Jacky Duguépéroux

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Alex Barotchais
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Message par Alex Barotchais »

ce mec me séduis un peu plus chaques jours
anciennement cicouche...
domes
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Message par domes »

ouais c'est clair que je crois aussi que nous avons un des meilleures entraineur de france et dire qu'il etais au club depuis tant d'année et que entre temps nous avons recruter des entraineur a travers toutes la france pour avoir les resultats qu'on connais moi ça me fais de la peine quand je pense a tout ce que nous avons gaché pendant tout ce temps.
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astroboy
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Message par astroboy »

En coupe de France, j'estime que nous n'avons pas été bien lotis en tirant Sedan
Oui enfin bon si on fait déjà  la tête quand on tire une équipe de ligue 2 on va pas aller loin non plus...
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Alex Barotchais
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Message par Alex Barotchais »

j'aurais préféré un club de ligue 1 a domicile, et meme a l'extérieur mais sedan avec son public c'était l'équipe en forme a qui tout lui réussi il n'y a qu'a voir les 2 dernier but de sedan pour comprendre..
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Pinon
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Message par Pinon »

Duguépéroux: « Prendre un attaquant ? On réfléchit »

En revenant de Toulouse, Jacky Duguépéroux a évoqué la possibilité d'enrôler un attaquant. Cette possibilité intervient au moment où Mickaël Pagis a écopé d'un carton rouge et parce qu'Abel Mphela n'est toujours pas de retour au club. Eric Mouloungui, lui, est toujours indisponible et le sera jusqu'à  la mi-février, au moins.
« En début de saison, dit l'entraîneur, nous avons bâti notre effectif sur quatre ou cinq attaquants, c'est-à -dire Niang, Pagis, Mphela, Mouloungui plus Alex Farnerud. Parmi ceux-là , trois prennent la profondeur (Niang, Mphela et Mouloungui) et aujourd'hui, il ne m'en reste plus qu'un. Un problème se poserait si Mamadou venait à  se blesser. Mais si nous prenons un attaquant supplémentaire, ce sera pour amener quelque chose. Or, Le Pen va bientôt revenir et cet attaquant en plus prendra-t-il la place de Pagis ou Niang ? La réflexion existe mais nous ne ferons pas n'importe quoi. Ce n'est pas exclu en cas de pépin, même si je ne souhaite pas bouleversé mon groupe. »
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Its_me
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Message par Its_me »

même si je ne souhaite pas bouleversER mon groupe. »
Et après on s'étonne que le niveau de français de la population diminue.
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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Pinon
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Message par Pinon »

Une fois de plus, le Racing est contraint de s'imposer à  la Meinau, ce samedi, pour effacer la défaite à  Toulouse.
Une situation qui se répète semaine après semaine et qui commence à  lasser Jacky Duguépéroux.

N'est-ce pas lassant d'être constamment obligé de s'imposer à  domicile pour rattraper les points perdus à  l'extérieur ?
Oui, je répète les mêmes choses en permanence. Ce que j'ai dit après ce match à  Toulouse, je l'avais déjà  dit après Ajaccio, Metz ou encore Marseille. Nous sommes présents dans le jeu, nous nous procurons des occasions mais nous ne concrétisons pas. Après, nous nous faisons punir derrière. En étant plus réalistes, nous aurions pris plus de points, c'est une évidence. Le positif, c'est que nous nous créons des opportunités. Le négatif, c'est que nous manquons d'efficacité. Il y a aussi une question de réussite. A Toulouse, le tir de Psaume touche le poteau avant de rentrer, tandis que nous, nous tirons deux fois sur la barre sans que le ballon rentre.

Comment expliquez-vous ce manque de réalisme, justement ?
Il y a soit trop de précipitation, soit un manque de réussite, soit un manque de concentration. Le problème, sur ce match, c'est qu'au-delà  de la défaite, nous perdons Jean-Christophe Devaux qui s'est blessé, que deux joueurs ont été expulsés et que Pascal Johansen sera suspendu prochainement pour un troisième avertissement. D'ailleurs, quelles que soit les décisions de l'arbitre, et même si elles ne nous sont pas favorables, je ne cautionne pas que mes joueurs s'énervent. D'autant que le match se déroulait dans un esprit loyal. Les joueurs n'ont pas le droit de perdre les pédales comme ça et de se faire justice. Et puis, nous n'avons pas besoin de prendre des cartons bêtement.

