[14/15] 11ème J: Strasbourg / Avranches 1/2

[télésupporteur]

mais j'ai hâte d'être à 23h pour voir télésupp réclamer la tête de l'entraineur

[urotsukidogi]

En plus des poteaux, il y a quand même 2 énormes ratés. On doit en marquer 3 au moins et en encaisser au mieux 1.
L'équipe a les possibilités de réussir dans ce championnat mais mentalement ils n'y sont pas, il n'y a qu'à regarder dans le résumé les dernières action d'Avranches, la défense est totalement en panique.
Nos attaquants ratent trop ce qui est simple et se plantent sur des choses compliquées à cause des arbitres, défenseurs, poteaux ou autre, derrière entre le manque de confiance et Seka qui est le seul à tenir son rang et le seul en état actuellement, on va passer de sales moments. Comment est-il possible que cette équipe n'arrive pas mentalement à tenir un peu la route.

[Its_me]

Le pire dans tout ça, c'est de se dire qu'il ne manque vraiment pas grand chose pour être parmi les meilleurs.
Que ce soit de la réussite, une chance normale avec les poteaux ou encore des décisions arbitrales logiques, une seule de ces choses suffirait pour qu'on soit sur le podium.

[Kaniber]

À force de vouloir leurs trouvés des solutions, le Racing s'enfonce match après-match , en plus le prochain match sera contre le Red-Star...

[Kaniber]

Les maux bleus

Blessures, malchance et fautes d’arbitrages… Le sort semble s’acharner sur le Racing ces dernières semaines. Mais après trois défaites consécutives, les Bleus vont devoir réagir sous peine de voir la zone rouge se rapprocher dangereusement.

On va finir par croire qu’un chat noir a traversé la pelouse de la Meinau. Ou que les onze joueurs strasbourgeois sont tous passés – l’un après l’autre – sous une échelle. Ou encore qu’un marabout malveillant en veut aux Bleus. Car ces dernières semaines, la poisse semble coller aux crampons strasbourgeois comme jamais.

« C’est désespérant de ne pas gagner ce genre de rencontres »
À Chambly déjà, les hommes de “Dugué” n’avaient pas été aidés par un arbitrage peu inspiré (deux rouges, un penalty non sifflé et on en passe...)

Vendredi soir à la Meinau, le sifflet de M. Guillard s’est moins fait intempestif, mais il a quand même retenti au pire des moments : pour annuler un but a priori valable d’Abdallah N’Dour dans les arrêts de jeu.

Un but qui aurait permis au Racing de décrocher un point mérité, celui du match nul.

Richard Deziré, l’entraîneur d’Avranches, le reconnaissait d’ailleurs à l’issue de la rencontre. « Vu la physionomie du match, cela reste une victoire heureuse ». Et, parallèlement, une défaite plus que frustrante côté strasbourgeois.

« J’ai vu les images du but refusé, c’est un scandale, pestait ainsi Jacky Duguépéroux dans les vestiaires. Franchement, c’est désespérant de ne pas gagner de genre de rencontres. C’est un énorme gâchis. On n’a pas de réussite et sur le but refusé, il n’y a pas faute, il n’y a rien du tout. »

Alassane N’Diaye – de loin le meilleur Strasbourgeois sur le terrain vendredi – ne disait pas autre chose. « On est frustré. On court partout, on fait tous les efforts possibles… Mais il y a toujours un pied, une barre et quand on marque enfin une occasion, on nous siffle des fautes », résumait l’ailier.

Pas aidés par l’homme en noir, les Strasbourgeois ne sont – en plus – pas vernis du tout. La transversale a tremblé deux fois vendredi, le gardien normand (Anthony Beuve) a fait le match de sa vie… Suffisant pour ruiner les efforts strasbourgeois.

Surtout qu’en face, l’USM Avranches a fait preuve d’une efficacité redoutable, en inscrivant deux buts sur ses deux seules offensives de la soirée.

« On est passé à travers durant cinq minutes en première mi-temps et ça coûte cher : on leur donne deux buts. Ensuite, on a poussé, mais quand tu n’as pas la chance avec toi, c’est dur », soulignait encore N’Diaye, très marqué par ce revers.

« On a tout donné en deuxième mi-temps, exposait aussi Alexandre Oukidja, titularisé à la surprise générale à la place de Guillaume Gauclin dans les buts. Perdre comme ça, c’est frustrant. »

Reste que le Racing ne peut pas uniquement se cacher derrière la malchance et les erreurs d’arbitrages pour expliquer cette troisième défaite d’affilée en National. Face à Avranches, le RCSA a débuté très (trop ?) timidement et sa première mi-temps n’a pas été bonne du tout, hormis les dix dernières minutes. Et quand ils ont enfin été lancés (en deuxième période), les Bleus ont manqué de précision devant le but.

Or, ce défaut d’efficacité est un mal récurrent, qui plombe les Alsaciens depuis de longues semaines. « On n’a pas été bon sur les centres, on a manqué de justesse dans le dernier geste », reconnaissait d’ailleurs Jacky Duguépéroux.

Et l’accumulation de blessés et autres suspendus (Brian Amofa, Milovan Sikimic, Frédéric Marques et maintenant Mamadou Camara) n’est pas de nature à rassurer sur la suite des événements.

Mais le Racing n’a guère le choix : il va falloir redresser la tête dès vendredi, au Red Star, sous peine de s’enfoncer vraiment dans le marasme.

