[12/13] 11ème J: Mulhouse / Strasbourg - 1/1

[argueti]

Le FC Mulhouse s'est imposé cet après-midi à Chasselay sur le score de 4-2, remportant ainsi sa première victoire de la saison à l'extérieur, là même où le Racing Strasbourg s'était incliné. Ce succès permet d'ailleurs au FCM de passer devant le Racing au classement, juste avant le derby samedi prochain au stade de l'Ill.

Les Mulhousiens ont pourtant souffert cet après-midi dans le Rhöne sur une pelouse rendue difficile par la pluie. Chasselay ouvrait le score à la 15e par Prieto. A la 38e, un coup franc de Johansen était relâché par le gardien dans les pieds de Balogou qui égalisait. A la 63e, Ancian redonnait l'avantage à Chasselay. Johansen égalisait à la 77e sur un coup franc, avant de donner l'avantage aux siens sur penalty. Enfin, dans les arrêts de jeu, Balogou offrait le 4-2 à Loval.

Le dépit avant le derby

Les Bleus ont perdu deux points précieux avant-hier à la Meinau face à la lanterne rouge auxerroise (2-2). Un résultat d’autant plus contrariant, avant le derby très attendu de samedi (18 h) à Mulhouse, que Lyon-la-Duchère et le FCM se sont imposés hier.

À mesure que les journées passent (10 sur 34), l’évidence s’impose un peu plus. François Keller ne s’est jamais voilé la face et l’a d’ailleurs une nouvelle fois souligné samedi après le nul arraché in extremis à domicile contre la lanterne rouge Auxerre II (2-2). « Comme l’an dernier, nous sommes prétendants à la montée, mais un prétendant parmi d’autres qui affronte des équipes supérieures à celles du CFA 2. » La 10 e journée de ce week-end ne l’a pas démenti. Hier, le leader Lyon-la-Duchère et le FC Mulhouse l’ont emporté respectivement à Nancy II (1-0) et chez le seul tombeur des Strasbourgeois, Chasselay (4-2). Les Lyonnais en ont profité pour accentuer leur avance, six longueurs devant le FCM, désormais 2 e, et sept devant le Racing, 3 e(*).

Avec 4 victoires, 5 nuls et 1 défaite, le bilan du RCSA n’a rien de catastrophique. Mais son rythme est trop lent pour taquiner la 1 re place, la seule qui vaille. Voilà pourquoi le nul d’avant-hier a engendré chez Ludovic Golliard et les siens une grosse contrariété que les deux succès dominicaux de Lyon et Mulhouse n’ont évidemment pas atténuée. « On perd deux points, lâche Stéphane Noro. Mais d’un autre côté, ceux qui pensaient que les Auxerrois avaient les pieds carrés à cause de leur dernière place se trompaient lourdement. De notre côté, nous n’avons pas fait ce qu’il fallait pour prendre les quatre points. » « Il nous manque encore quelques petites choses, acquiesce Ludo Golliard, sorti en 2 e mi-temps à cause d’un dos bloqué. Nous sommes déçus. Comme souvent à la Meinau, Auxerre a affiché un niveau qui n’a pas toujours été le sien cette saison. Mais il faut tourner la page et continuer à bosser. »

« Ni le juste milieu, ni le bon équilibre »

Pour Steph Noro comme pour Gauthier Pinaud, le Racing n’a donc pour l’instant trouvé ni « le juste milieu », ni « le bon équilibre. » Pinaud est pourtant l’un des rares à considérer le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide : « C’est important d’être une nouvelle fois revenus au score. Nous avions gagné contre l’UJA Maccabi Paris. Là, nous sauvons le nul. Qui sait si ce point arraché sur la fin ne sera pas déterminant, sachant que la saison est encore très longue ? » Dès samedi (18 h) au stade de l’Ill face à des Mulhousiens qui viennent de leur passer devant et les attendent de pied ferme, les Bleus auront cependant tout intérêt à ne pas céder davantage de terrain. Sinon, la saison pourrait effectivement bientôt leur paraître très longue…

(*) Moulins, dont le match à domicile contre Belfort a été reporté samedi, peut prétendre, s’il remporte son match en retard, s’installer seul à la 2 e place.

