[12/13] 11ème J: Mulhouse / Strasbourg - 1/1

[Kaniber]

d'après France Bleu et l'Alsace ça a commencer dans le coin des supporters du Racing ?

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Pour ce qui est du match, le terrain a vraiment empêché de voir du beau jeu; que ce soit du côté du Racing mais aussi du côté de Mulhouse.
Du coup, quand une passe n'était pas dans les pieds, la balle allait quasi systématiquement à l'adversaire ... ou en touche.

Le jeu du Racing était fidèle à ce qu'on a vu ces derniers temps; c'est à dire avec un "trou" entre le milieu défensif et l'attaque. Du coup, le nombre d'occasions n'est pas franchement élevé. Le système de jeu doit absolument être revu.
A noter que le Racing a eu deux occases qui auraient dû faire mouche; une frappe de Pinaud à même pas 5m du but, puis une autre de Perrin. Ces deux frappes sont parties dans les nuages.
Choses assez rare aussi, on a eu un coup-franc indirect dans la surface mulhousienne; bien évidemment, on l'a foiré en voulant transpercer le mur alors qu'à l'entrée de la surface il y avait deux ou trois Strasbourgeois absolument seuls.

Au final, le match nul ne me semble pas illogique aux vues des occases mais j'en ai marre qu'on se prenne des buts sortis de nulle part. :evil

[Karim67100]

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Pascal Johansen : « Le résultat n’est pas dramatique »

Pascal Johansen, meneur de jeu du FCM : « Bien sûr que je suis déçu. On se prend forcément au jeu quand on mène, qu’il ne reste plus beaucoup de temps. On a juste envie d’une chose, c’est que l’arbitre siffle la fin du match sur une belle petite victoire 1-0 qui nous aurait largement suffi. Mais j’ai connu notre équipe plus créative que ça. J’ai eu parfois le sentiment qu’on avait beaucoup le ballon mais pas beaucoup d’occasions. Après, le résultat n’est pas dramatique. Déjà, on n’a pas perdu. C’est le plus important dans un derby. On a quand même vécu une bonne soirée. »

Milovan Sikimic, défenseur du Racing : « Honnêtement, on était venus pour gagner. Mais étant donné le scénario du match et l’état du terrain, je pense qu’on peut être satisfait. Il y avait une super ambiance, c’était génial de participer à un événement comme ça. J’ai vibré, vraiment. La dernière fois que j’ai vécu un match interrompu à cause des gaz lacrymogènes, c’était en Serbie… Mais ce soir, je ne crois pas que c’était bien méchant. Je suis fier de mon équipe, de mes supporters qui sont restés quatre heures sous la pluie. »

Belony Dumas, défenseur du FCM : « Il y avait de la tension sur le terrain, ça a été dur de se lâcher. La fin de match est décevante pour nous, forcément. On sait que le leader Lyon-la-Duchère a perdu, et on laisse des points filer alors qu’on jouait à domicile. C’est frustrant. Mais maintenant, on a vraiment en tête de jouer le haut du tableau, parce que ce soir, je pense que tout le monde a vu qu’on a une équipe qui a quelque chose à jouer dans ce championnat. »

Ludovic Golliard, défenseur du Racing : « On s’en sort bien, mais je pense quand même que le score est logique. On encaisse le but au moment du match où on est le mieux. On a fait ce qu’on pouvait malgré l’état du terrain. On a serré les dents quand il le fallait mais le résultat nul est mérité selon moi. »

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Un changement tactique qui a fait débat

A la suite du remplacement de Liénard par Kalkoul à la 83 e minute, des discussions animées ont eu lieu entre plusieurs joueurs mulhousiens et leur entraîneur Laurent Croci. Juste pour une question de placement ?

83 e minute de jeu. Le FC Mulhouse mène toujours 1-0 suite au coup franc magistral expédié par Belony Dumas dans la lucarne de Ziman Duki. Laurent Croci choisit alors de procéder à son second changement : il sort Dimitri Liénard, une nouvelle fois excellent, au profit d’Edris Kalkoul, milieu de terrain défensif de formation. Il demande au nouvel entrant de rester sur le côté gauche de l’attaque mulhousienne. Aussitôt, et durant plusieurs minutes, des échanges animés ont lieu entre Pascal Johansen, Martin Douillard, Loïc Fortuna et leur entraîneur. « Je ne voulais pas changer le positionnement des uns et des autres alors que tout fonctionnait, explique Laurent Croci. Du coup, j’ai demandé à Kalkoul de rester à gauche. J’ai eu des discussions avec Pascal et Martin qui ne comprenaient pas. Mais le rôle d’un entraîneur est aussi de surprendre ses joueurs ».