[Kaniber]

Le diable se cache dans les détails
Guère aidé par l’arbitrage ces derniers temps, le RCSA continue aussi de payer son manque de réalisme. Ses quatre défaites, dont la première à domicile avant-hier contre Avranches (1-2), lors des cinq dernières journées ne l’ont cependant pas trop éloigné de la tête d’un National éminemment serré.
On ne saura sans doute jamais quelle faute a réellement sifflée l’arbitre Christian Guillard pour refuser le but égalisateur d’Abdallah N’Dour (1) à la 95e du match perdu par le Racing vendredi à la Meinau contre Avranches (1-2). Une charge d’Ernest Seka dans le dos de Julien Ricaud sur ce corner de la dernière chance frappé par Dimitri Lienard ? Une obstruction d’un Stéphane Bahoken coupant la course, sans le voir, du gardien avranchinais Anthony Beuve ?
Dans les deux cas, l’irrégularité paraissait au mieux légère, au pire inexistante. À froid après la rencontre, le président Marc Keller a visionné les images avec le directeur de jeu. Et pour le patron du Racing, ces dernières sont sans ambiguïté : « Elles sont chirurgicales.
J’ai montré à l’arbitre qu’il s’était trompé. Aujourd’hui, dans le foot, tout se joue sur des détails, sauf lorsqu’on est littéralement au-dessus comme peut l’être le PSG. L’arbitre a une vraie responsabilité sur des faits de jeu qui influencent le résultat, surtout à un moment aussi capital. En égalisant, nous aurions pris un point important après avoir été menés 2-0, d’autant plus important d’ailleurs qu’en ce moment, nous sommes un peu limites.
Sur les deux derniers matches, deux décisions décisives nous ont été défavorables. Je ne parle pas de l’erreur de l’arbitre qui s’est trompé à Chambly en expulsant Jean-Philippe Sabo au lieu de Milovan Sikimic, mais du penalty évident qu’il a ensuite oublié de siffler pour nous après un tacle en retard du capitaine camblysien Eduardo Rodrigo sur Alassane N’Diaye. Il y avait 100 % penalty. Et ce vendredi, sur l’égalisation refusée à N’Dour, il n’y avait pas faute à 99 %. »
« Désespérant de voir qu’on n’arrive pas à gagner des matches comme ça »
Le 1 % restant était-il suffisant pour que l’arbitre invalide le but ? Sur les ralentis télé, M. Guillard apparaît pile dans l’axe de la sortie de Beuve et de la ‘‘charge’’ de Seka. Sans doute voit-il Bahoken couper la course du portier bas-normand. La ‘‘faute’’ - si tant est qu’on puisse l’appeler ainsi - est infime, mais le scandale n’est peut-être pas si « énorme » que le décrivait Jacky Duguépéroux en point-presse sitôt la rencontre terminée.

« Il est certain que si nous marquions davantage, nous ne serions pas à la merci de décisions litigieuses » , convient d’ailleurs Marc Keller. « C’est désespérant de voir qu’on n’arrive pas à gagner des matches comme ça » , finit par consentir son entraîneur. « Je ne vais pas critiquer mes joueurs sur ce match. Ils ont plus que mouillé le maillot […]. Il va falloir continuer à bosser et à ne pas lâcher. »

Son homologue normand Richard Déziré, content d’avoir arraché trois points précieux, reconnaît volontiers que son équipe a profité de l’inefficacité des Bleus, mais loue aussi ses vertus de combat, à l’origine directe, selon lui, de son succès : « À Avranches, nous n’avons pas les mêmes possibilités, les mêmes moyens (que dans d’autres clubs) , mais ça reste du sport. Le petit a toujours une possibilité de faire un résultat. Ça nous sourit pour le moment. Nous sommes contents d’avoir pris la moitié des points nécessaires pour renouveler notre bail en National. Ça a été Fort Alamo dans les 20 dernières minutes, mais nous avons su faire preuve de beaucoup de générosité et de solidarité. Les joueurs sont récompensés, même si sur la physionomie des débats, ça reste une victoire heureuse. »

Malgré quatre revers lors des cinq dernières journées, dont trois de suite au Poiré-sur-Vie (1-0), à Chambly (2-1) et contre Avranches (1-2), le Racing, qui n’est plus invaincu à la Meinau, n’a néanmoins pas trop lâché de lest au classement d’un National encore très compact.

Mais alors qu’il n’a raflé que trois points sur 15 (quatre revers pour un seul succès), il doit impérativement stopper l’hémorragie ce vendredi (20 h 30) chez l’un des quatre coleaders, le Red Star. Au risque, sinon, de voir s’éloigner le bon wagon.

(1) Et non Mayoro N’Doye comme écrit dans notre édition d’hier sur une faute de frappe.

[Tenor]

et qui demain ????

Le Red-Star , il faut un N° 9 genre Kaniber ou Molitor

derrière ce n'est pas mieux !!! regarde bien les actions déployées sur les 2 buts encaissés....et observe le marquage, tout est dit
c'est une défaite qui aurait même être plus lourde sans les arrêts du gardien ...
rien est vraiment maîtrisé je trouve, trop à l'arrache

[Kaniber]

Je sais c'était deux cadeaux de Strasbourg, le joueur d'Avranches n'avait même pas besoin de forcer ...

[Tenor]

trop jeunes ou inexpérimentés, c'est à se poser pleins de questions et je n'ai pas forcément les réponses, par contre celles du terrain sont implacables

[argueti]

Le pire dans tout ça, c'est de se dire qu'il ne manque vraiment pas grand chose pour être parmi les meilleurs.
Que ce soit de la réussite, une chance normale avec les poteaux ou encore des décisions arbitrales logiques, une seule de ces choses suffirait pour qu'on soit sur le podium.

Tu sens que tout peut basculer d'un match à l'autre ... Le danger est la lassitude à attendre ce changement !