bon, je ne pourrai pas être à la meinau malheureusement....
mais j'ai hâte d'être à 23h pour voir télésupp réclamer la tête de l'entraineur
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Foot-National.com a écrit :Des blessés de retour
Avant la réception d’Avranches vendredi, le Racing a du faire face à de nombreux blessés. Bah, Camara et Donzelot s’entraînent à part puisqu’ils se remettent de blessure. Les deux derniers retrouveront le groupe demain en même temps que Marc Fachan et seront aptes pour vendredi.
Du côté de l’infirmerie, Brian Amofa devrait reprendre en fin de semaine, suite à une infiltration subie à la cheville. Victime d’une blessure aux ligaments du genou, Robin Binder sera lui aussi dans le groupe dès la semaine prochaine. Seul Oliveira reste indisponible pour le moment. Enfin, les Strasbourgeois pourront compter sur les retours de Belahmeur et Liénard. Par ailleurs, Sikimic et Marques sont suspendus.


DNA a écrit :« Ne pas tout remettre en cause »
Ses joueurs ont dû comprendre. Pour la séance d’hier, Jacky Duguépéroux a imposé des exercices en rafale devant le but. L’entraîneur avait sans doute le manque d’efficacité de sa troupe en tête. Il reste persuadé que la solution pour son Racing se situe dans les têtes.
– Vous sortez d’une qualification en Coupe de France poussive à Reipertswiller après une défaite en championnat. Considérez-vous que le Racing est dans une mauvaise passe ?
– Je suis surtout qualifié en Coupe donc je vais bien et l’équipe aussi. Il n’y a que ceux qui n’ont jamais joué pour croire que cela n’allait pas être compliqué face à une DH. Reipertswiller a mis de l’agressivité. Au moins, on n’a pas répondu sur ce terrain-là et on a évité les cartons. Maintenant, depuis hier, je suis dans le match de vendredi face à Avranches.
– Toutefois vos difficultés à marquer subsistent. Est-ce votre principale source d’inquiétude en ce moment ?
– Galtier a des problèmes pour marquer avec St-Étienne, Girard en a avec Lille. Il faut croire que le problème n’est pas seulement strasbourgeois. On essaye de faire ce qu’il faut pour le corriger, on essaye de redonner confiance aux joueurs. Ce n’est pas en disant qu’ils sont mauvais devant le but qu’on arrivera à quelque chose. À mon sens, c’est un problème d’ordre mental, parce qu’ils ne sont pas maladroits et on l’a vu ce matin (ndlr: hier). Après, je n’oublie pas non plus qu’on prend des buts à l’extérieur et que les soucis ne sont pas uniquement offensifs. Il n’y a pas de problème relationnel aux différents postes, dans les différentes lignes.
– Privilégiez-vous néanmoins des discussions avec vos attaquants ?
– Ce n’est pas en leur rabâchant les choses qu’on va y arriver non plus. Là, on doit se passer de Marques pour quatre matches (ndlr : l’attaquant a vu rouge à Chambly) et j’ai une réflexion pour trouver des solutions. L’important, à mes yeux, c’est surtout de bonifier les occasions qu’on se crée. On ne va pas tout remettre en question. On méritait les trois points à Chambly, ajoutés au point perdu au Poiré et aux deux abandonnés face à Boulogne, cela pourrait faire six points de plus. Les faits de match ne nous sont pas favorables et on dit que ça s’équilibre sur une saison. Je l’espère vraiment, parce pour l’instant, il y a un sacré déficit.
– Il n’y aurait pas de doute au sein de l’équipe…
– Il n’y a pas de doute à avoir. On a joué six matches à l’extérieur et le match qui vient, face à Avranches, qui est deux points devant nous, apparaît aussi important que celui de Chambly qu’on a laissé filer. On doit faire le nécessaire pour montrer qu’on vaut beaucoup mieux que ce que l’on a montré en déplacement. À chaque fois que l’on a été à la faute, que l’on a commis des erreurs, on a été puni. Et dans l’autre sens, on ne réussit pas pour l’instant à punir l’adversaire quand il fait une erreur. Ce qui me tient à cœur, c’est que l’on sache tenir un résultat et ne pas perdre le ballon qui fait mal.

