaient déjà jouer les gros bras derrière Paris et Marseille, grâce à la patte supposée magique de Robert Moreno.
Mais comme Paulo Sousa, son homologue portugais de Bordeaux, en décembre dernier, l’ambitieux coach espagnol a pris une bonne leçon de la part des Strasbourgeois.
Avec un schéma plus offensif qu’au stade Atlantique – cinq défenseurs et une seule pointe en Gironde pour un succès sur la plus petite des marges (0-1), contre quatre derrière, un milieu en losange et deux devant à Louis-II –, les Bleus ont éteint Golovin, Fabregas et les autres pourvoyeurs de ballons de la deuxième attaque de l’élite, Ben Yedder étant privé de munitions en pointe.
La dernière fois que l’entraîneur alsacien avait utilisé ce système-là à l’extérieur, c’était fin novembre à Amiens, pour un succès, alors le premier de la saison loin de la Meinau, déjà éclatant (0-4, 14e journée). Les hommes changent – Mothiba, Simakan et Caci, titularisés en Picardie, sont actuellement aux soins ou en reprise – mais les idées perdurent.
« On ne va pas parler de match bonus, mais si tu perds à Monaco, personne ne te le reprochera, justifie Thierry Laurey. On arrive à nos fins, tant mieux pour nous, mais c’est l’histoire d’un match. »
La réussite de l’association de bienfaiteurs Ajorque-Thomasson, auteurs respectivement de leur 8e et 7e buts de la saison (lire ci-contre) , la vivacité de Zohi et de Bellegarde, la solidité défensive malgré la blessure à une cuisse de Koné, remplacé à la demi-heure de jeu « plus par précaution, en espérant que ça ne soit pas trop grave », aux dires du coach, ont débouché sur un ensemble très cohérent.
« Tenter notre chance à chaque match »
« Le but était d’abord de défendre, avant de bien attaquer par la suite, dit l’entraîneur alsacien. On n’était pas inquiet parce que l’on savait que l’on aurait la possibilité de se créer des situations de but. C’était déjà le cas à Reims en Coupe de la Ligue (élimination 0-0, 4-2 t.a.b.) ou à Metz en championnat (défaite 1-0) , sauf qu’on n’avait pas la réussite avec nous. »
Ce succès permet d’aborder le sixième déplacement de rang en janvier, ce mercredi (21h05) à Marseille en 8e de finale de la Coupe de France, « sans pression et avec l’esprit léger ». Mais sans non plus se prendre pour quelqu’un d’autre.
« Sur la durée, on ne peut pas rivaliser avec des équipes comme Paris, Marseille ou Monaco, mais notre objectif est de faire matches qui se tiennent, parce qu’il y aura peut-être une ouverture, synthétise Thierry Laurey. Si ces équipes sont à leur niveau, on n’existera pas. Mais ça ne doit pas nous empêcher de tenter notre chance. C’est ce que je veux : que l’on tente notre chance à chaque fois. »
La prochaine opportunité se présentera dans deux jours au Vélodrome. Un autre bel écrin pour viser l’exploit.