Le Stade Rennais

[fan_racing]

A mon avis, Beye n'en a plus pour longtemps. Rennes a une nouvelle fois un budget plus qu'intéressant, le 6e-7e de L1, et cumule des moyens de recrutement important sur plusieurs saisons. Et ils n'en font rien. Un rien qui dépasse cela dit le cadre d'Habib Beye, puisque le club collectionne les entraîneurs qui font flop, ou qui étrangement n'y arrivent plus au bout d'un moment assez rapide pour ensuite mieux rebondir ailleurs. Dans le cas de Beye, le léger mieux aperçu à son arrivée en seconde partie de saison dernière, c'était pour moi surtout dû à un peu de fighting spirit qu'il a su inculquer à l'équipe. Je pense par contre qu'il manque de compétences pour construire un projet de jeu, dans un club où semble de plus régner un climat délétère.

[Kaniber]

Beye était un bon joueur , mais comme entraineur il est nul .

[Gotcha]

@fan_racing quand tu vois le cirque à la tête du club, et notamment des transferts et salaires de joueurs payés à un prix délirant, je pense pas que ce soit imputable à Beye

Toujours est il que oui, les résultats ne sont pas conformes aux attentes et qu'il devrait vraisemblablement sauter prochainement, reste à voir qui ils mettront à la place et surtout si ce dernier sera capable de faire mieux....

[Psychogene]

C’était bien ce Rennes qu’il fallait envier cet été côté taf et recrutement on est d’accord ?

[Matt67]

Exclu FM

Habib Beye est en grand danger avec le Stade Rennais

Après un nouveau match nul frustrant contre Auxerre (2-2), Habib Beye est plus que jamais fragilisé du côté de Rennes.

À Rennes, tout avait bien commencé en ce début de saison. Après une victoire inaugurale face à l’Olympique de Marseille, le bateau a déjà commencé à tanguer malgré une victoire polémique, face à l’olympique lyonnais lors de la quatrième journée, les Rennais sont vite retombés dans leurs travers avec quatre matches nuls de rang, face à des équipes plus modestes et un Lens réduit à dix pendant plus de 90 minutes. Actuellement, Rennes pointe à une décevante neuvième place après un calendrier pourtant favorable.


Ce dimanche, le Stade Rennais s’est une nouvelle fois mordu les doigts avec un match nul à domicile face à Auxerre (2-2). Un nouveau contretemps qui pourrait bien sonner le glas de l’aventure bretonne d’Habib Beye. Critiqué suite à des résultats de plus en plus décevants, le tacticien de 48 ans était également fragilisé par des informations qui affirmaient que certaines tensions existaient en interne face à son coaching.

La direction n’a pas apprécié le match de Rennes ce dimanche
Et même si l’ancien entraîneur du Red Star avait affirmé que toutes ces rumeurs étaient infondées, son équipe n’a pas su sortir la tête de l’eau ce dimanche en étant rejoint à la 72e minute à domicile face à une équipe de l’AJA toujours en bas de classement. Une rencontre à laquelle a assisté Guillaume Cerutti, le nouveau président du conseil d’administration de Rennes. Ce soir, selon nos informations, beaucoup de discussions gravitent autour de l’arrivée d’un nouveau coach à Rennes.

Une situation délétère mais qui s’explique par l’incompréhension du nouveau dirigeant et de tout le board devant la prestation en demi-teinte de son équipe. Après la bronca au Roazhon Park et ce 4e point pris sur 12 possibles sur les 4 derniers matches, Habib Beye semble de plus en plus fragilisé et son avenir en Bretagne n’est pas garanti.

[Matt67]

EXCLU FM : c’est terminé entre le Stade Rennais et Habib Beye !

Après une série décevante (2 victoires en 10 matchs de Ligue 1) et la nouvelle défaite face à Nice, le club breton a décidé de mettre un terme à la collaboration avec son entraîneur. Malgré un bon départ face à l’OM, les résultats récents ont eu raison de la patience des dirigeants rennais.

Plusieurs pistes sont déjà étudiées pour lui succéder, dont Philippe Clément.

