Les inscriptions au forum sont rouvertes 
Racing-PSG sans doute à guichets fermés.
A deux jours de l'un des matchs de l'année, plus de 21000 billets ont été vendus.
La rencontre devrait se jouer à guichets fermés.
Le risque se précise car la billeterie sera ouverte en non-stop ce vendredi de 9h à 18h30 et samedi à partir de 10h. Les ayant-droits payeront exceptionnellement demi-tarif.
Le Racing compte sur tous ses supporters pour que la Meinau se transforme en chaudron. A samedi pour vivre ensemble un grand moment de foot. Allez Racing.
[03/04] 34ème J: RCS / Paris - 0/0
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foreveralsacien
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argueti
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ngoti12
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Et moi qui pensais que tu avais oubliéAlsacien2 a écrit :On se donne rendez vous pour mon pari gagné ?ngoti12 a écrit :Hop sa marche, une merguez ketchup et une bouteille de carola (bleue c'est ma préférée)
bon en plus j'ai acheté une place lol et j'y serais
Bon de toute façon on avait pas taper dans la main
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Alex Barotchais
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1- ngothy c bon ta trouver comment aller a la meinau???????
2- rdv tous a la fritterie a la mi-temps?????
3-pour merwan il avait prevenu qu'il rentrera que pour le 1er mai, et qu'il n'a aps ses billets, donc j'espere pour lui mais ça a l'air comprimis..
4-pour tout ceux qui ne verront pas a la télé et qui n'ont pas moyens de venir ni d'entendre donner moi votre portable en mp, je vous envoi des textos pour vous tenir au courant si vous voulez, et meme que si vous avez sfr je vous apelle pour vous faire profitez de l'ambiance
2- rdv tous a la fritterie a la mi-temps?????
3-pour merwan il avait prevenu qu'il rentrera que pour le 1er mai, et qu'il n'a aps ses billets, donc j'espere pour lui mais ça a l'air comprimis..
4-pour tout ceux qui ne verront pas a la télé et qui n'ont pas moyens de venir ni d'entendre donner moi votre portable en mp, je vous envoi des textos pour vous tenir au courant si vous voulez, et meme que si vous avez sfr je vous apelle pour vous faire profitez de l'ambiance
anciennement cicouche...
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Frantz
- Entraineur adjoint@Staff
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- Enregistré le : 7 mars 2003 11:31
Tiens, v'là l'Everest
Candidat au maintien en L1, le Racing reçoit demain soir un candidat au titre : le PSG. Et si tout le monde parle de résultat nul, il ne contenterait vraiment personne.
Revenu de Nantes hier matin, Antoine Kombouaré a annoncé une bonne nouvelle, « les Parisiens ont joué deux heures », et une plutôt moins bonne sous forme de confirmation. « C'est très solide, ils auraient dû gagner plus largement. Un 0-0 contre eux serait synonyme de victoire », exagère-t-il à peine. Et une victoire serait vécue comme un exploit, donc.
« Ne pas se
laisser aspirer »
Et c'en serait un. « Je n'aime pas dire ça, mais c'est vrai », poursuit Antoine Kombouaré. Les Parisiens seront, sûrement, fatigués après avoir joué Marseille dimanche, puis à Nantes mercredi. « Avec les victoires, on récupère plus vite », tempère Lorik Cana. « En L1, il nous reste cinq petites finales à disputer pour atteindre notre objectif. On va aller à Strasbourg pour ne pas perdre. On a aussi les atouts pour prendre les trois points. Si nous sommes un peu fatigués, la joie l'efface », ajoute Bernard Mendy, son coéquipier parisien.
Et puis, fatigués ou pas, les Parisiens ont toujours su jouer à l'économie. Ont toujours su gérer leurs efforts, su être patients pour « mieux piquer son adversaire en contre », comme le redoute Antoine Kombouaré. « Ils vont nous attendre, plus que d'habitude même, avec la fatigue. A nous de ne pas nous laisser aspirer pour éviter de leur offrir des situations dangereuses. »
Préserver ses arrières
En clair, il sera urgent de prendre son temps. « Ça pourrait ne pas être spectaculaire », estime Ulrich Le Pen. « Si on le laisse jouer à son rythme, le PSG cherchera à nous endormir. A nous d'aller lui poser des problèmes quand nous aurons le ballon, mais en préservant nos arrières », lui répond Antoine Kombouaré.
Malheureusement, question d'aller chatouiller l'orgueil des Dehu, Pierre-Fanfan, Mendy et Heinze, on n'y croit pas ou plus trop. A moins d'aller brûler un cierge du côté de Lourdes ou à la Cathédrale de Strasbourg (c'est moins loin), et de faire appel à tous les gourous du monde, on a du mal à s'imaginer un Racing flambant neuf devant.
Un Racing capable d'aller porter le danger durablement devant le but d'Alonzo, le mieux préservé du moment, alors qu'il n'a plus marqué sur une action vraiment construite depuis le 7 février dernier. Une éternité...
Coup de folie
Comme depuis quelques semaines, le Racing devra s'en remettre : à sa persévérance, à son abnégation, à sa solidarité pour partager le repas ; A un exploit individuel, à un coup de pied arrêté ou à ... une aide providentielle d'un défenseur adverse pour un petit plus, presque synonyme de maintien. Ou bien à un petit coup de folie, dont il nous a dispensés ces derniers temps.
