Waow... c'est un article touchant et plein de haine sur la décrépitude du Racing depuis l'arrivée d'IMG et Proisy que nous sortent les cahiers du football aujourd'hui ! Assez grandiose, je trouve !
De cela on retiendra le beau décryptage de notre superbe "new logo":
Hansi a écrit :c'est pas toi gark, qui l'aimait bien notre nouveau logo ? Si c'est le cas, t'as dû changer d'avis.
Euh moi j'aime beaucoup les nouveaux maillots... si j'ai dit que j'aimais le nouveau logo, ça a du m'échapper car je n'aime que le côté "nouveau design" de celui-ci !
Voilà le lien qui vous emmenera vers une très drôle rétrospective, celle de l'ensemble des reflexions des cahiers du football sur le Racing: rigolez bien !
Le saint-URL: http://www.lercstrasbourg.com/principale.htm
Maintenant, pour ceux qui n'ont pas envie de rigoler trop longtemps, voici juste ce que je considère comme le best-of:
"Le RC Strasbourg veut vendre 34% de son capital à des investisseurs privés". Privés de cerveau ?
"Peguy Luyindula, victime d'une explosion de foufoune lors d'un cunnilingus".
Lu dans les Cahiers du foot, et comme je ne savais pas ou le mettre...
cahiersdufootball.com a écrit :Strasbourg fait mal au cœur
Après un début de saison plutôt tonitruant, avec un jeu ambitieux et spectaculaire, une fréquentation en hausse, un président pittoresque prêt à servir la soupe et l'impression que la lourde page Proisy était tournée, le Racing d'Antoine Kombouare s'est progressivement ensablé dans un marasme inquiétant, naviguant désormais à trois petits points du premier relégable après une longue série de contre-performances. La recette du coach et son discours séduisant ont rencontré leurs limites dans celles d'un effectif jeune et peu épargné par les blessures, amputé de ses meilleurs atouts avec le départ de Ljuboja au mercato et la longue indisponibilité de Niang. La réception de Lyon a résumé les données du problème: une bonne volonté indéniable, des joueurs de talent (les frères Farnerud, l'étonnant Mouloungui…), mais un mélange de maladresse et de malchance qui empêche les Alsaciens de prendre des points salvateurs et qui les enfonce dans leurs doutes — à l'image de Drobny, qui peinait après le coup de sifflet final à se remettre de son occasion ratée (une tête seul face à Coupet).
Le calendrier ne facilitera pas la tâche du Racing, qui doit affronter certains des leaders ainsi que des concurrents directs pour le maintien. Mais s'il se sort de l'ornière, il pourra enfin espérer des jours vraiment meilleurs, sur les bases plus solides que s'attachent à lui donner ses nouveaux dirigeants. C'est tout le mal qu'on lui souhaite…