le racing va faire à  metz ce qu'il a toujours fait partout ailleurs : relancer l'équipe en plein doute.
Mon pronostic : 2 à  0 pour metz et une expulsion au racing
			
			
									
									
						[03/04] 29ème J: Metz / RCS - 1/0
- argueti
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Le seul truc qui m'inquiete c'est que Bassila c'est pas une fleche en vitesse ...
Momha a l'air d'avoir du mal a revenir meme en CFA, qq a des infos sur son rendement ? On essaie Bellaid ?
PS: Tiens ca ma surpris, Thiaw est resté hors des 16 pour choix de l'entraineur, g pas tout suivi dans cette histoire ...
			
			
									
									Momha a l'air d'avoir du mal a revenir meme en CFA, qq a des infos sur son rendement ? On essaie Bellaid ?
PS: Tiens ca ma surpris, Thiaw est resté hors des 16 pour choix de l'entraineur, g pas tout suivi dans cette histoire ...
L'histoire est en marche ...
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				Invité
[quote="lordraven"]le racing va faire à  metz ce qu'il a toujours fait partout ailleurs : relancer l'équipe en plein doute.
TOI TU AS TOUT COMPRIS AVEC LE RACING !!!!!!
c'est ce qu'ils font depuis pas mal d'années..... à part quand ils étaient en D2 (et encore, pas à la fin de la saison....)
mais bon, on les aime qu'en meme!!!!!!
			
			
									
									
						TOI TU AS TOUT COMPRIS AVEC LE RACING !!!!!!
c'est ce qu'ils font depuis pas mal d'années..... à part quand ils étaient en D2 (et encore, pas à la fin de la saison....)
mais bon, on les aime qu'en meme!!!!!!
- argueti
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Destination danger  
Après la débâcle de dimanche à Marseille (0-4), le Racing, qui panse ses plaies, sent le souffle des relégables sur son cou, avant de se rendre ce samedi chez le premier d'entre eux, Metz, pour un derby de tous les dangers.
La nuit de dimanche à lundi a été courte pour Antoine Kombouaré. Et sa journée a ensuite été longue. En rentrant de Marseille, l'entraîneur strasbourgeois a visionné la cassette de la déroute strasbourgeoise (0-4) au Vélodrome (1). Puis hier dès 9h45, il a reçu une demi-heure les deux « punis », Salim Arrache et Eric Mouloungui. Consignés deux semaines au centre de formation pour avoir pris certaines libertés avec l'entraînement pour l'un, pour quelques propos déplacés pour l'autre, les deux jeunes attaquants ont donc retrouvé les pros. « J'espère qu'ils auront retenu la leçon », suggère l'entraîneur bas-rhinois. « J'ai demandé à Salim si, lui, le Marseillais de naissance, n'aurait pas préféré être au Vélodrome dimanche et à Eric Mouloungui s'il ne s'estimait pas capable de jouer en voyant le petit Alexander Farnerud titularisé comme 2e attaquant. » Même s'il aurait sans doute eu besoin de ses deux espoirs à Marseille, le technicien du RCS a des principes et s'y est tenu à raison. Un allégement de la sanction