[Ex] Danijel Ljuboja
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Ce matin dans les DNA :
Les respirations de Ljuboja
Danijel Ljuboja : « C'est vrai que j'ai mal au coeur quand je vois que le Racing souffre ».
Vainqueur de Marseille dimanche, le Paris SG jouera demain contre Nantes en Coupe de France. Et, samedi soir, Danijel Ljuboja sera de retour à la Meinau.
« Comment m'avez-vous trouvé ? Ça allait, vous êtes sûr ? » Dimanche soir, vers 23 heures, Danijel Ljuboja était inquiet sur sa production face à l'OM.
Quelques heures plus tard, reposé, l'ex-Strasbourgeois est simplement heureux. « Jouer contre Marseille, c'est un peu un derby pour les Parisiens, sourit-il. C'était important de gagner. Et on a gagné. En plus, je pense que nous avons réalisé un gros, gros match. »
« Tout reste possible, vous savez »
Et les Parisiens ont, du coup, dépassé les Monégasques au classement de la L1 avec comme seuls points de mire les Lyonnais. « Il y a cinq ou semaines, nous n'avions que trois mots en tête : travail, travail et travail. Aujourd'hui, nous sommes là . A 3 points de Lyon, tout près, explique Danijel Ljuboja. Nous avons tous envie de faire quelque chose de bien cette saison, d'aller toujours un peu plus haut. »
Alors, quand on lui dit que ce Paris SG presque indestructible, qui n'a concédé qu'une seule défaite lors des 21 dernières journées (à Lens le 28 mars), peut raisonnablement viser le titre, Danijel Ljuboja répond avec le sourire. « On n'en parle pas trop entre nous, mais on ne sait jamais. Tout reste possible, vous savez. On y pense. »
« J'ai mal pour Antoine Kombouaré »
Lui, à Paris, se sent bien. S'est vite intégré. « En deux jours, c'était réglé. Je ne me faisais pas trop de soucis de ce côté », rigole-t-il. Sportivement, tout va bien. « Avec Pauleta, il n'y a aucun problème. Au contraire. »
Quant à ses rapports, presque père-fils avec Vahid Halilhodzic qui le taquine, par presse interposée, sur ses excès d'individualisme, Danijel Ljuboja en rigole presque. « Vahid Halilhodzic nous donne tout ce qu'il a. Il est à fond dans ce qu'il fait, il est là ... tout le temps, poursuit-il. Donc, si tu es intelligent, tu essaies de lui rendre ce qu'il donne. »
Et puis, naturellement, il parle d'Antoine Kombouaré. « J'ai mal pour lui, explique Danijel Ljuboja. Il n'a pas pu aller au bout de ses idées avec le Racing. A cause de mon départ, à cause des multiples blessures. Aujourd'hui, il doit se contenter d'être réaliste. C'est un homme génial. Je le pense très sincèrement. »
« Samedi, j'étais heureux »
Alors, tout aussi sincèrement, il a du mal à lire le classement du Racing en L1. « Samedi soir, j'ai enfin été heureux de la victoire à Lille. Le Racing ne peut pas descendre. C'est impossible et ce serait surtout injuste. C'est vrai que j'ai mal au coeur quand je vois qu'il souffre », reprend Danijel Ljuboja.
Même sans trop vouloir l'avouer, il appréhende ce retour sur une pelouse qu'il a foulée trois ans et demi. « Ça va être particulier, consent-il à dire s'interrogeant sur l'accueil des Alsaciens. S'ils m'ont oublié, je ne les ai pas oubliés. Surtout ceux qui sont dans le quart de virage. Quand je mettrai mon pied sur la pelouse, je serai ému. Je ne sais pas comment je vais être reçu. Mais je vais retrouver plein de gens que j'aime. »
« Nous n'aurons pas le choix à la Meinau »
Au coup d'envoi, il sera obligé de faire la part des choses. « Ce sera dur, mais c'est le Paris SG qui me paye. J'ai l'impression d'être dans ce maillot depuis des années. Si nous voulons encore penser au titre, nous n'aurons pas le choix à la Meinau », soupire Danijel Ljuboja.