Surpris, ses joueurs l’ont été assurément, même si aucun d’entre eux ne voulait entrer dans les détails de cette discussion. « Il y avait beaucoup de bruit et on avait vraiment du mal à nous comprendre, souligne ainsi Pascal Johansen. Il y a d’abord eu un changement où je devais passer à gauche, puis un autre où je restais au centre. Finalement, on a échangé sans vraiment savoir ». Au vu de sa mine déçue et renfrognée au coup de sifflet final, pas sûr qu’il n’y a pas eu un désaccord lors des dernières minutes sur la conduite à tenir.

Loïc Fortuna bottait également en touche. « Non, on s’est juste posé les questions sur les replacements. C’est tout ». Les autres acteurs n’ont rien vu, rien entendu. Mais ces quelques minutes de flottement ont interpellé la plupart des spectateurs, puisque c’était un des sujets débattus. Le choix de placer Kalkoul, un joueur axial, sur la gauche, n’a sans doute rien changé au résultat final. Mais il a entraîné une petite incompréhension au sein du FCM.

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Le FCM repris de justesse

Grâce à un but venu d’ailleurs signé de son défenseur Dumas, le FC Mulhouse, dominateur d’un bout à l’autre des débats, pensait tenir la victoire lors du derby qui l’opposait hier soir au Racing. Mais une tête du Strasbourgeois Sikimic à deux minutes de la fin est venue refroidir un stade de l’Ill qui, malgré tout, a vécu une bien belle soirée (1-1).

Un public qui vibre, se lève et exulte, des clameurs qui s’élèvent enfin dans le ciel, des kops qui se narguent et se défient, des pétards qui claquent et des fumigènes qui s’invitent sur la piste, le stade de l’Ill est redevenu un stade de football, hier soir, à la faveur du rendez-vous qui opposait le FC Mulhouse à son grand rival strasbourgeois lors de la 11 e journée du CFA. Le temps d’un derby, il est même redevenu un vrai petit chaudron, comme il le fut durant un temps que les moins de vingt ans ne peuvent malheureusement pas connaître.

Pour ceux qui supportent encore le FCM et fréquentent de temps à autre cette enceinte, où l’on peut généralement s’étaler sur trois places tout en écoutant les consignes des deux entraîneurs depuis leur banc de touche, la soirée d’hier a donc forcément pris la forme d’une victoire. Ou plutôt d’une première victoire. Car la seconde, elle, devait être pour un peu plus tard dans la soirée, à l’heure du coup de sifflet final.

Autant l’écrire d’emblée, celle-ci n’est jamais arrivée, au grand dam des joueurs mulhousiens et de leurs nombreux supporters d’un jour. La faute à un homme : Milovan Sikimic.

On joue la 88 e minute lorsque le Racing, mené tout autant que malmené jusque-là, tire l’une de ses dernières cartouches sur un corner. Noro l’exécute et place son ballon dans le « paquet ». Monté aux avant-postes, le défenseur serbe s’élève plus haut que tout le monde et catapulte de son large front dégarni le ballon au fond des filets. Les 700 supporters du RCS, postés derrière le but, chavirent de bonheur.

Croci - Keller : les avis diffèrent

Les joueurs du FCM, qui pensaient alors tenir leur 5 e succès de rang à domicile grâce à une ouverture du score exceptionnelle de leur défenseur central Belony Dumas, auteur d’un véritable missile sur un coup franc sifflé à plus de 30 mètres des buts de Duki (1-0,58 e), sont, eux, K-O debout. Dégoûtés. Déjà rongés par les regrets. « Le coach nous avait répété toute la semaine que le Racing était dangereux sur coups de pied arrêtés et surtout en toute fin de match. Eh ben voilà, ils ont remis le couvert face à nous, glissait le Mulhousien Loïc Fortuna en s’extirpant d’un vestiaire aussi silencieux que lors des soirs de défaite. Franchement, certains vont dire que 1-1, c’est bien, que tout le monde est content, mais nous, on a les nerfs. »

Pour être honnête, Fortuna et les siens avaient de bonnes raisons de l’être. Face à une formation du Racing poussive et peu inspirée, à l’image d’une première période où elle n’a eu de cesse de bazarder de longs ballons vers l’avant, les joueurs de Laurent Croci ont eu la maîtrise du ballon de bout en bout. Plus joueurs et plus adroits techniquement sur une pelouse détrempée, ils se sont procuré aussi les meilleures occasions, si l’on excepte celle du Strasbourgeois Pinaud, qui manquait le cadre à trois mètres dès la reprise (48 e). Mais ni Balogou (7 e), ni Liénard (62 e) ni Dumas (81 e) ne concrétisait l’emprise mulhousienne. « Dommage, le scénario du match nous laissera des regrets. Mes joueurs méritaient mieux, Je suis très fier d’eux », soufflait Laurent Croci, dont les propos différaient très nettement de ceux prononcés par son homologue strasbourgeois François Keller. Lequel trouvait le match nul « logique » au vu de la rencontre. « Je ne trouve pas qu’on s’en sorte bien, expliquait-il. Ça aurait été très sévère qu’on n’égalise pas. On a défendu exactement comme on le souhaitait, mais je suis déçu qu’on n’ait pas su mieux profiter de nos trois ou quatre ballons de contre. Les derbys, il faudrait presque qu’ils se finissent toujours par un nul, ça éviterait que ça dégénère. »