Écho de la Meinau

Train bleu : réservations aujourd’hui et demain. Le Racing remet le train bleu sur les rails pour le déplacement de ce samedi à Mulhouse. Le train partira à 14 h 25 de la gare du Krimmeri et y reviendra après la rencontre. Les supporters intéressés peuvent réserver leur billet (20 euros, incluant le voyage et l’entrée au stade de l’Ill) aujourd’hui et demain à un guichet de la Meinau, de 12 à 14 h, puis de 17 à 19 h.

S.G.

[Gotcha]

Victoire impérative, pour repasser devant mulhouse, et tenter de rattraper LD, qui accueille villefranche, le 4eme. Peut être lacheront ils quelques plumes !

[Kaniber]

3 - 0 pour Mulhouse

[fan_racing]

Ce qui m'inquiète avec Mulhouse, c'est que là pour le coup on affronte une équipe avec un réel très bon effectif, taillé pour jouer la montée. Et vus leurs récents cartons pleins, ils semblent savoir en tirer toutes les qualités. Avant même nos faux-pas à Chasselay et contre Auxerre II, je ne nous voyais déjà pas trop repartir avec une victoire de là-bas, sauf qu'avec au moins trois points de moins dans la besace que ce qui était prévu, un succès devient super important. J'espère qu'on ne sera pas en plus inhibé

[Kaniber]

Avec le match gagné a l'extérieur Mulhouse nous attend de pied ferme et doivent êtres serein , maintenant il y a aussi l'arbitrage ( J'Aime pas ) chercher des excuses , mais s'il se laisse influencer par le public et peut-être par les joueurs ça va être encore plus compliquer

[argueti]

Laurent Croci lance le derby

Après son succès dimanche à Chasselay, le FC Mulhouse abordera en position de force le premier derby face au Racing-Club de Strasbourg depuis plus de 20 ans, samedi à 18 h. Laurent Croci, son entraîneur, demande à ses joueurs de profiter de cette semaine exceptionnelle.

« Il y a les barjots du handball, et il y a les miens… Lors de nos déplacements, nous voyageons en trois minibus, et les chauffeurs sont unanimes : ça rigole, ça chante, il y a une ambiance du tonnerre. Cela permet d’être solidaire et cohérent sur le terrain et peut expliquer notre bonne position au classement ». Laurent Croci, l’entraîneur mulhousien, savoure le bon début de saison de son équipe, qui peut aborder le derby face au Racing en position de force, samedi à 18 h.

Le derby, « il en est question depuis le coup d’envoi de cette saison », rigole le Franc-Comtois, qui tente de prendre une certaine hauteur par rapport à un événement qui n’a plus eu lieu depuis le dimanche 19 janvier 1992 (succès 2-1 du FCM). « Ça fait un moment que les joueurs en parlent, mais ils ont prouvé ces dernières semaines qu’ils savaient faire la part des choses. Je leur ai dit de bien profiter de cette semaine, car ce sont des moments rares à ce niveau de compétition, avec une couverture médiatique plus importante. Pour nous, ce match est un peu inespéré, c’est un gros bonus. »

L’entraîneur mulhousien pense également aux rares supporters qui fréquentent habituellement le stade de l’Ill. « Nos fidèles, ce match leur tient à cœur, il faudrait pouvoir les récompenser. Depuis cet été, leur seul souhait est que nous parvenions à battre Strasbourg, même si nous étions derniers du championnat. On va tout faire pour leur faire plaisir ».