aurait résonné comme un aveu de faiblesse. Et il n'y a qu'à Marseille qu'un Mido puisse se permettre de quitter ses partenaires à son arrivée au stade parce qu'il ne supporte pas d'être remplaçant. Parenthèse refermée, puisque le Racing a ce matin d'autres chats à fouetter que de s'occuper des états d'âme d'un jeune Egyptien en mal d'amour, à en croire le coach olympien José Anigo (« L'Alsace Lundi » d'hier). Après « la grosse claque reçue à Marseille » (Kombouaré), il dispose de cinq jours pour éviter d'en recevoir une autre samedi (20h) dans un derby crucial à Metz. « Il faut se réveiller maintenant, pas quand nous serons 16e s ou 17e s avec seulement 2 points d'avance sur le premier relégable », lance un Fabrice Ehret qui sera suspendu à Saint-Symphorien et suppléé par le Suédois Mikael Dorsin comme latéral gauche. « Nous sommes conscients du danger. Et il vaut mieux prendre des points maintenant, à Metz ou contre Rennes dans 15 jours à la Meinau, que de devoir le faire contre les gros (Ndlr : après Rennes, Lyon, Paris et Monaco seront les prochains visiteurs du RCS). »
« Il n'est plus temps de parler »
Danger, danger, danger : hier matin, lors d'une causerie doublée d'une séance vidéo de près d'une heure et demie, Kombouaré n'a cessé d'enfoncer cette notion dans le crâne de ses joueurs. « J'ai occulté l'arbitrage pour ne retenir que nos erreurs d'attention et de concentration. Nous plombons nos matches en nous mettant tout seuls en danger. J'ai reparlé des deux premiers buts lourds de conséquence. Après le premier, concédé dans les conditions que l'on sait, nous sommes pourtant restés bien dans la partie jusqu'à ce 2e but gag, à mourir de rire presque. Nous avons vraiment donné le bâton pour nous faire battre. Depuis quelques matches, nous étions sur le fil du rasoir. Nous jouions avec le feu et ce qui nous est arrivé à Marseille nous pendait au nez. Avant le décrassage, j'ai laissé les joueurs parler. Je les ai écoutés. C'est la première fois que j'en éprouve le besoin. Maintenant que c'est fait, il n'est plus temps de parler. Ce ne serait que faire du vent. J'attends leur réaction. Nous nous sommes mis sous pression alors que depuis le début de saison, nous avions toujours joué sans. Ce n'est plus l'heure de pleurnicher, mais de se comporter en mecs. J'espère que cette claque va nous faire réagir. Nous allons voir ceux qui ont des c… Depuis la trêve, je ne me leurre pas : je regarde vers le bas du classement. » Les retours du capitaine Corentin Martins (qui a joué tout le match en CFA samedi), du vice-capitaine Christian Bassila (suspension purgée), du buteur Mamadou Niang (économisé à Marseille), de Cédric Kanté (préservé ce week-end), Guillaume Lacour (rétabli de son entorse) et les rentrées de Mouloungui et Arrache, sûrement revanchards, lui offriront d'autres solutions à Metz. D'autres remèdes aussi ?
 