Le choc psychologique des Dimanche contre le Racing ?
La presse Belge annoncé l'intérêt de l'ex coach des Rangées par Rennes le 21 Octobre. Il sera peut etre présent dès Mercredi pour le déplacement a Toulouse.

[Matt67]

L'equipe contredit l'information de Foot Mercato :

INFO L'ÉQUIPE. En danger après le nouveau couac contre Nice dimanche (1-2, 9e journée de L1), le coach rennais Habib Beye est maintenu en poste pour diriger l'équipe bretonne à Toulouse, ce mercredi (10e journée, 21h05).

Dimanche, Rennes (10e) s'est incliné contre un Nice moyen à la maison (1-2, 9e journée de L1) après quatre nuls, et une première période en forme de malaise avant un sursaut insuffisant. La question du maintien en poste d'Habib Beye s'est clairement posée et elle a été tranchée ce lundi. Le coach rennais sera bien sur le banc à Toulouse, mercredi soir (21h05, 10e journée de L1), avec une obligation de résultat alors que le compte n'y est pas encore en termes de points .
Nommé en janvier en remplacement de Jorge Sampaoli, et alors que le club était 16e de Ligue 1, l'ancien capitaine de l'OM avait permis à Rennes d'assurer son maintien en terminant à la 12e place. Il avait été prolongé d'une saison, soit jusqu'en 2026, avec l'objectif de qualifier le club breton en Coupe d'Europe. Après neuf journées, le Stade Rennais est 10e avec onze points

[Matt67]

RMC Sport

"Ça devait s’arrêter, ça continue": Beye très cash sur son avenir sur le banc du Stade Rennais

En grande difficulté au Stade Rennais, Habib Beye a bénéficié d’un sursis et dirigera encore l’équipe bretonne ce mercredi à Toulouse (21h05) lors de la 10e journée de Ligue 1. Présent face à la presse à la veille de la rencontre, le technicien sénégalais a confirmé avoir eu très chaud mais a assuré toujours disposer de la confiance de ses dirigeants.


A ce niveau-là, ce n’est plus une épée de Damoclès qui se trouve au-dessus de la tête de Habib Beye. C’est carrément toute la guillotine qui risque de rapidement s’abattre sur l’entraîneur du Stade Rennais dans les prochains jours. Si certains médias ont annoncé son éviction, le technicien se trouvera sur le banc ce mercredi face à Toulouse. L’occasion pour lui d’un sursaut potentiellement salvateur. Face à la presse ce mardi, l’ancien défenseur a confirmé être passé tout près de prendre la porte avant la 10e journée de Ligue 1.

"Il s’est dit beaucoup de choses (lors de sa rencontre avec sa direction). On a fait un bilan de tout ce qu’il se passait actuellement. Il s’est dit beaucoup de choses et ça serait long de le résumer ici", a glissé l’entraîneur du club breton avant le déplacement des siens. "Le plus important, c’est le focus qu’on doit avoir sur ce match à Toulouse. Et se dire qu’on a la chance de pouvoir remonter très, très vite à cheval et de gagner un match à Toulouse où ce sera un match difficile."

Beye n'a pas reçu d'ultimatum pour son avenir
Soucieux de rester concentré sur le duel face au Téfécé, Habib Beye n’a pourtant pas pu éviter des questions sur son avenir et notamment sur un possible ultimatum. L’ex-joueur du Sénégal ne s’est pas échappé.

"Dans la situation dans laquelle où nous sommes oui il faut gagner. Mais dans le métier que nous faisons, un ultimatum, je ne le vois pas comme ça", a poursuivi celui qui connait sa première expérience sur un banc de l’élite. "On fait un métier qui est formidable. On a la chance de vivre de cette passion, on a la chance d’être avec les joueurs et je ne vois jamais ça comme une sentence irrévocable."

Avant de préciser sur la possibilité d’un licenciement rapide: "La question s’est posée, oui je pense qu’elle a été posée. Par moment, je pense qu’elle a été arrêtée. Aujourd’hui, des gens croient encore en ce qu’on veut faire et ce qu’on est, ici au Stade Rennais."