Laurent Croci a noté avec une certaine minutie les déclarations de François Keller, son homologue strasbourgeois, ces dernières semaines, qui font de son équipe un des favoris du championnat. « Dans le football, les derbys sont une bonne chose, car ils apportent un peu de piment supplémentaire. Je suis un peu au-dessus de cette notion de suprématie régionale. Pour moi, ce qui m’importe, c’est qu’il n’y ait pas de déséquilibre au départ. Là, c’est parfait, puisque nous sommes 2 e du championnat, Strasbourg 3 e. Mais j’ai assez d’expérience pour savoir qu’une saison se joue sur des petits détails, certains qu’on peut maîtriser, d’autres non comme les blessures ou les suspensions ».

Surtout, l’entraîneur mulhousien estime que le FCM et le Racing ne tirent pas du tout dans la même catégorie, son club ayant « deux siècles de retard ».

« L’écart est déjà immense concernant les subventions, poursuit Laurent Croci, sur la même longueur d’ondes que son président Alain Dreyfus qui réclame une certaine équité de la part du conseil régional. L’argent ne fait pas tout, mais c’est moins compliqué ou plus facile quand il y en a. Concernant l’effectif, François Keller estime que j’ai beaucoup de joueurs qui ont l’expérience de la Ligue 1. J’ai trois joueurs expérimentés, Johansen, Douillard et Loval. J’ai plus de 15 joueurs qui n’ont jamais connu plus haut que le CFA, que je suis allé chercher en CFA 2, comme Dumas ou Kalkoul ou qui sont issus des U19 du FC Mulhouse. La différence entre les deux équipes est immense. Sur une saison, un entraîneur peut aussi ne pas être bon par moments. C’est plus simple quand un adjoint est là pour te remettre sur la bonne voie. Au FCM, je suis tout seul. »

« Il y a de nombreux détails qui font toute la différence, poursuit l’entraîneur mulhousien. Nous nous déplaçons en minibus les jours de match, nous n’avons pas les moyens de faire autrement. Et quand tu joues toute la saison devant plus de 6000 personnes, tu récupères forcément plusieurs points. Nous, on joue dans un stade désert. Si on tient compte de tout cela, comment peut-on faire de nous un favori du championnat ? Attention, on n’est pas jaloux des autres, et surtout pas de Strasbourg. Je suis admiratif que des investisseurs comme Marc Keller aient repris le club, qu’il soit encore tant suivi à ce niveau. C’est ce qui nous manque ici : l’intérêt du public et des décideurs locaux ».

Peut-être seront-ils plus attentifs après le derby de samedi, qui pourrait drainer, pour une fois, beaucoup de monde. Mais le défi du FCM sera de faire revenir le public également lors des échéances futures.

Marc Wilb

[Its_me]

Benchenane toujours out

Haut-Rhinois lui aussi, Adel Benchenane aurait évidemment aimé jouer samedi à Mulhouse. Mais l’ex-attaquant de Bartenheim, absent depuis le 13 octobre, va devoir patienter encore une quinzaine. Remis de sa blessure à l’ischiojambier, il avait repris l’entraînement la semaine passée et aurait dû jouer avec la réserve dimanche contre Dinsheim (2-1). Mais il souffre désormais d’une inflammation de l’aponévrose du quadriceps droit. Au stade de l’Ill, le Racing sera également privé de ses deux blessés longue durée, Vauvenargues Kéhi et Steven Keller, mais aussi de son milieu offensif Benjamin Genghini, expulsé dans les arrêts de jeu samedi contre Auxerre et dont le moral est en berne. « Je ne touche pas l’Auxerrois, plaide-t-il. D’ailleurs, il a rejoué tout de suite. L’expulsion est sévère et je vais quand même prendre trois matches de suspension minimum. Je revenais à peine de six semaines de blessure. J’ai vraiment l’impression d’être maudit en ce moment. » À l’inverse, Anthony Sichi, suspendu face aux Bourguignons, effectue son retour.

[Its_me]

Souvenirs, souvenirs

François Keller a découvert le foot pro au stade de l’Ill, avant de filer à Strasbourg. À quelques jours du derby entre le FCM et le Racing, l’entraîneur alsacien a accepté d’ouvrir la boîte à souvenirs…

François Keller n’est pas du genre à raconter sa vie ou s’épancher outre mesure. Mais alors que se profile une rencontre au sommet entre le FC Mulhouse et le Racing, l’entraîneur strasbourgeois a accepté d’évoquer ses souvenirs de jeunesse.