Ce n'est même plus devant un mur que le Racing se trouve, mais bien aux pieds de l'Everest. « Je signe volontiers et tout de suite pour un 0-0 », termine Antoine Kombouaré.
Ce serait a priori le meilleur résultat possible, à défaut d'être le résultat idéal. Aux Strasbourgeois de nous refaire croire à l'impossible.
Candidat au maintien en L1, le Racing reçoit demain soir un candidat au titre : le PSG. Et si tout le monde parle de résultat nul, il ne contenterait vraiment personne.
Revenu de Nantes hier matin, Antoine Kombouaré a annoncé une bonne nouvelle, « les Parisiens ont joué deux heures », et une plutôt moins bonne sous forme de confirmation. « C'est très solide, ils auraient dû gagner plus largement. Un 0-0 contre eux serait synonyme de victoire », exagère-t-il à peine. Et une victoire serait vécue comme un exploit, donc.
« Ne pas se
laisser aspirer »
Et c'en serait un. « Je n'aime pas dire ça, mais c'est vrai », poursuit Antoine Kombouaré. Les Parisiens seront, sûrement, fatigués après avoir joué Marseille dimanche, puis à Nantes mercredi. « Avec les victoires, on récupère plus vite », tempère Lorik Cana. « En L1, il nous reste cinq petites finales à disputer pour atteindre notre objectif. On va aller à Strasbourg pour ne pas perdre. On a aussi les atouts pour prendre les trois points. Si nous sommes un peu fatigués, la joie l'efface », ajoute Bernard Mendy, son coéquipier parisien.
Et puis, fatigués ou pas, les Parisiens ont toujours su jouer à l'économie. Ont toujours su gérer leurs efforts, su être patients pour « mieux piquer son adversaire en contre », comme le redoute Antoine Kombouaré. « Ils vont nous attendre, plus que d'habitude même, avec la fatigue. A nous de ne pas nous laisser aspirer pour éviter de leur offrir des situations dangereuses. »
Préserver ses arrières
En clair, il sera urgent de prendre son temps. « Ça pourrait ne pas être spectaculaire », estime Ulrich Le Pen. « Si on le laisse jouer à son rythme, le PSG cherchera à nous endormir. A nous d'aller lui poser des problèmes quand nous aurons le ballon, mais en préservant nos arrières », lui répond Antoine Kombouaré.
Malheureusement, question d'aller chatouiller l'orgueil des Dehu, Pierre-Fanfan, Mendy et Heinze, on n'y croit pas ou plus trop. A moins d'aller brûler un cierge du côté de Lourdes ou à la Cathédrale de Strasbourg (c'est moins loin), et de faire appel à tous les gourous du monde, on a du mal à s'imaginer un Racing flambant neuf devant.
Un Racing capable d'aller porter le danger durablement devant le but d'Alonzo, le mieux préservé du moment, alors qu'il n'a plus marqué sur une action vraiment construite depuis le 7 février dernier. Une éternité...
Coup de folie
Comme depuis quelques semaines, le Racing devra s'en remettre : à sa persévérance, à son abnégation, à sa solidarité pour partager le repas ; A un exploit individuel, à un coup de pied arrêté ou à ... une aide providentielle d'un défenseur adverse pour un petit plus, presque synonyme de maintien. Ou bien à un petit coup de folie, dont il nous a dispensés ces derniers temps.
Ce n'est même plus devant un mur que le Racing se trouve, mais bien aux pieds de l'Everest. « Je signe volontiers et tout de suite pour un 0-0 », termine Antoine Kombouaré.
Ce serait a priori le meilleur résultat possible, à défaut d'être le résultat idéal. Aux Strasbourgeois de nous refaire croire à l'impossible.
Si l'Amazonie est le poumon de la terre, Metz en est le trou du cul.
http://rernes.free.fr/
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blouxxx
- Préparateur physique@Staff
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- Enregistré le : 6 juil. 2003 12:31
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Vahid Halilhodzic a convoqué dix-huit joueurs pour le déplacement à Strasbourg, samedi soir. Par rapport au groupe qui s'est qualifié pour la finale de la Coupe de France à Nantes, Pauleta et El Karkouri sont de retour aux dépens de Rocchi et Benachour.
Le groupe parisien
Alonzo, Letizi - Cubilier, Déhu, El Karkouri, Pierre-Fanfan, B.Mendy, Heinze, Sorin - Hugo Leal, Cana, Boskovic, M'Bami - Fiorèse, Pauleta, Reinaldo, Ljuboja, A.Touré
Blessé : Aucun
Suspendu : Aucun
Choix de l'entraîneur : Rocchi, Benachour, Lucau, Badiane, H.Traore, Djadjedje, Benhamou
Le groupe parisien
Alonzo, Letizi - Cubilier, Déhu, El Karkouri, Pierre-Fanfan, B.Mendy, Heinze, Sorin - Hugo Leal, Cana, Boskovic, M'Bami - Fiorèse, Pauleta, Reinaldo, Ljuboja, A.Touré
Blessé : Aucun
Suspendu : Aucun
Choix de l'entraîneur : Rocchi, Benachour, Lucau, Badiane, H.Traore, Djadjedje, Benhamou