Pas sûr qu’aujourd’hui, depuis leur avion (Ndlr : ils ont pris ce matin à l’aube la direction de la Nouvelle-Calédonie pour disputer le 7 e tour de la Coupe de France), les Mulhousiens partagent cet avis.

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Du côté du FC Mulhouse

Dimitri Lienard
« C’est un peu frustrant. En sortant, j’avais comme une appréhension. J’ai dit aux autres de faire attention aux coups de pieds arrêtés, notamment aux corners.
On prend un but là-dessus, mais on peut garder la tête haute car on avait la mainmise sur le ballon. Les supporters peuvent être fiers de nous. »

Belony Dumas
« Marquer, c’est un sentiment particulier. Quand la balle est rentrée, je n’ai pas vu tout de suite que j’avais marqué. Malheureusement, on est contrait au nul. C’est assez frustrant. Le déplacement en Nouvelle-Calédonie (pour le 7 etour de la Coupe de France) va faire du bien. »

Pascal Johansen
« On n’a pas l’habitude de jouer contre autant de monde. En gagnant, on faisait une très bonne opération.
Dans ce genre de match, de derby, cela se joue souvent sur coup de pied arrêté. Maintenant, on va en Nouvelle-Calédonie avec l’intention de passer. Et pourquoi pas retrouver le Racing par la suite ? »

Jérémy Abadie
« C’est un sentiment mitigé. On a mis davantage de percussion que le Racing. Au niveau du terrain, il n’était pas impraticable, du moins dans mon secteur.
Maintenant, je ne sais pas si je vais dormir beaucoup cette nuit (le FCM prend l’avion ce matin pour la Nouvelle Calédonie). »

Du côté du Racing

Anthony Sichi

« Sur un bon terrain, cela n’aurait pas été le même match. Parfois, c’était limite. Mais je suis content qu’on ait eu une réaction d’orgueil et le nul est logique. Mulhouse reste un point devant nous, mais on reprend deux points à Lyon Duchère. Comptablement, c’est bien. »

Thomas Zerbini
« J’ai le sentiment que c’était vraiment un derby, c’était engagé. On est content de ce résultat nul mais si le match avait duré dix minutes de plus, je suis sûr qu’on aurait gagné. Maintenant, il faut arriver à faire le plein à domicile. »

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Kecha, la pile électrique

Sur pareil terrain, les buts ne pouvaient venir que sur coup de pied arrêté, pourtant le Mulhousien Samir Kecha fut le plus actif pour créer du jeu et déborder.

Lui, c’est le gosse du FCM, formé à tous ses étages. Et là, cette saison, tout comme hier, Samir Kecha fut le plus actif sur la pelouse.

Elle est détrempée, grasse à force d’être labourée à coups de crampons et l’arrière du coin droit y multiplie les allers retours.

« J’ai fini dans le dur », glisse-t-il, à peine sorti de son contrôle antidopage. Technique, à l’aise balle au pied, bas du centre de gravité –il n’est pas bien grand –, il est à l’aise, surtout dans un couloir (le gauche, donc) qui n’est pas le point fort strasbourgeois.

Les courants d’air, c’est là qu’ils sont et le jeune homme y enrhume le Racing. Vif, adepte du contre, il est le plus dangereux, celui qui réussit les centres le plus malins, même s’il ne trouve pas l’habituel Balogou.

« En face, ils ont bien fait leur travail », rigole le défenseur. Quand l’un décroche (l’attaquant), lui l’envoie en profondeur et, forcément, la coordination ne se fait pas.

Les centres sont souvent aveugles, les passes souvent en rupture et la défense bas-rhinoise ne lâche pas sa garde.

À monter ainsi, le Mulhousien prend le risque d’être pris dans le dos, mais il est adepte de la course à pied et il revient toujours dans le coup, quitte à glisser un tampon.

Les chocs avec David Ledy, le seul qu’il connaît en face, puisqu’ancien de la maison, sont assez nombreux. Il est partout, et il s’y montre efficace.

C’est souvent lui qui accélère le jeu, alors que l’axe est encombré, mais la débauche d’énergie n’est pas souvent récompensée.