Revoilà  le Racing à  peu près dans la même position qu'avant la trêve…
Depuis notre première victoire contre Nice, c'est la même rengaine. Tant que nous ne réaliserons pas une performance à  l'extérieur, nous serons toujours à  la limite et dos au mur pour nos matches à  domicile. J'espère que les joueurs vont continuer à  prendre leurs responsabilités à  la Meinau, sinon nous allons être en difficulté. Mais notre classement actuel me conforte dans mes positions : se sortir de la zone dangereuse prendra du temps et se fera sur plusieurs semaines.
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Message par Pinon »

Pour la venue de Clermont-Foot, mercredi en coupe de la Ligue, Jacky Duguépéroux pourra compter sur quelques retours.
Un choix qui ne le dérange absolument pas, au contraire. Cela devrait même le conduire à  faire souffler l'un ou l'autre joueur.


Entre une qualification pour les demi-finales de la coupe de la Ligue et une victoire à  Istres samedi, vers quel match va votre préférence ?
Je ne choisis pas une compétition plutôt qu'une autre. La coupe de la Ligue est une parenthèse qui peut nous permettre d'atteindre les demi-finales et qui peut avoir un gros impact pour le club. Le Racing n'est pas, aujourd'hui, dans une position où il peut négliger un match. D'ailleurs, une élimination pourrait avoir un effet négatif sur les troupes. Ca serait difficile à  encaisser.

Allez-vous faire tourner votre effectif ?
L'équipe qui jouera sera la meilleure, à  mon sens, pour ce match. Istres, c'est autre chose. J'enregistre plusieurs retours de joueurs qui sont des titulaires à  part entière. Mais c'est vrai que l'un ou l'autre élément devrait souffler, mercredi. Clermont focalise nos esprits mais il y a Istres et Monaco qui viennent après. J'y pense aussi. Je crois que ce serait bien pour certains de pouvoir souffler un peu, afin de retrouver un peu de fraîcheur. Pour ce match, j'ai le choix et c'est une bonne chose. Je peux faire un roulement sans que cela n'altère la qualité de mon équipe.

Le Racing partira, face à  Clermont, avec le statut de favori. Comment l'équipe va-t-elle gérer ce phénomène nouveau ?
C'est vrai que c'est un statut que nous n'avons pas eu souvent cette saison. Sur le papier, nous sommes hiérarchiquement supérieur à  nos adversaires, mais sur le terrain c'est une toute autre histoire. Si nous manquons de respect, si nous abordons cette rencontre comme Sedan, nous allons tout droit vers une grosse désillusion. Mais la mésaventure de Sedan est si proche que je ne peux pas penser qu'elle puisse se renouveler. Nous avons étudié le jeu de Clermont. C'est une bonne équipe de L2. Et être classé 16e ne veut strictement rien dire, tant les écarts sont minimes.
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Message par Pinon »

Jacky Duguépéroux a conscience de l'enjeu de la rencontre de samedi face à  Istres. Il espère aussi que, malgré la seconde période, le Racing ira à  Nîmes avec une confiance renforcée.

La qualification pour les demi-finales peut-elle apporter une dose de confiance supplémentaire à  votre équipe ?
Le match qui vient est un match important, avec des conséquences, dans un sens comme dans l'autre, importantes aussi. L'essentiel, après le match de mercredi, était de bien récupérer car il faut enchaîner trois jours après. Cette qualification donne de l'espoir et de l'inquiétude. Nous n'avons pas l'habitude de mener 3-0, peut-être est-ce la cause du relâchement. Il y a, en tout cas, des enseignements à  tirer.

Le groupe reste-t-il sur l'impression de la seconde mi-temps ou de la première ?
A la fin du match, j'ai eu l'impression d'avoir à  faire avec une équipe qui avait perdu. Les joueurs sont rentrés tête basse, et je leur ai reproché. Disputer une demi-finale n'arrive pas tous les ans, quand même. Mais le fait qu'ils ne soient pas fiers me rassure quelque part. Ils sont coscients des manques. Même si l'essentiel était de se qualifier.

Comment abordez-vous le déplacement à  Istres ?
C'est un match contre un concurrent direct, qui vient de réaliser un exploit à  Lens, samedi dernier. Vu nos performances à  l'extérieur, nous savons que ça ne sera pas facile. Je m'attends à  une formation d'Istres déterminée. Nous sommes conscients de ce qui nous attend mais nous y allons sans peur. Toutefois, tant qu'il y aura un manque de rigueur défensive, tant qu'il y aura de grosses fautes individuelles, nous risquons des mésaventures à  l'extérieur mais aussi à  la Meinau. Le match contre Clermont nous a montré que tout relâchement nous est interdit. Et puis, je crois que ce groupe est mieux quand il est dos au mur. Ce sera le cas samedi…
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Message par argueti »

Duguépéroux, acte III

Vainqueur des deux premières (Racing - Metz en Coupe de France en 1995 et Racing - Monaco en Coupe de la Ligue en 1997), Jacky Duguépéroux va diriger sa troisième demi-finale de Coupe ce soir.