A Strasbourg, le Paris SG ne visera qu'une chose : le but de Richard Dutruel, la victoire donc. Danijel Ljuboja, lui, restera le même. Un peu fou, surtout génial et généreux. « Si je réalise mon rêve de gosse en jouant dans un grand club, j'espère ne pas avoir changé humainement. J'espère être simple, et rester accessible. Mais ce n'est pas à moi de dire qui je suis. Aujourd'hui, je n'ai pas le temps de réfléchir sur ce que je vis. Je suis obligé de foncer. Mais, quand je me lève tous les matins, je me dis que j'ai beaucoup de chance. »
Reconnaissance
Et les supporters parisiens, qui l'ont encore ovationné dimanche lors de son remplacement par Reinaldo, doivent penser la même chose. « Leurs applaudissements et leurs chants à mon égard m'ont fait plaisir. Ça, c'est la plus belle des reconnaissances », termine Danijel Ljuboja. Avec 5 buts au compteur en 12 matches joués au Paris SG, le public du Parc des Princes l'a adopté, a pardonné la but qu'il avait inscrit à Jérôme Alonzo le 3 décembre. Depuis, il a changé de maillot. Quant à son coeur...
Les respirations de Ljuboja
Danijel Ljuboja : « C'est vrai que j'ai mal au coeur quand je vois que le Racing souffre ».
Vainqueur de Marseille dimanche, le Paris SG jouera demain contre Nantes en Coupe de France. Et, samedi soir, Danijel Ljuboja sera de retour à la Meinau.
« Comment m'avez-vous trouvé ? Ça allait, vous êtes sûr ? » Dimanche soir, vers 23 heures, Danijel Ljuboja était inquiet sur sa production face à l'OM.
Quelques heures plus tard, reposé, l'ex-Strasbourgeois est simplement heureux. « Jouer contre Marseille, c'est un peu un derby pour les Parisiens, sourit-il. C'était important de gagner. Et on a gagné. En plus, je pense que nous avons réalisé un gros, gros match. »
« Tout reste possible, vous savez »
Et les Parisiens ont, du coup, dépassé les Monégasques au classement de la L1 avec comme seuls points de mire les Lyonnais. « Il y a cinq ou semaines, nous n'avions que trois mots en tête : travail, travail et travail. Aujourd'hui, nous sommes là . A 3 points de Lyon, tout près, explique Danijel Ljuboja. Nous avons tous envie de faire quelque chose de bien cette saison, d'aller toujours un peu plus haut. »
Alors, quand on lui dit que ce Paris SG presque indestructible, qui n'a concédé qu'une seule défaite lors des 21 dernières journées (à Lens le 28 mars), peut raisonnablement viser le titre, Danijel Ljuboja répond avec le sourire. « On n'en parle pas trop entre nous, mais on ne sait jamais. Tout reste possible, vous savez. On y pense. »
« J'ai mal pour Antoine Kombouaré »
Lui, à Paris, se sent bien. S'est vite intégré. « En deux jours, c'était réglé. Je ne me faisais pas trop de soucis de ce côté », rigole-t-il. Sportivement, tout va bien. « Avec Pauleta, il n'y a aucun problème. Au contraire. »
Quant à ses rapports, presque père-fils avec Vahid Halilhodzic qui le taquine, par presse interposée, sur ses excès d'individualisme, Danijel Ljuboja en rigole presque. « Vahid Halilhodzic nous donne tout ce qu'il a. Il est à fond dans ce qu'il fait, il est là ... tout le temps, poursuit-il. Donc, si tu es intelligent, tu essaies de lui rendre ce qu'il donne. »
Et puis, naturellement, il parle d'Antoine Kombouaré. « J'ai mal pour lui, explique Danijel Ljuboja. Il n'a pas pu aller au bout de ses idées avec le Racing. A cause de mon départ, à cause des multiples blessures. Aujourd'hui, il doit se contenter d'être réaliste. C'est un homme génial. Je le pense très sincèrement. »
« Samedi, j'étais heureux »
Alors, tout aussi sincèrement, il a du mal à lire le classement du Racing en L1. « Samedi soir, j'ai enfin été heureux de la victoire à Lille. Le Racing ne peut pas descendre. C'est impossible et ce serait surtout injuste. C'est vrai que j'ai mal au coeur quand je vois qu'il souffre », reprend Danijel Ljuboja.