l'Alsace
 
			
			
									
									Après la débâcle de dimanche à Marseille (0-4), le Racing, qui panse ses plaies, sent le souffle des relégables sur son cou, avant de se rendre ce samedi chez le premier d'entre eux, Metz, pour un derby de tous les dangers.
La nuit de dimanche à lundi a été courte pour Antoine Kombouaré. Et sa journée a ensuite été longue. En rentrant de Marseille, l'entraîneur strasbourgeois a visionné la cassette de la déroute strasbourgeoise (0-4) au Vélodrome (1). Puis hier dès 9h45, il a reçu une demi-heure les deux « punis », Salim Arrache et Eric Mouloungui. Consignés deux semaines au centre de formation pour avoir pris certaines libertés avec l'entraînement pour l'un, pour quelques propos déplacés pour l'autre, les deux jeunes attaquants ont donc retrouvé les pros. « J'espère qu'ils auront retenu la leçon », suggère l'entraîneur bas-rhinois. « J'ai demandé à Salim si, lui, le Marseillais de naissance, n'aurait pas préféré être au Vélodrome dimanche et à Eric Mouloungui s'il ne s'estimait pas capable de jouer en voyant le petit Alexander Farnerud titularisé comme 2e attaquant. » Même s'il aurait sans doute eu besoin de ses deux espoirs à Marseille, le technicien du RCS a des principes et s'y est tenu à raison. Un allégement de la sanction aurait résonné comme un aveu de faiblesse. Et il n'y a qu'à Marseille qu'un Mido puisse se permettre de quitter ses partenaires à son arrivée au stade parce qu'il ne supporte pas d'être remplaçant. Parenthèse refermée, puisque le Racing a ce matin d'autres chats à fouetter que de s'occuper des états d'âme d'un jeune Egyptien en mal d'amour, à en croire le coach olympien José Anigo (« L'Alsace Lundi » d'hier). Après « la grosse claque reçue à Marseille » (Kombouaré), il dispose de cinq jours pour éviter d'en recevoir une autre samedi (20h) dans un derby crucial à Metz. « Il faut se réveiller maintenant, pas quand nous serons 16e s ou 17e s avec seulement 2 points d'avance sur le premier relégable », lance un Fabrice Ehret qui sera suspendu à Saint-Symphorien et suppléé par le Suédois Mikael Dorsin comme latéral gauche. « Nous sommes conscients du danger. Et il vaut mieux prendre des points maintenant, à Metz ou contre Rennes dans 15 jours à la Meinau, que de devoir le faire contre les gros (Ndlr : après Rennes, Lyon, Paris et Monaco seront les prochains visiteurs du RCS). »
« Il n'est plus temps de parler »
Danger, danger, danger : hier matin, lors d'une causerie doublée d'une séance vidéo de près d'une heure et demie, Kombouaré n'a cessé d'enfoncer cette notion dans le crâne de ses joueurs. « J'ai occulté l'arbitrage pour ne retenir que nos erreurs d'attention et de concentration. Nous plombons nos matches en nous mettant tout seuls en danger. J'ai reparlé des deux premiers buts lourds de conséquence. Après le premier, concédé dans les conditions que l'on sait, nous sommes pourtant restés bien dans la partie jusqu'à ce 2e but gag, à mourir de rire presque. Nous avons vraiment donné le bâton pour nous faire battre. Depuis quelques matches, nous étions sur le fil du rasoir. Nous jouions avec le feu et ce qui nous est arrivé à Marseille nous pendait au nez. Avant le décrassage, j'ai laissé les joueurs parler. Je les ai écoutés. C'est la première fois que j'en éprouve le besoin. Maintenant que c'est fait, il n'est plus temps de parler. Ce ne serait que faire du vent. J'attends leur réaction. Nous nous sommes mis sous pression alors que depuis le début de saison, nous avions toujours joué sans. Ce n'est plus l'heure de pleurnicher, mais de se comporter en mecs. J'espère que cette claque va nous faire réagir. Nous allons voir ceux qui ont des c… Depuis la trêve, je ne me leurre pas : je regarde vers le bas du classement. » Les retours du capitaine Corentin Martins (qui a joué tout le match en CFA samedi), du vice-capitaine Christian Bassila (suspension purgée), du buteur Mamadou Niang (économisé à Marseille), de Cédric Kanté (préservé ce week-end), Guillaume Lacour (rétabli de son entorse) et les rentrées de Mouloungui et Arrache, sûrement revanchards, lui offriront d'autres solutions à Metz. D'autres remèdes aussi ?
l'Alsace

L'histoire est en marche ...
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Le parcours du FC Metz ressemble à  s'y méprendre au parcours ru Racing hors de ses bases! La logique voudrait un match nul.
Mais moi je me dis qu'une première mi-temps comme celle à Monaco (comme beaucoup d'autres d'ailleurs), et nous devrions nous imposer.
Un match comme celui de Marseille, et Metz augmentera son compteur de victoires d'une unité! Cela fera trois victoires pour neuf défaites, mais le goal-average sera rééquilibré
			
			
									
									
						Mais moi je me dis qu'une première mi-temps comme celle à Monaco (comme beaucoup d'autres d'ailleurs), et nous devrions nous imposer.
Un match comme celui de Marseille, et Metz augmentera son compteur de victoires d'une unité! Cela fera trois victoires pour neuf défaites, mais le goal-average sera rééquilibré

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