FM75 a écrit :sur Europe 1, entendu à l instant : Janin sera débarqué lundi et Camadini est pressenti....Quel club !!!!!!
T'as certainement mal compris sous la douche FM...
Ils voulaient dire Maldini.
Quel Tête de Noeuds cette Ginette
Les inscriptions au forum sont rouvertes

FM75 a écrit :sur Europe 1, entendu à l instant : Janin sera débarqué lundi et Camadini est pressenti....Quel club !!!!!!








L'Alsace a écrit :Janin se creuse les méninges
Entraîneur sur le gril d'un RCS « bon » dernier de Ligue 2, le coach cherche des solutions à un problème qu'il estime d'abord collectif. Il se heurte à une foule de questions sans réponse.
Pascal Janin est rentré désappointé de Clermont vendredi (défaite 3-0). Lui qui croyait avoir « décelé à Nantes un petit pas en avant » en a effectué trois en arrière au stade Gabriel-Montpied. Et, avec lui, son équipe, fantomatique comme aux pires moments de la débâcle à Istres le 1er août en Coupe de la Ligue (1-6).
Homme calme et pondéré, l'ancien adjoint de Gilbert Gress, nommé le 12 août, est désormais tourmenté. Mais pas par son cas personnel, qu'il juge toujours « secondaire comparé aux soucis de l'équipe. » Il reste en quête d'une avancée qui permettrait au RCS d'entrevoir le bout du tunnel.
Pascal, avez-vous digéré la cuisante défaite à Clermont ?
Quand on est entraîneur et qu'on recherche la victoire, ce n'est jamais évident. En une mi-temps - la deuxième, même si la première n'avait pas été parfaite -, tout ce qui avait été fait pendant la trêve internationale et dont il m'avait semblé percevoir les résultats à Nantes a été jeté à terre. Forcément, je me pose des questions.
Vous n'êtes pas le seul. Le président Philippe Ginestet a déclaré qu'il fallait que le discours change pour forcer le verrou psychologique qui entraverait les joueurs…
Le président est comme moi. Il cherche des solutions. Dans le football, quand les résultats ne sont pas là , l'entraîneur est fatalement montré du doigt. C'est la loi du genre. Pour l'instant, je dresse le même constat que tout le monde. Le jeu produit n'est pas suffisant et notre dernière place n'est pas illogique.
« Bien jouer ? Pour l'instant, il faut oublier »
Pensez-vous que votre discours, lucide et plein de recul, et votre souplesse avec les joueurs soient perçus comme une faiblesse ?
Le président ne m'en a rien dit. De toute façon, il n'y a pas de vérité. Je connais des entraîneurs proches de leurs joueurs, comme Antoine Kombouaré ou Laurent Blanc, qui obtiennent des résultats. Que je sache, mon prédécesseur, Gilbert Gress, a été taxé d'être trop dur dans ses méthodes et évincé pour ça. Comme toujours, les résultats légitiment une méthode. Ce que je sais, c'est que je n'ai rien d'un adjudant chef. Je ne l'ai jamais été et ne le serai jamais. J'aime convaincre les joueurs du bien-fondé de ma démarche plutôt que de la leur imposer. Je suis capable de radicaliser mon discours, mais pas pour faire avancer les gars à grands coups de botte dans les fesses. Ce genre d'expédients n'est jamais efficace sur la durée.
Vous sentez-vous en danger ?
Je me sens comme un entraîneur qui n'a pas de résultats. Mais je prépare normalement la réception de Caen lundi à la Meinau. Les retours d'Emil Gargorov, que nous n'avons pas beaucoup pu utiliser à cause de ses blessures successives et dont la rentrée à Clermont a permis de davantage tenir le ballon, Nicolas Fauvergue et Stéphane Pichot vont nous offrir d'autres possibilités. En ce moment, certains joueurs, qui ont prouvé leur savoir-faire, ne sont pas au niveau. Mais je ne veux pas croire que nous avons récupéré à Strasbourg les plus mauvais de L 2. Peut-être pas les meilleurs non plus. Mais l'équipe peut faire beaucoup mieux. Le souci est avant tout collectif. Je cherche les remèdes pour ôter le doute dans la tête des joueurs. J'aime faire jouer mes équipes, pour qu'elles développent un football alléchant. Aujourd'hui, il faut oublier ça, en revenir à un jeu plus basique, à des bases solides pour se sortir de cette spirale. J'ai toujours considéré qu'une méthode qui ne fonctionne pas devait être abandonnée. Je vais donc changer mon fusil d'épaule, car je n'ai pas tiré toutes mes cartouches. J'ai des idées précises sur la manière de contrecarrer les desseins des Caennais. Mais je ne les dévoilerai pas. Je n'ai pas envie qu'ils en soient informés.
Recueilli par Stéphane Godin

Donc en gros il reste et la semaine prochaine, suite a une nouvelle défaite du Racing, il sera remplacéLAlsace a écrit :Malgré l'humiliation subie vendredi à Clermont par le Racing, lanterne rouge de la Ligue 2, le conseil d'administration du club strasbourgeois a confirmé ce mardi matin Pascal Janin dans ses fonction d'entraîneur.
Toutefois, selon le président délégué du Racing Jean-Luc Hertzog, le match contre Caen, lundi prochain à la Meinau, sera déterminant pour l'avenir de l'entraîneur. Dans cette optique, Pascal Janin et ses joueurs vont se mettre au vert cette semaine durant deux ou trois jours, dans un lieu de la région qui reste à déterminer.