Même sans trop vouloir l'avouer, il appréhende ce retour sur une pelouse qu'il a foulée trois ans et demi. « Ça va être particulier, consent-il à dire s'interrogeant sur l'accueil des Alsaciens. S'ils m'ont oublié, je ne les ai pas oubliés. Surtout ceux qui sont dans le quart de virage. Quand je mettrai mon pied sur la pelouse, je serai ému. Je ne sais pas comment je vais être reçu. Mais je vais retrouver plein de gens que j'aime. »
« Nous n'aurons pas le choix à la Meinau »
Au coup d'envoi, il sera obligé de faire la part des choses. « Ce sera dur, mais c'est le Paris SG qui me paye. J'ai l'impression d'être dans ce maillot depuis des années. Si nous voulons encore penser au titre, nous n'aurons pas le choix à la Meinau », soupire Danijel Ljuboja.
A Strasbourg, le Paris SG ne visera qu'une chose : le but de Richard Dutruel, la victoire donc. Danijel Ljuboja, lui, restera le même. Un peu fou, surtout génial et généreux. « Si je réalise mon rêve de gosse en jouant dans un grand club, j'espère ne pas avoir changé humainement. J'espère être simple, et rester accessible. Mais ce n'est pas à moi de dire qui je suis. Aujourd'hui, je n'ai pas le temps de réfléchir sur ce que je vis. Je suis obligé de foncer. Mais, quand je me lève tous les matins, je me dis que j'ai beaucoup de chance. »
Reconnaissance
Et les supporters parisiens, qui l'ont encore ovationné dimanche lors de son remplacement par Reinaldo, doivent penser la même chose. « Leurs applaudissements et leurs chants à mon égard m'ont fait plaisir. Ça, c'est la plus belle des reconnaissances », termine Danijel Ljuboja. Avec 5 buts au compteur en 12 matches joués au Paris SG, le public du Parc des Princes l'a adopté, a pardonné la but qu'il avait inscrit à Jérôme Alonzo le 3 décembre. Depuis, il a changé de maillot. Quant à son coeur...
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Ljuboja est extra
Le choc entre le Racing et le PSG, samedi (20 h) à la Meinau, marquera les retrouvailles de Danijel Ljuboja avec ses anciens coéquipiers et le public alsacien. Pour toutes les parties concernées, il n'y aura évidemment rien d'anodin.