Beye "pense" avoir le soutien de ses joueurs et de la direction rennaise
Malgré les rumeurs et les informations sur une cassure entre le staff et certains cadres du vestiaire breton, Habib Beye a réaffirmé garder la main sur son groupe. A ses yeux, la mauvaise passe actuelle n'a pas altéré sa relation avec ses joueurs.

"Le soutien de mes joueurs, je pense que je l’ai tout le temps à mon sens. Je trouve qu’ils sont aujourd’hui dans l’adhésion et dans ce qu’ils ont montré sur le terrain, ça prouve qu’ils ont une adhésion totale à ce qu’on veut faire", a enchaîné Habib Beye. "Donc je ne me suis jamais posé cette question."

L’ex-défenseur passé notamment par Newcastle et l’OM a ensuite vigoureusement démenti les rumeurs sur une volonté d’abandonner: "Non, je n’ai jamais été prêt à partir. Jamais je ne lâcherai ce poste-là, jamais je ne lâcherai ma passion qui est d’entraîner. Peu importe la pression ou les résultats, j’aime trop ce jeu et ce sport. J’aime trop mes joueurs pour un jour ne serait-ce que poser une démission et partir. Ni ici, ni ailleurs."

Rappelant le "vrai bonheur" d’être l’entraîneur du Stade Rennais, Habib Beye a rappelé tout le bien qu’il pensait des infrastructures à sa disposition et du travail réalisé par sa direction.

"J’ai la chance d’avoir un propriétaire qui est une personne vraiment exceptionnelle. Il me l’a témoigné encore ce matin, et c’est très très rare dans une relation. Je ne le dis pas assez mais j’ai la chance d’avoir un propriétaire et une famille qui savent exactement où je veux aller avec ce club."

Et l'entraîneur rennais de continuer: "Ce soutien-là est indéfectible depuis mon arrivée au club."
"Ça continue pour une raison très précise"
Très clair sur le besoin de victoire de Rennes, Habib Beye espère mettre fin à la série de cinq matchs sans gagner en championnat. Dans l’espoir d’un succès depuis le 14 septembre, les Bretons comptent remonter au classement avec un gros match à Toulouse. Et pour y arriver, le technicien a préparé son match presque comme d’habitude.

"On est arrivés lundi matin, on a entraîné l’équipe. Et ce qu’il s’est passé c’est qu’à un moment donné ça devait s’arrêter. Et ça a continué", a finalement insisté le coach de 48 ans. "Parce que des gens pensent encore qu’on a l’énergie pour changer la dynamique actuelle. Et aujourd’hui, je ne travaillerai jamais dans une logique d’ultimatum. Mon devoir, c'est de faire en sorte que cette équipe gagne contre Toulouse."

"Je vous promets que les choses vont changer": il y a bien eu une explication entre les joueurs du Stade Rennais et les supporters après la défaite, à la demande de la direction
Avant de voir Habib Beye conclure sur le sujet un peu plus fermement: "On ne va pas jouer un jeu de dupes. Vous avez tous vu les informations. Ça devait s’arrêter, ça continue. Ça continue pour une raison très précise. Les dirigeants ont senti que j’ai l’énergie et les capacités pour faire gagner cette équipe demain. Mais c’est comme ça, c’est le milieu dans lequel nous sommes. On ne va pas se mentir que non, il ne s’est pas passé ceci ou cela."

[Matt67]

L'Equipe

Après six matches sans succès, Rennes (10e) reçoit Strasbourg (4e), dimanche, pour la 11e journée de L1. Toujours en danger, Habib Beye est revenu ce vendredi sur les cas Seko Fofana et Ludovic Blas, écartés mercredi à Toulouse (2-2).