L'Alsace.fr a écrit :Duguépéroux attend autre chose
S’il assure ne pas douter, le coach du Racing Jacky Duguépéroux espère que son équipe poursuivra sa bonne série demain (20 h) à la Meinau contre Avranches pour faire oublier ses trois échecs lors des quatre dernières journées de National et sa pénible qualification à Reipertswiller en Coupe (2-1 a-p).
Jacky Duguépéroux a parfois des mots cinglants à chaud. Puis, une fois retombée l’effervescence liée à une défaite ou, comme samedi à Reipertswiller, à un difficile succès, il s’évertue à faire redescendre la pression. Sitôt la qualification des siens dans la douleur chez le pensionnaire de DH (2-1 a-p), l’entraîneur du Racing s’était ainsi, pour la première fois publiquement, interrogé sur le rendement de son équipe. « Soit les joueurs n’ont pas le niveau, soit ils ont besoin de travailler encore plus » , avait-il lâché au stade de la Forêt, alors que certains écarts de conduite l’avaient déjà irrité à Chambly une semaine plus tôt.
Mais à la veille de la réception d’Avranches pour la 11e journée de National (demain 20 h à la Meinau), le coach du RCSA assure avoir tourné la page. S’il concède attendre autre chose de ses troupes, il maintient qu’il n’y a pas le feu.
Jacky, samedi à Reipertswiller, vous vous êtes pour la toute première fois interrogé sur le niveau de votre équipe…
La Coupe, c’est la Coupe. Ce sont toujours des matches difficiles. Il me semble normal qu’un entraîneur se pose des questions et essaie de chercher des solutions. Mais il n’y a pas le feu non plus. L’an passé, une autre équipe de National s’est fait éliminer par une DH sur un score très important (Ndlr : Colmar à Geispolsheim - 3-1). Nous, nous sommes passés. Après un tel match, dans un contexte chaud, on n’est pas toujours lucide. À froid, c’est différent. Depuis, j’ai fait le vide et tourné la page de cette Coupe de France pour me consacrer au match de vendredi face à Avranches (1).
Est-ce vous qui, pour remédier à la stérilité de votre équipe à Reipertswiller, avez demandé à Ernest Seka de délaisser son poste de défenseur central pour se muer en avant-centre ?
Oui, pour les mêmes raisons qu’au Paris FC en championnat (2). Ce n’est pas une nouveauté. Il me semblait le plus apte à apporter un coup de « boost ». Mais ce n’est pas pour autant qu’il faut dénigrer les attaquants. Il n’y a aucun problème relationnel entre les joueurs des différents postes. À Saint-Etienne, Christophe Galtier regrette de ne plus marquer. À Lille, René Girard se plaint de l’inefficacité de son équipe. Ce mal n’est pas seulement strasbourgeois.
« Il va falloir briser cette spirale »
En avez-vous parlé avec vos joueurs du secteur offensif ?
Pas spécialement. Ce n’est pas en leur disant qu’ils sont mauvais devant le but - à supposer que cela soit le cas - que ça va arranger les choses. Ils doivent surtout franchir un palier mental, car quand ils montrent de l’application et de la détermination, ils prouvent qu’ils ne sont pas maladroits. Il va falloir briser cette spirale.
Le plus frappant à Reipertswiller, c’est que quatre joueurs défensifs ont été à l’origine de vos deux buts (Seka et Fachan passeurs décisifs, Sabo et N’Dour buteurs)…
Oui, mais une équipe, c’est un tout. On peut aussi se demander pourquoi on prend des buts à l’extérieur et pas à la maison. Encore une fois, ce n’est pas en rabâchant qu’on ne marque pas beaucoup qu’on va avancer. Le constat est fait. Mais un constat, c’est toujours facile à faire.
Ce constat peut-il vous amener à envisager un renfort offensif cet hiver?
Pour l’instant, on est encore en automne (rires). La réflexion n’est pas du tout là. Elle est à bonifier et, surtout, à concrétiser nos occasions. Il n’y a pas lieu de tout remettre en question. Tirer à boulets rouges sur les seuls attaquants, ce serait trop facile. Et je répète à tout le monde que nous sommes en National (Ndlr : sous-entendu, l’exigence ne peut pas être la même qu’en Ligue 1).
« Ce n’est pas en nous lamentant que nous allons y arriver »
En championnat justement, vous restez sur trois défaites - en déplacement - lors des quatre dernières journées…
(il coupe) Oui, mais nous avons joué six fois sur dix à l’extérieur. Nous souhaitons poursuivre notre bon parcours à la Meinau (Ndlr : 3 victoires, 1 nul, 10 points sur 12). Il n’y a pas de doute à avoir. Moi, je ne doute pas.
Pour votre tranquillité d’esprit, avez-vous un besoin impérieux de faire un bon résultat demain ?
Bien sûr. Nous sommes à quatre points du premier, mais aussi cinq du premier relégable. Nous savons donc ce qu’il faut faire vendredi pour nous tranquilliser, nous rassurer. Depuis le début de saison, à chaque fois que nous sommes à la faute, nous nous faisons punir. À l’inverse, nous n’arrivons pas à punir les autres quand nous en avons l’occasion. Ce n’est pas en nous lamentant que nous allons y arriver, mais en nous remettant en question.
(1) L’entretien a été réalisé avant le tirage au sort du 7e tour hier midi.
(2) Le capitaine strasbourgeois avait terminé la rencontre en pointe et égalisé à la 92e.





Le pauvre il se demande c'qu'il fou dans cette galère ...Duguépéroux attend autre chose