[10/11] 36ème J: Luzenac / Strasbourg - 1/1

[argueti]

Va pas falloir y laisser des plumes

[FM17]

Sincerement je pense que les 2 points perdus contre Créteil sont les 2 points de trop...Le Racing finira 4è à mon avis...

[supppourtjs]

J'ai l'impression que l'avenir ne se joue malheuresement pas sur le terrain.

[PoY]

Sincerement je pense que les 2 points perdus contre Créteil sont les 2 points de trop...Le Racing finira 4è à mon avis...

Pour une fois je suis aussi pessimiste que toi

[Stan]

http://www.cahiersdufootball.net/diapo_ ... p?id=13737

[argueti]

Surfer sur la vague

Après avoir attendu cinq mois pour obtenir son premier succès à l’extérieur en National, le Racing est désormais intraitable loin de la Meinau puisqu’il reste sur six victoires et un nul. Pour rester dans la roue de Guingamp, les Strasbourgeois devront garder le rythme vendredi à Luzenac.

Tenus en échec par Créteil (1-1), samedi dernier à la Meinau, les hommes de Laurent Fournier ont abandonné la troisième place à Guingamp, qui compte une longueur d’avance mais aussi un match de moins. Pour récupérer les deux points perdus dans cette course effrénée à la Ligue 2, et éviter de laisser filer la formation costarmoricaine, les Bleus sont désormais dans l’obligation de faire le plein ce vendredi (20 h) à Luzenac.

Plutôt à l’aise en déplacement, - avec six victoires (dont trois de suite, série en cours) et un nul, depuis sa dernière défaite sur la pelouse de Cannes (1-0) le 15 janvier -, le Racing doit conserver l’état d’esprit qui lui a permis récemment d’arracher des succès importants du côté d’Alfortville (1-3), Fréjus (1-2) ou encore Plabennec (0-2). « Nous sommes sur un rythme d’enfer à l’extérieur, confirme l’attaquant strasbourgeois David Ledy. Et cela me paraît primordial d’aller chercher une victoire vendredi à Luzenac après avoir perdu deux points à domicile le week-end dernier. »

Depuis leur victoire à Rodez (0-3), trois jours avant le dernier revers cannois, qui a mis fin à un an et demi de disette en championnat loin de la Meinau, les partenaires de Julien Outrebon sont complètement décomplexés. Aujourd’hui, les Strasbourgeois possèdent même le deuxième meilleur bilan du National à l’extérieur derrière le leader Bastia (28 points sur 51 possibles, 7 victoires, 7 nuls et seulement 3 défaites). « Cela fonctionne plutôt bien depuis janvier, souligne le défenseur alsacien, buteur à Alfortville début avril. Le succès à Rodez nous a libérés et on est ensuite parvenu à enchaîner. Nous sommes costauds et on communique beaucoup entre nous. Tout le monde tire dans le même sens pour avoir ces bons résultats. »

« Il fallait avoir le déclic »

Comment expliquer alors un tel changement de visage dans les rangs bas-rhinois depuis le début de l’année 2011 ? « C’est inexplicable car nous n’avons pas vraiment changé notre façon de jouer. Il fallait avoir le déclic (ndlr : la victoire à Rodez) pour nous mettre en confiance », affirme Julien Outrebon. « Nous essayons toujours de procéder de la même façon. Mais il est vrai qu’à la Meinau, les équipes viennent souvent pour rester regroupées derrière. Alors qu’à l’extérieur, elles veulent faire le jeu pour gagner et on profite de la vitesse d’Ali (ndlr : Mathlouthi) pour aller rapidement vers l’avant. »

Vendredi à Luzenac, face à une formation qui jouera pour assurer définitivement son maintien en National, les Strasbourgeois devront faire preuve d’une grande méfiance. « C’est compliqué de jouer là-bas, conclut le défenseur, étrillé en Ariège avec Créteil la saison passée (4-1). Le terrain est petit, pentu et l’herbe est haute. Mais il faut s’adapter et faire en sorte de ne rien lâcher car nous avons besoin d’une victoire. » Devant l’incertain contexte extra-sportif actuel, elle ferait un bien fou au moral des troupes.