« Pensez-vous réintégrer, dimanche, Ludovic Blas et Seko Fofana, écartés du groupe à Toulouse mercredi (2-2) ?
Déjà, réintégrer, non. Ils n'ont jamais quitté l'entraînement, ils n'ont juste pas été dans le groupe à Toulouse. J'ai expliqué pourquoi. Là, ils sont à l'entraînement, tout le monde s'est bien entraîné. Il en reste un demain où il faudra être compétitifs et le plus investi possible et on prendra les décisions à ce moment-là.

C'était un choix marquant s'agissant de deux joueurs majeurs...
Je l'ai dit, c'est l'exigence qu'il nous faut aujourd'hui dans un club comme Rennes. J'en suis le garant et quand je ne l'ai pas, j'estime que je fais des choix, et les 20 à Toulouse étaient les plus performants. Mais dès le lendemain, c'est rouvert à la compétition, et jusqu'à demain (samedi), on a le temps de prendre le temps de savoir qui sera compétitif face à Strasbourg, sûrement la deuxième meilleure équipe derrière le PSG. Il faudra avoir cette personnalité qu'on a pu avoir à Toulouse, où l'équipe a ressemblé globalement à ce que je veux, dans son énergie et dans son jeu.


Avez-vous discuté avec Fofana et Blas ?
Non, car j'estime que je n'entraîne pas les joueurs pour les motiver à jouer au foot et à s'entraîner. J'entraîne pour faire de cette équipe la meilleure version d'elle-même. Mon travail est de discuter avec les joueurs quand ils ont un véritable problème. Quand j'estime que c'est une logique d'investissement, j'attends un meilleur investissement. Et ensuite on fera nos choix.


Comment décririez-vous votre rapport avec votre président (Arnaud Pouille) dans le contexte actuel, et que répondriez-vous à ceux qui verraient votre choix de mercredi comme une pierre dans son jardin ?
Il est venu après le match, il a été très clair. Il a parlé d'être ensemble, d'avoir cette notion d'unité collective, je reste sur ces mots-là. Après, il l'a dit aussi, il n'y a pas de logique d'ingérence dans les choix que je fais sur l'aspect sportif, il ne les a pas commentés. On a échangé aussi par rapport à ça au club avec Loïc Désiré (directeur sportif), sur le choix que je faisais, et il respecte totalement mon choix.

« C'est une semaine folle, on a la chance de rejouer tous les deux-trois jours, donc ça permet de ne pas trop rester dans ces histoires-là et de se rapprocher toujours du foot et d'espérer que ça tourne cette fois-ci avec un peu plus de réussite »


Ils sont en accord avec celui-ci à partir du moment où mes arguments sont ceux de la logique de la performance, de l'investissement au quotidien que nous voulons ici au Stade Rennais. J'estime que par rapport à ce que nous avons vécu, ce sont deux joueurs qui nous manquent, parce que ce sont deux joueurs de qualité, mais il y a aussi un groupe de 20 joueurs qui a été capable de s'impliquer, qui a pris sa personnalité sans Ludo et Seko sur ce match-là, et on espère avoir cette émulation pour avoir le meilleur groupe possible dimanche.

Comment vivez-vous ce contexte troublé ?
Je ramène ça au terrain et à l'énergie qu'on doit donner au moteur, les joueurs. Et ils ont répondu à Toulouse avec leurs qualités, leurs failles. Sur l'état d'esprit, il n'y a rien à leur reprocher. Sur le jeu pratiqué, on a vu des joueurs qui se sont par moments lâchés, qui sont revenus à un niveau qui leur ressemble plus, et la concurrence à travers ça se réinstalle. Après, oui, c'est une semaine folle, on a la chance de rejouer tous les deux-trois jours, donc ça permet de ne pas trop rester dans ces histoires-là et de se rapprocher toujours du foot et d'espérer que ça tourne cette fois-ci avec un peu plus de réussite.


Dès lors qu'il n'y avait pas victoire mercredi au coup de sifflet final, avez-vous songé que c'en était fini de votre aventure ?
Je pense que beaucoup de gens dans le monde du foot se posent cette question à ma place, et du coup je n'ai pas à me la poser (sourire). »

[Stan]

Ha ben c'est flatteur il considère le Racing comme la deuxième meilleure équipe du championnat