[Départ] Pascal Johansen
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Bah moi je vais peut-être vous étonné mais je suis quand même contre son retour. Pourtant c'était celui que je préférais à une époque mas vers la fin, avant qu'il ne parte il me laissait de mauvaises impressions avec, comme dit, un assez sale caractère ...
MAIS
comme l'a dit Manéo, s'il a changé et s'est calmé, je suis VRAIMENT pour son retour. Mais s'il n'a pas changé ... je ne serais sûrement pas un de ses fan ...
L'espoir fait vivre ...
MAIS
comme l'a dit Manéo, s'il a changé et s'est calmé, je suis VRAIMENT pour son retour. Mais s'il n'a pas changé ... je ne serais sûrement pas un de ses fan ...
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"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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- Frantz
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Alors celui-là il faut le laisser croupir en CFA à marseille. 

Si l'Amazonie est le poumon de la terre, Metz en est le trou du cul.
http://rernes.free.fr/
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tout depend du type de retour
pour un pret de un an........ je suis contre...........
il faut au racing des joueurs impliques..........
des joueurs qui a partir d octobre ne pensent plus qu a leur futur.....du genre deroff.....etc.....j en veux pas............merci
pour un pret de un an........ je suis contre...........
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La L1 j y crois encore
- Frantz
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A l'époque il a fait des pieds et des mains pour partir et maintenant il faudrait qu'on le relançe
il se croit ou là .

Si l'Amazonie est le poumon de la terre, Metz en est le trou du cul.
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- argueti
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Johansen, l'oublié de Gà¶teborg
Pascal Johansen : « Je m'entends très bien avec tout le monde ici, sauf avec une seule personne et c'est le coach ».(Photo DNA - Yves Dieffenbacher)
Demain soir, il ne sera pas sur la pelouse de Gà¶teborg pour disputer avec l'OM la finale de la Coupe de l'UEFA. Et, la saison prochaine, Pascal Johansen sera prêté. A Strasbourg, son club de formation, ou ailleurs...
Pour Pascal Johansen, il n'y a pas eu de (bonne) surprise. Le Colmarien n'a pas vu son patronyme sur la liste des 21 noms retenus par José Anigo. La quatrième finale européenne de l'OM se jouera sans lui. « Ah bon, ils sont déjà partis à Gà¶teborg ? Je suis en retard. Faut que je vous laisse, je dois faire ma valise », se force-t-il à sourire.
« Je suis dégoûté »
On ne va pas vous la faire gros sanglots et tutti quanti, il est simplement écoeuré. « Dans une carrière, jouer une finale est extraordinaire. Ne pas en être, ne pas s'asseoir sur le banc de touche même, je le vis très mal. Je suis dégoûté. »
Et ça fait quelques temps que Pascal Johansen a fini de se poser des questions. « Quand il est arrivé, José Anigo m'avait dit qu'il comptait sur moi. Il m'avait fait jouer à Rennes, m'avait dit qu'il m'avait trouvé bon. Résultat, à Liverpool, quelques jours plus tard, j'étais devant ma télévision. Je n'ai pas compris. »
« Anigo fait un blocage sur moi »
Et, demain soir, il prendra la même posture : canapé, télévision. « José Anigo ne peut plus me voir, même en peinture. Il fait un blocage sur moi. C'est comme ça, se contente de dire le milieu de terrain. Tout est parti d'un accrochage verbal que nous avons eu lors d'une séance. Il a crû que je n'adhérais pas à ses volontés, il a pensé que je le prenais pour un con. Ce n'est pas le cas, mais il m'a alors signifié qu'il ne comptait plus du tout sur moi pour cette saison et la suivante. »
Et, à Marseille, quand on est exclu, on passe son temps entre quatre murs avec les autres exclus. « Hormis les lendemains de match, où je m'entraîne avec les joueurs qui ont peu joué la veille, je suis seul ou presque. »
Seul avec Runje
C'est donc avec Vedran Runje, Sébastien Pérez et Camille Borios que Pascal Johansen partage ses matinées ou ses après-midi. « On ne s'entraîne ni avec les pros, ni avec le CFA, voilà tout, reprend il avant de poursuivre avec bonne humeur. Et, en plus, il faudrait que je sois souriant. Donc, je fais mon job. Ni plus, ni moins. Ce lundi, comme Borios est à l'essai à Amiens et Sébastien Pérez aux soins, on va se retrouver à deux. Je pense que je vais travailler les coup-francs avec Vedran. »
Et demain soir donc, Pascal Johansen sera loin de Gà¶teborg, mais bien dans les environs de Marseille où il réside. « Je m'entends très bien avec tout le monde ici, sauf avec une seule personne et c'est le coach. Je n'ai pas de bol », se force-t-il à plaisanter.
« La proposition du Racing m'intéresse »
Bien sûr, il souhaite la victoire de l'OM mercredi « pour tous les potes que j'ai dans l'équipe », mais espère partir de Marseille. « Avec ce que je vis, j'ai du mal à me sentir concerné par leur aventure en Coupe de l'UEFA », poursuit Pascal Johansen. S'il "maudit" José Anigo, il ne jette pas tout aux orties de son aventure marseillaise. « Ici, j'ai quand même franchi un palier, dit celui qui est sous contrat avec le club olympien jusqu'en juin 2006. J'ai été en tête de la L1, j'ai joué la Ligue des Champions. Je ne suis pas le même joueur qu'à mon départ de Strasbourg. Mentalement, je suis blindé. »
Et comme on évoque son avenir, on parle forcément du Racing. « Marc Keller m'a appelé. Ça m'a fait plaisir. Revenir à Strasbourg m'intéresse évidemment. Les gens peuvent penser ce qu'ils veulent, mais, pour moi, ce ne serait pas un aveu d'échec de revenir en Alsace. »
« Je n'ai rien décidé »
Et le futur-ex Marseillais de sourire à son futur. « En fait, si je revenais au Racing, ce ne serait pas un retour en arrière pour moi, mais mon rôle, sans rien réclamer, serait surtout de permettre au Racing de faire un pas en avant. Vous voyez, je ne suis pas aussi déprimé que ça. Mais, sincèrement, il est trop tôt pour dire où je jouerai la saison prochaine. Je ne jouerai pas à Marseille, c'est ma seule certitude. »
Et aujourd'hui, il doit s'en contenter. Et continuer à s'imaginer footballeur professionnel à Marseille avec Vedran Runje...