Olivier Arnal

[argueti]

16 joueurs pour Luzenac

Pour le déplacement à Luzenac ce vendredi (20 h) comptant pour la 36e journée de National, le coach Laurent Fournier a convoqué un groupe de 16 joueurs qui prennent dès ce matin, en avion, la direction du sud-ouest : Gurtner, Kéhi, Pichot, Outrebon, Tchato, Donzelot, Sikimic, Peuget, Ahoueya, Damour, Noro, Brahmia, Ledy, Belvito, Yenga, Mathlouthi

[alphons]

defaite interdite ...et en aucun cas perdre des points sur guingamp.

dans 9 jours apres amiens on saura.....
- si le racing est encore eu course pour la montee
- si le contentieux a ete reglé
- si hilali depose le bilan

[D520]

l'Alsace

À l’image de Stéphane Pichot qui jouera « un match de coupe », les Strasbourgeois devront montrer de la gnac ce soir pour sortir victorieux du traquenard luzenacien. Archives Jean-Marc Loos
En déplacement à Luzenac, ce soir à 20 h pour la 36 e journée de National, les Strasbourgeois n’ont pas le choix : il leur faut ramener les trois points de la victoire pour rester au contact de Guingamp, qui s’en va défier dans le même temps Alfortville, quasiment condamné à la descente.

S’il existe bien un déplacement que l’on peut qualifier de piège cette saison, c’est bien celui qui va conduire les partenaires de Milovan Sikimic du côté de l’Ariège ce soir. Petite bourgade d’un peu plus de 600 âmes, située à 120 km de Toulouse, Luzenac n’est pas vraiment l’endroit rêvé pour envisager une simple promenade de santé.

Non pas que la région n’offre pas des paysages attrayants à ses visiteurs, mais les footballeurs locaux ne sont pas réputés pour être des tendres. De fait, s’il lui manque encore quelques points pour assurer définitivement son maintien en National, la formation luzenacienne, 13 e avec 7 points d’avance sur la zone rouge, est un sérieux empêcheur de tourner en rond dans son petit stade Paul Fédou. Pour preuve, Cannes y a laissé des plumes (défaite 1-0), tout comme Amiens (1-1). En 16 rencontres sur son terrain, les joueurs de Christophe Pélissier n’ont d’ailleurs connu la défaite qu’à deux reprises, face à Fréjus (0-1) le 10 septembre et contre… les SR Colmar (0-1), le 22 décembre dernier, avec un but de l’attaquant congolais Chiguy Lucau.

Pour suivre l’exemple de son voisin haut-rhinois, le RCS devra encore et toujours faire abstraction d’un contexte explosif en coulisses et poursuivre sur la lancée de ses derniers voyages (six victoires lors de ses sept derniers déplacements, dont trois succès de suite, série en cours). « Il n’y a que le terrain qui compte, rappelle Régis Gurtner, le portier strasbourgeois. Nous avons envie de faire remonter le club, le reste ne dépend pas de nous. » S’ils ont laissé filer deux points samedi dernier face à Créteil à la Meinau (1-1), après avoir remporté six matches d’affilée, les Bleus sont bien loin d’avoir baissé les bras dans la course à la montée en L 2. « Il ne faut pas dramatiser parce que nous avons fait un match nul. Il y a encore des échéances déterminantes qui arrivent, à commencer par celle de Luzenac. De toute façon, nous savons depuis le mois de décembre que nous n’avons plus vraiment le droit à l’erreur. Mais on est toujours là. Nous devons enchaîner une autre série de victoires pour être devant les autres avant la fin du championnat », lance l’expérimenté défenseur Stéphane Pichot.
« Montrer que nous sommes supérieurs »

Justement, à six échéances du terme de la saison, les Strasbourgeois ne peuvent plus se permettre de traîner en route. « C’est un peu comme un match de coupe, poursuit Pichot. Il faudra montrer le plus rapidement possible que nous sommes supérieurs. On s’attend à une rencontre difficile. Luzenac embête beaucoup d’équipes sur son terrain. Elle joue avec ses armes, c’est une formation accrocheuse. En tout cas, on se déplace pour aller chercher un résultat et rester au contact de Guingamp. »

Même si Laurent Fournier craint que « son groupe parte en sucette en cas de mauvais résultat à Luzenac » et si la situation extra-sportive « ne se décante pas rapidement » (voir « L’Alsace » d’hier), l’entraîneur bas-rhinois fait toujours confiance à ses joueurs. « Pour nous, c’est un match charnière et il faudra être prêt mentalement pour vivre ce combat. » Ce soir, sur les coups de 21 h 45, on devrait en savoir un peu plus sur la capacité de son équipe, qui a déjà beaucoup donné, à aller au bout d’elle-même. Et au bout d’une folle aventure.

[Tenor]

je ne sent pas bien l'affaire ce soir...défaite