Le terrain y est pour beaucoup, qui ne permet pas d’y aller franco dans le redoublement de passes. Sa seconde période est plus prudente, moins virevoltante. « Côté (Frédéric) Johansen (la tribune), le terrain était impraticable. C’était détrempé, on n’avançait pas. »

Vaincu par la douleur

Le jeu passe moins par chez lui, on ne le voit plus monter (surtout à 1-0), il se souvient qu’il est d’abord défenseur. Y allant de la tête pour dégager son camp, lui le moins grand de la bande – il se fait un ascenseur avec une épaule adverse. À boiter si bas (jambes…), il sort à un quart d’heure de la fin.

« J’avais trop mal aux quadriceps et aux adducteurs. Le terrain ne nous a pas fait de cadeau, enfin nous non plus (rires). Lui a trois semaines pour s’en remettre… »

Le joueur, lui, est en Nouvelle-Calédonie en Coupe de France.

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Un derby aquatique

Le FC Mulhouse et le Racing se sont quittés sur un nul (1-1), hier soir, au Stade de l’Ill. Un résultat somme toute logique au vu du scénario de cette rencontre.

Il ne faisait pas vraiment un temps à mettre un footballeur dehors, hier, à Mulhouse, sur le coup des 18h. Mais ce derby tant attendu entre le FC Mulhouse et le Racing s’est quand même tenu. Et il a tenu (justement) ses promesses, tant sur le terrain qu’en tribunes.

Sur une pelouse détrempée, ce sont les Mulhousiens qui débutent plus fort. Alors que quelques échauffourées sont encore en cours derrière la tribune Frédéric-Johansen, ce sont les coéquipiers de Pascal Johansen qui prennent les choses en main.

Passées les dix premières minutes, les débats s’enlisent

Kecha lance les hostilités d’un centre-tir fuyant (4 e), avant de remettre le couvert cette fois pour Balogou, trop court (7 e).

En face, des Strasbourgeois sur la défensive procèdent en contre. Comme celui où Djidonou est mis à contribution, sur un tir cadré de Perrin (8 e).

Mais passées ces dix premières minutes, les débats s’enlisent. Ou plutôt, s’envasent sur un terrain « quasiment impraticable côté gauche » (dixit Anthony Sichi et Samir Kecha).

Les coups de pied arrêtés offrent quelques opportunités, comme celui tiré par Lienard (22 e) ou Noro, côté Racing (31 e). Ou encore sur ce coup franc direct dans la surface, en faveur des hommes de Keller, obtenu après une faute de main de Dijdonou (40 e). La pause est sifflée sur un 0-0 très humide.

La suite sera tout autant aquatique, mais le Racing semble mieux en place en début de seconde période. Pinaud rate même l’immanquable à la 49 e, après une tête de Perrin, alors qu’il est seul à trois mètres du but. Mais le match va basculer à la 58 e, après une faute de Sichi sur Johansen, aux 35 mètres.

Dumas, le défenseur central mulhousien, s’y colle et assène une frappe de mule qui troue la lucarne de Duki (1-0). De quoi faire chavirer de bonheur les supporteurs locaux… et réveiller le parcage visiteur.

Il était écrit qu’hier soir, l’affaire allait se régler sur coups de pied arrêtés

Les policiers anti-émeutes en sont quittes pour intervenir et séparer la Brigade Ultra 88 et des Ultras Boys 90, tous bien excités. Quelques minutes plus tard, le match est même arrêté par l’arbitre, le nuage de lacrymogène étant arrivé au-dessus du terrain.

Après sept minutes de flottement sur la pelouse et d’invectives en tribunes, la rencontre peut reprendre. Le Racing tente alors timidement de revenir au score, mais le FCM est tout proche du break sur des coups francs de Lienard, puis de Dumas (décidément inspiré) sur lequel Duki sauve les siens.

Malgré cela, les quinze dernières minutes sont Strasbourgeoises. Donzelot apporte le surnombre et offre deux centres mal exploités (75 e, 78 e).

Mais il était écrit qu’hier soir, l’affaire allait se régler sur coups de pied arrêtés. À la 88 e, Noro tire un corner. Sikimic s’impose dans les airs et trompe Djidonou à bout portant (1-1).

Un partage des points « logique » pour François Keller, qui regrettait surtout « d’avoir encaissé un but au moment où le Racing était mieux ». Laurent Croci, de son côté, s’est dit « fier » de ses joueurs, mais « déçu par le scénario ».

En attendant, les deux équipes n’ont pas fait une mauvaise affaire, comptablement parlant, puisque Lyon Duchère s’est incliné face à Villefranche (0-1). La course-poursuite continue…

La police a procédé à douze interpellations sur le parking de la patinoire voisine avant la rencontre et à la sortie du stade sur le chemin du retour vers la gare de Mulhouse Dornach. Motifs : outrages, caillassages et ivresse publique manifeste.