Pascal Johansen : « Je m'entends très bien avec tout le monde ici, sauf avec une seule personne et c'est le coach ».(Photo DNA - Yves Dieffenbacher)
Demain soir, il ne sera pas sur la pelouse de Gà¶teborg pour disputer avec l'OM la finale de la Coupe de l'UEFA. Et, la saison prochaine, Pascal Johansen sera prêté. A Strasbourg, son club de formation, ou ailleurs...
Pour Pascal Johansen, il n'y a pas eu de (bonne) surprise. Le Colmarien n'a pas vu son patronyme sur la liste des 21 noms retenus par José Anigo. La quatrième finale européenne de l'OM se jouera sans lui. « Ah bon, ils sont déjà partis à Gà¶teborg ? Je suis en retard. Faut que je vous laisse, je dois faire ma valise », se force-t-il à sourire.
« Je suis dégoûté »
On ne va pas vous la faire gros sanglots et tutti quanti, il est simplement écoeuré. « Dans une carrière, jouer une finale est extraordinaire. Ne pas en être, ne pas s'asseoir sur le banc de touche même, je le vis très mal. Je suis dégoûté. »
Et ça fait quelques temps que Pascal Johansen a fini de se poser des questions. « Quand il est arrivé, José Anigo m'avait dit qu'il comptait sur moi. Il m'avait fait jouer à Rennes, m'avait dit qu'il m'avait trouvé bon. Résultat, à Liverpool, quelques jours plus tard, j'étais devant ma télévision. Je n'ai pas compris. »
« Anigo fait un blocage sur moi »
Et, demain soir, il prendra la même posture : canapé, télévision. « José Anigo ne peut plus me voir, même en peinture. Il fait un blocage sur moi. C'est comme ça, se contente de dire le milieu de terrain. Tout est parti d'un accrochage verbal que nous avons eu lors d'une séance. Il a crû que je n'adhérais pas à ses volontés, il a pensé que je le prenais pour un con. Ce n'est pas le cas, mais il m'a alors signifié qu'il ne comptait plus du tout sur moi pour cette saison et la suivante. »
Et, à Marseille, quand on est exclu, on passe son temps entre quatre murs avec les autres exclus. « Hormis les lendemains de match, où je m'entraîne avec les joueurs qui ont peu joué la veille, je suis seul ou presque. »
Seul avec Runje
C'est donc avec Vedran Runje, Sébastien Pérez et Camille Borios que Pascal Johansen partage ses matinées ou ses après-midi. « On ne s'entraîne ni avec les pros, ni avec le CFA, voilà tout, reprend il avant de poursuivre avec bonne humeur. Et, en plus, il faudrait que je sois souriant. Donc, je fais mon job. Ni plus, ni moins. Ce lundi, comme Borios est à l'essai à Amiens et Sébastien Pérez aux soins, on va se retrouver à deux. Je pense que je vais travailler les coup-francs avec Vedran. »
Et demain soir donc, Pascal Johansen sera loin de Gà¶teborg, mais bien dans les environs de Marseille où il réside. « Je m'entends très bien avec tout le monde ici, sauf avec une seule personne et c'est le coach. Je n'ai pas de bol », se force-t-il à plaisanter.
« La proposition du Racing m'intéresse »
Bien sûr, il souhaite la victoire de l'OM mercredi « pour tous les potes que j'ai dans l'équipe », mais espère partir de Marseille. « Avec ce que je vis, j'ai du mal à me sentir concerné par leur aventure en Coupe de l'UEFA », poursuit Pascal Johansen. S'il "maudit" José Anigo, il ne jette pas tout aux orties de son aventure marseillaise. « Ici, j'ai quand même franchi un palier, dit celui qui est sous contrat avec le club olympien jusqu'en juin 2006. J'ai été en tête de la L1, j'ai joué la Ligue des Champions. Je ne suis pas le même joueur qu'à mon départ de Strasbourg. Mentalement, je suis blindé. »
Et comme on évoque son avenir, on parle forcément du Racing. « Marc Keller m'a appelé. Ça m'a fait plaisir. Revenir à Strasbourg m'intéresse évidemment. Les gens peuvent penser ce qu'ils veulent, mais, pour moi, ce ne serait pas un aveu d'échec de revenir en Alsace. »
« Je n'ai rien décidé »
Et le futur-ex Marseillais de sourire à son futur. « En fait, si je revenais au Racing, ce ne serait pas un retour en arrière pour moi, mais mon rôle, sans rien réclamer, serait surtout de permettre au Racing de faire un pas en avant. Vous voyez, je ne suis pas aussi déprimé que ça. Mais, sincèrement, il est trop tôt pour dire où je jouerai la saison prochaine. Je ne jouerai pas à Marseille, c'est ma seule certitude. »
Et aujourd'hui, il doit s'en contenter. Et continuer à s'imaginer footballeur professionnel à Marseille avec Vedran Runje...

L'histoire est en marche ...
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et oui.....y pas que le fric qui compte dans la vie..............
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- aller_racing
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