– Quand on vous parle de ce FCM – Racing, à quoi pensez-vous ?
– Au stade de l’Ill. Ce stade est associé à mes premiers souvenirs de matches professionnels. À partir de 1985, on y allait avec mes parents pour voir Marc (son frère, ndlr). Gamin, je me souviens que je ne regardais pas trop le match: je jouais sous la tribune avec des canettes vides. Plus vieux, j’allais en “populaires” et j’étais pour Mulhouse (sourires).

– Vous y alliez souvent ?
– C’étaient les premières années de Marc, on allait le voir à chaque rencontre. À l’époque il y avait Raymond Domenech, Didier Notheaux… Je me souviens que le stade était toujours plein à craquer.
Mais je crois que le tout premier match que j’ai vu là-bas, c’était un match international. Peut-être l’équipe de France… J’étais tout jeune, je n’avais même pas dix ans. Je me vois encore en train de pleurer derrière le but parce que Marc et Claude (ses deux frères) m’avaient laissé tomber : ils avaient réussi à monter en tribune présidentielle !
Sinon, mes souvenirs du stade de l’Ill, c’est surtout Franck Priou, Claude Fichaux et l’OM de Jean-Pierre Papin, Philippe Vercruysse et Frantz Beckenbauer.

– Et en tant que joueur, le stade de l’Ill vous “parle” aussi ?
– J’ai un vieux souvenir. À l’époque, je jouais aux SR Colmar. Je devais avoir 15 ans et on avait fait un match en lever de rideau.
Je me souviens, c’était avant un FCM – Nantes et il y avait Didier Deschamps chez les Canaris. Ça m’a beaucoup marqué…

– Finalement, vous avez assisté à plus de derbys au stade de l’Ill qu’à la Meinau ?
– Oui. Je crois que je suis venu une seule fois à la Meinau pour un Racing – Mulhouse. C’était en Ligue 2 et j’avais d’ailleurs un peu chambré les supporteurs strasbourgeois (sourires). Bon, j’avais 15 ans !

– Et puis tout change avec la signature de Marc Keller au Racing…
– Quand Marc a signé au Racing, je jouais encore aux SR Colmar. Max Hild voulait me faire venir au FCM, mais il est finalement parti à l’intersaison au Racing, justement.
J’ai fini par signer à Strasbourg, mais une saison plus tard. Entre temps, j’avais arrêté le foot pour faire une année de “maths sup”. C’était en 1991/92. Je ne faisais que bosser au lycée et je n’ai pas vu un seul match à la Meinau pour la première saison de Marc au Racing.

– Vous rejoignez finalement le Racing en 1992 alors ?
– Oui. Au moment où le FCM commençait à avoir des soucis. Après avoir arrêté la prépa, je me suis inscrit en fac de sciences-éco à Strasbourg, l’année où Gilbert Gress monte en L 1. Max Hild m’a proposé de rejoindre le centre de formation. Et voilà…

– Vous avez débuté à Colmar, supporté Mulhouse et entraîné à Strasbourg… C’est assez inhabituel comme parcours.
– Je crois qu’on est trois Alsaciens, avec Marc et Claude Fichaux, à avoir évolué dans les trois clubs phares de la région.
Pour ma part, j’ai commencé le foot à Colmar, j’ai découvert le monde pro à Mulhouse, avant de me construire comme footballeur et éducateur à Strasbourg. J’ai rencontré des gens bien dans ces trois clubs. D’ailleurs, mon rêve, c’est que dans dix ans, les SRC, le FCM et le Racing soient tous en Ligue 2. Ce serait super, non ?