« Ma carrière d'entraîneur est relativement courte, mais elle est intense. » Il a dit ça avec le sourire, Jacky Duguépéroux. Il est, avec Charles Nicolas, Paul Frantz, Yvon Pouliquen et l'incontournable Gilbert Gress, un homme rare.
Ces cinq hommes ont fait le palmarès d'un Racing presque centenaire, mais qui ne compte que cinq lignes à  son palmarès : le premier a gagné la Coupe de la Ligue 1997, Charles Nicolas la Coupe de France 1951, Paul Frantz la Coupe de France 1966, Yvon Pouliquen la Coupe de France 2001 et Gilbert Gress le titre de Champion de France 1979.
Il est l'un des rares aussi, avec Paul Frantz encore, à  avoir fait tomber des grands d'Europe : les Glasgow Rangers et Liverpool pour le vainqueur de la Coupe de la Ligue 97, Barcelone et le Milan AC pour le vainqueur de la Coupe de France 66.

« Nous avions déjà  les invitations »

« Ce n'est pas à  moi d'être excité à  l'idée de disputer une telle rencontre, mais c'est à  mes joueurs de comprendre que ce sont des matches rares, reprend Jacky Duguépéroux. Contre Saint-Etienne, ce sera du 50-50. On a l'avantage du terrain. Tout le monde espère une finale Monaco - Saint-Etienne. A nous de tout faire pour l'empêcher. »
Et quand on lui dit qu'il n'a jamais perdu de demi-finale, il hausse les épaules. « En 1979, j'ai disputé une demi-finale de Coupe de France contre Auxerre, alors en Division 2. Après le match aller en Bourgogne (0-0), tout le monde nous voyait en finale. Nous avions déjà  les invitations », soupire Jacky Duguépéroux.
Et le Racing, qui venait de conquérir son titre de champion de France à  Lyon, allait se faire surprendre et éliminer par les joueurs de Guy Roux à  la Meinau (2-2).

Une semaine capitale

Donc, Jacky Duguépéroux est méfiant, mais impatient. « C'est l'occasion pour les joueurs de montrer à  leur public, qui a raison d'être déçu, qu'ils savent se surpasser. C'est à  mon équipe d'envoyer ce message vers des tribunes que j'espère bien remplies. Même si nous sommes en difficulté en championnat, nous n'avons pas le droit de faire l'impasse. Nous entamons une semaine capitale avec l'obligation de battre Saint-Etienne, puis Caen samedi soir. »
Ce soir, il s'attend à  un match engagé, compliqué. « On sait ce que vaut notre adversaire. C'est très solide. Il nous faudra les mêmes qualités morales que celles que nous devrons avoir pour nous en sortir en L 1. »

« Je ne connais pas le Stade de France »

Et puis, Jacky Duguépéroux a encore en travers de la gorge le succès obtenu face à  Bordeaux (0-0, 7-6 aux t.a.b.) en 1997 sur un dernier tir au but réussi par Stéphane Collet. « Le futur président du club avait fait quelques déclarations blessantes en disant que nous avions gagné sans mettre la manière, explique Jacky Duguépéroux sans vouloir nommer Patrick Proisy. Une finale ne se joue pas, elle se gagne. »
Quant au Stade de France, il ne le connaît pas. « Je passe souvent devant pour aller voir ma mère qui n'habite pas très loin, mais je n'y ai jamais vu de match », reprend le coach strasbourgeois.

Allumer la lumière

Il évitera même d'y aller lors de la victoire du Racing en Coupe de France en 2001. Toujours pour incompatibilité d'humeur avec qui vous savez ou devinez.
Un peu plus tard, en 2003, c'est une obligation familiale qui le privera de la finale de la Coupe Gambardella, perdue par le Racing face à  Rennes. « Mais, cette année, je suis prêt à  m'y arrêter pour enfin pouvoir savourer. »
Il faudra juste que ses joueurs allument la lumière à  la Meinau ce soir.
;)
L'histoire est en marche ...
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