Il est des individualités qui peuvent réconcilier avec un univers entier. Danijel Ljuboja est de ceux-là . Loin de l'image du footballeur pro talentueux, lointain, hautain, crétin qui a volontiers cours dans le monde du ballon rond, l'international serbe a conservé à l'esprit l'essentiel de son activité : le foot est un jeu trop sérieux et passionnant pour n'en pas faire une religion et ne pas s'y consacrer avec le sourire. Technicien surdoué, vedette chérie du Racing lors d'un brillant début de saison, l'homme aux 12 buts depuis le mois d'août dernier a tourné la page en rejoignant la capitale au mois de janvier. Mais loin de lui l'idée de renier un club en lutte pour son maintien depuis les hauts sommets de la L1 qu'il tutoie sous le maillot parisien. « Il est clair que depuis trois mois, j'évolue dans un environnement où tout est multiplié », relève-t-il pour identifier le changement. « Mais jamais je ne dirai que c'est mieux. Ou alors, c'est à vous de le dire. Car à Strasbourg, j'ai passé de supers années. » Elles ont pu être galère (celle de la descente), correspondre à une nouvelle maturation nécessaire (celle de la remontée) ou un apprentissage rigoureux, parfois difficile à accepter (sous les ordres d'Ivan Hasek notamment). Grâce à lui, elles n'ont jamais plongé dans une complète morosité et se sont achevées sur une période heureuse, avec un comparse à ses côtés pour constituer l'un des plus redoutables duos d'attaque de l'élite. « Danijel, je l'adore », se plaît à répéter Mamadou Niang, un peu blessé, mais surtout orphelin depuis le mercato. « Et je suis content que cela se passe bien pour lui au PSG. Car cela se passe effectivement bien, j'ai pu le vérifier. Lorsque je suis allé rendre visite à un médecin à Paris, Danijel m'a accueilli, chez lui. C'est assez impressionnant, les réactions qu'il peut susciter. Sa coupe de cheveux, par exemple, a été adoptée par beaucoup de passionnés du PSG. Et dans la rue, les gens l'arrêtent. » Et comme il l'a toujours fait au cours de sa carrière, il s'arrête. L'intéressé admet « être un joueur heureux en ce moment. Je m'entends super bien avec mes coéquipiers. Il y a une spirale de la victoire qui appelle la victoire et un grand club concerné à chaque fois par le match qui suit, avec la volonté de le gagner. »
Trois buts et une bise ?
Cet épanouissement ne surprend pas le moins du monde le dernier technicien avec qui il a noué des relations amicales, au sein de la boutique strasbourgeoise. « Danijel m'a toujours dit que depuis tout gamin, il voulait réussir dans un grand club et il est obnubilé par cet objectif », souligne Antoine Kombouaré, avant de lâcher, découvrant un peu la face cachée du phénomène dans le vestiaire : « En plus, c'est un garçon agréable à un point qu'il en est fatiguant. Je disais toujours aux autres : "Mais faites le taire". Il n'y avait rien à faire. C'est un vivant, un caractère, un boute-en-train. Je ne l'ai jamais vu triste. » Le portrait intime du néo-Parisien n'est pas sans incidence sur le carré vert. Ljuboja est sur le terrain comme en dehors. « Il peut nous en mettre trois et venir me faire la bise après le match en me disant : désolé coach », poursuit Kombouaré. « Dans son duel avec Habib, dimanche, il a d'ailleurs mis un coup de coude, s'est excusé, a gagné. Et ils sont allés manger tous les deux ensemble après le match. Danijel est comme ça. » Autant dire qu'il ne faut pas s'attendre à une quelconque pitié samedi. « Je jouerai le match au maximum, sinon, ce n'est pas la peine que j'entre sur le terrain, mais je ne pense pas ressentir de pression supplémentaire », anticipe-t-il. « Cela fera un peu bizarre au début, mais nous sommes dans un état d'esprit tel actuellement que nous ne voulons rien lâcher. » Une expression que les banderoles de supporters strasbourgeois ne manquent pas de reprendre à chaque sortie du Racing ces dernières semaines. Hasard ou coïncidence ?
l'Alsace
Le choc entre le Racing et le PSG, samedi (20 h) à la Meinau, marquera les retrouvailles de Danijel Ljuboja avec ses anciens coéquipiers et le public alsacien. Pour toutes les parties concernées, il n'y aura évidemment rien d'anodin.