– En attendant, il y a ce match très particulier qui se profile samedi…
– J’ai souvent affronté le FCM en CFA, en tant qu’entraîneur de la réserve. Là, c’est un peu différent parce que c’est l’équipe première, il y a plus d’effervescence. Mais je ne ferai pas une préparation particulière… Je considère ce match comme une rencontre importante, face à une équipe du Top 3.

– La rivalité régionale, l’aspect “derby”, c’est juste pour les supporteurs alors ?
– Le derby, c’est important pour les spectateurs. Mais pour des mecs comme Golliard ou Sichi, qui ne sont pas de la région, ça ne représente rien, c’est une rencontre comme les autres.
J’espère simplement que tout va bien se dérouler. Je n’aimerais pas revoir les images du dernier Ajaccio-Bastia par exemple (il y avait eu des affrontements entre supporteurs et des bagarres sur le terrain, ndlr). Cela a vraiment donné une mauvaise image de la Corse et je ne souhaite pas ça à l’Alsace.

– Côté sportif, que pensez-vous de cette équipe du FCM ?
– Je pense que Laurent (Croci, l’entraîneur mulhousien, ndlr) a trouvé un bel équilibre. Il a réussi à créer un vrai groupe, avec un super état d’esprit, un peu dans le style de Schiltigheim. L’équipe est saine, homogène… C’est une belle équipe.

– Vous ne semblez pas spécialement stressé avant cette rencontre ?
– Je suis déjà heureux de pouvoir jouer ce match. L’année passée, le Racing était pratiquement en état de mort cérébrale, le club aurait pu couler complètement… Et on se retrouve à jouer un match au sommet de CFA, c’est une chance pour nous.
Et même s’il faut gagner ce match, cela ne doit pas être la guerre. La seule chose à haïr, c’est la défaite…

[Its_me]

Depuis la saison 1986-87, le Racing et le FC Mulhouse se sont rencontrés à huit reprises en championnat. Avec un net avantage pour le FCM, qui affiche un bilan de cinq victoires (pour un nul et deux défaites) face au Racing.

SAISON 1986/1987
Le Racing s’incline deux fois face à son rival régional. Les Strasbourgeois perdent 4-3 à domicile et s’inclinent une nouvelle fois (1-0) lors du match retour, au stade de l’Ill.

SAISON 1987/88
Cette saison est particulière, car c’est la seule fois où le bilan du Racing est “positif” à l’issue des confrontations directes. Le Racing s’impose 1-0 à la Meinau, grâce à son buteur allemand Peter Reichert et tient le nul (0-0), au retour, au stade de l’Ill.

SAISON 1990/91
Le FCM et le Racing se retrouvent en Division 2, après une parenthèse d’une saison. Et c’est l’équipe haut-rhinoise qui s’impose deux fois face au Racing de “Léo” Specht. Le FCM gagne 1-0 à domicile et 3-0 à la Meinau (!), avec des buts signés Subiat, Andrieux et… Marc Keller.

SAISON 1991/92
Bilan équilibré entre les deux rivaux régionaux en 91/92, saison où le Racing de Gilbert Gress retrouve la première division. À l’aller, Hasek et Monczuk (photo ci-dessous) permettent au Racing de s’imposer 2-0 à la Meinau. Au retour, le FCM est maître chez lui grâce à Subiat et Basile… Le but de Marc Keller – qui a changé de maillot à l’intersaison – n’y changera rien. Les Strasbourgeois s’inclinent 2-1

[Tenor]

l'idéal serait que Mulhouse joue le match nul

sachant que l'intérêt supérieur voudrait que le racing ne rentre pas bredouille pour rester placé pour la suite de la compétition...

sachant aussi qu'il y a aussi un match retour qui pourrait drainer de nombreux spectateurs et leur renvoyer l'ascenseur ...

ils ne sont pas cons à ce point là quand-même les mulhousiens

Mulhouse n'est pas prêt pour jouer financièrement plus haut, voir sportivement : quel est l’intérêt de casser la spirale de la reconstruction du racing ...porte drapeau footballistique de l'Alsace mais ce n'est qu'un vœu pieu

je crains la défaite tout de même du racing