[Ex] Pascal Johansen

[Maneo]

Lacour n'aurait pas une frère packe bon là  faut remplacer Bassila et Johansen au milieu le temps qu'il réaprennent à  jouer au foot ! Pagalou n'a plus rien de celui qu'on a connu en fait il n'a rien appris à  Marseille. Si ptet en dehors du foot ...

[foreveralsacien]

un début de match sur le banc serait la meilleure solution... mettons Lacour à  la place.

rien a ajouter! Une autre banderole cicouche, vu que la première a marché

[Matt]

ça va revenir cher à  force, de faire des banières...
alors moi je propose d'investir dans un banc vert géant en plastique, et dans des cases à  peu près carrées avec des lettres dessus pour y faire passer les messages... (limités à  disons... 9 lettres) ...le problème sera de le tenir à  bout de bras, mais je pense tenir là  la solution...

[L'homme de la vallée]

Pascal m'a l'air très en méforme au vu de son match.

Vu qu'il n'a pas jouer plusieurs mois à  L'Ohème, je crois qu'il n'est pas dans le rythme et qu'on l'a réintégré trop tôt.
Kombou aurait du mettre Lacour à  sa place. (Mais ca m'étonnerait pas que Marco ait insisté pour le mettre d'entrée)
Maintenant le mal est fait.

Les 15 prochains jours, j'espere, permettront en tout cas au coach de mieux évaluer ses troupes...

[argueti]

Johansen attend le déclic

Son début de saison ressemble à  celui du Racing. Mi-ti-gé. Prêté par Marseille au Racing, Pascal Johansen n'a pas encore l'influence escomptée.

Au sortir de la séance matinale, il n'a pas la moue boudeuse. « On fait aller », commence-t-il par souffler. Attendu comme pas deux au Racing, Pascal Johansen se fait attendre. Et il le sait. « Mon début de saison est à  l'image de celui de l'équipe. Le fait que je suis attendu est normal. Je m'y attendais. Mais, petit à  petit, je me remets dans le bain. »
Et question bain, le club strasbourgeois s'y est englouti avec juste encore les oreilles au dessus de la ligne de flottaison. « Je ne suis pas inquiet, se persuade le Colmarien de Strasbourg et déjà  futur ex-Marseillais. « Même si je n'ai pas perdu mon temps, je ne retournerai pas là -bas. J'ai compris et j'ai donné. Deux ans, ça suffit. Quant au Racing, c'est juste une question de réglage, de placement. »

« Ça n'a rien à  voir »

Pour mieux se faire comprendre, il use de son propre exemple. « Comme je suis arrivé tard à  Strasbourg, les premières journées de L1 ont parfois ressemblé à  des matches amicaux pour moi. Mais il ne faut pas tout remettre en question après seulement quatre journées. Sincèrement, il y a peut-être eu aussi un peu de relâchement mental quand nous entendions partout que nous allions jouer entre la 8e et la 10e place. »
Et quand on ose une comparaison avec la saison galère du Racing, qu'il a vécue il y a quatre ans, il la repousse avec énergie. « Ça n'a rien à  voir. A l'époque, nous avions des problèmes partout : physiques, techniques, tactiques et extra-sportifs. Là , c'est une question de réglages, de réussite. »

« Je vais retrouver mon moteur »

Il avoue avoir beaucoup parlé « avec Christian Bassila pour que nous soyons plus synchros » ces dix derniers jours, consent à  lâcher que son corps « n'était plus habitué à  faire autant d'efforts alors qu'on a envie d'en faire plus après près de huit mois sans compétition », et se sait épié et déjà  décrié.
« Physiquement, je me sens de mieux en mieux. Je me poserai des questions dans deux ou trois matches si mon jeu ne s'améliore pas, explique Pascal Johansen avant de sourire. Ne vous faites pas de souci, je commence à  retrouver mon moteur. »

« Il faut un déclic »

Et pour un mois de septembre annoncé chaud-chaud avec trois déplacements (Monaco, Caen et Paris) pour une seule réception (Lens), le diesel de Pascal « Mobylette » (son surnom à  Marseille) Johansen ne sera pas de trop. « Nous sommes dans la difficulté, encore fragiles et fébriles. Mais cette période peut nous rendre plus forts si nous la surmontons. Il nous faut un déclic, une victoire donc. Après, je pense, sans en être sûr à  100%, que nous serons difficiles à  stopper », anticipe-t-il. « Il faut simplement que nous devenions une vraie équipe. Que nous jouons en bloc. Les dix jours, que nous venons de passer, ont été très positifs. »
Et le match de Monaco, ce samedi, tombe à  pic si l'on boit sans retenue ses paroles. « Ce match ne me fait pas peur. Au contraire, même. »

Le bon moment ?

Ce match, le milieu de terrain du Racing l'attend avec impatience. « Tout le monde nous donne le rôle du perdant et c'est bien, reprend il. En gros, nous n'avons rien à  perdre à  Monaco. Pour la première fois de la saison, nous serons dans cette situation. Là -bas, il faudra se lâcher, ne pas entrer sur le terrain avec la peur au ventre. L'envie fera la différence et il faudra avoir plus envie qu'eux. Il y a des choses à  faire. »
Et, pour avoir connu des situations semblables avec l'OM, avec ce type de match coincé entre ceux de la sélection nationales et ceux de la Ligue des Champions, Pascal Johansen escompte un petit coup de mou princier. « Inconsciemment, ils seront plus prudents. Ils auront la tête ailleurs. »
Aux Strasbourgeois de ne pas la perdre, surtout...

[foreveralsacien]

S'il croit que ca vas etre aussi simple car c'est entre les sélections et la Ldc, il se fout le doigt dans l'oeil... Ils ont un effectif plétorique et en plus, il veulent gagner le championat.... Match dur en perspective.
J'espère que ces bonnes paroles se verront sur le terrain!

[Frantz]

Exact forever, d'autant plus que lui sera égal à  lui meme c'est à  dire mauvais.

[astroboy]

Moi il m'a fais bonne impression le Johansen, si il s'en donnait la peine il serait du niveau d'un dalmat. Faut pas se leurer, techniquement il est fort, il protège la balle comme pas deux, il a une bonne vision de jeu.

Maintenant il doit comprendre que faut tout réunir pour faire un joueur de foot..

[Seb T.]

Tu peux avoir les meilleures qualités du monde, quand tu n'as pas envie de te faire mal sur le terrain, tu n'arrives à  rien...

[astroboy]

A lui de faire ce qu'il faut..