Il est des individualités qui peuvent réconcilier avec un univers entier. Danijel Ljuboja est de ceux-là . Loin de l'image du footballeur pro talentueux, lointain, hautain, crétin qui a volontiers cours dans le monde du ballon rond, l'international serbe a conservé à l'esprit l'essentiel de son activité : le foot est un jeu trop sérieux et passionnant pour n'en pas faire une religion et ne pas s'y consacrer avec le sourire. Technicien surdoué, vedette chérie du Racing lors d'un brillant début de saison, l'homme aux 12 buts depuis le mois d'août dernier a tourné la page en rejoignant la capitale au mois de janvier. Mais loin de lui l'idée de renier un club en lutte pour son maintien depuis les hauts sommets de la L1 qu'il tutoie sous le maillot parisien. « Il est clair que depuis trois mois, j'évolue dans un environnement où tout est multiplié », relève-t-il pour identifier le changement. « Mais jamais je ne dirai que c'est mieux. Ou alors, c'est à vous de le dire. Car à Strasbourg, j'ai passé de supers années. » Elles ont pu être galère (celle de la descente), correspondre à une nouvelle maturation nécessaire (celle de la remontée) ou un apprentissage rigoureux, parfois difficile à accepter (sous les ordres d'Ivan Hasek notamment). Grâce à lui, elles n'ont jamais plongé dans une complète morosité et se sont achevées sur une période heureuse, avec un comparse à ses côtés pour constituer l'un des plus redoutables duos d'attaque de l'élite. « Danijel, je l'adore », se plaît à répéter Mamadou Niang, un peu blessé, mais surtout orphelin depuis le mercato. « Et je suis content que cela se passe bien pour lui au PSG. Car cela se passe effectivement bien, j'ai pu le vérifier. Lorsque je suis allé rendre visite à un médecin à Paris, Danijel m'a accueilli, chez lui. C'est assez impressionnant, les réactions qu'il peut susciter. Sa coupe de cheveux, par exemple, a été adoptée par beaucoup de passionnés du PSG. Et dans la rue, les gens l'arrêtent. » Et comme il l'a toujours fait au cours de sa carrière, il s'arrête. L'intéressé admet « être un joueur heureux en ce moment. Je m'entends super bien avec mes coéquipiers. Il y a une spirale de la victoire qui appelle la victoire et un grand club concerné à chaque fois par le match qui suit, avec la volonté de le gagner. »
Trois buts et une bise ?
Cet épanouissement ne surprend pas le moins du monde le dernier technicien avec qui il a noué des relations amicales, au sein de la boutique strasbourgeoise. « Danijel m'a toujours dit que depuis tout gamin, il voulait réussir dans un grand club et il est obnubilé par cet objectif », souligne Antoine Kombouaré, avant de lâcher, découvrant un peu la face cachée du phénomène dans le vestiaire : « En plus, c'est un garçon agréable à un point qu'il en est fatiguant. Je disais toujours aux autres : "Mais faites le taire". Il n'y avait rien à faire. C'est un vivant, un caractère, un boute-en-train. Je ne l'ai jamais vu triste. » Le portrait intime du néo-Parisien n'est pas sans incidence sur le carré vert. Ljuboja est sur le terrain comme en dehors. « Il peut nous en mettre trois et venir me faire la bise après le match en me disant : désolé coach », poursuit Kombouaré. « Dans son duel avec Habib, dimanche, il a d'ailleurs mis un coup de coude, s'est excusé, a gagné. Et ils sont allés manger tous les deux ensemble après le match. Danijel est comme ça. » Autant dire qu'il ne faut pas s'attendre à une quelconque pitié samedi. « Je jouerai le match au maximum, sinon, ce n'est pas la peine que j'entre sur le terrain, mais je ne pense pas ressentir de pression supplémentaire », anticipe-t-il. « Cela fera un peu bizarre au début, mais nous sommes dans un état d'esprit tel actuellement que nous ne voulons rien lâcher. » Une expression que les banderoles de supporters strasbourgeois ne manquent pas de reprendre à chaque sortie du Racing ces dernières semaines. Hasard ou coïncidence ?
l'Alsace
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