[Ex] Guillaume Lacour

[argueti]

Surtout que ca aurait été son premier but ...

[télésupporteur]

Dommage pour sa perte de balle, mais bon çà  peut arriver !

perte de balle survenue au poste de mileu défensif après la sortie de keita

[Pinon]

Comme ses coéquipiers, Guillaume Lacour sait à  quel type de match s'attendre, ce samedi soir à  Saint-Symphorien. Le Racing, dit-il, devra répondre au défi physique imposé par la formation messine.
Les deux équipes étant dans la même situation au classement, c'est-à -dire dans le besoin de prendre des points rapidement, le derby de l'Est s'annonce encore plus tendu.

L'équipe a-t-elle envie de réagir à  Metz, samedi ?
Oui, surtout après la rencontre de dimanche dernier contre Monaco (1-2). Notre véritable envie est de prendre des points car c'est ce qu'il nous manque aujourd'hui. Certes nous créons du jeu mais il faut des points pour être plus confiant.

Que faut-il changer justement pour gagner enfin ?
Depuis le début de la saison, nous manquons de réalisme et de lucidité dans la dernière passe. Ce qu'il faut changer, c'est notre attitude dans les 18 mètres adverses.

A quel genre de match vous attendez-vous en Lorraine ?
On s'attend à  un duel. Nous savons parfaitement que Metz ne lâche jamais rien. Il faudra être de véritables combattants samedi pour ramener des points, et être prêt physiquement.

Le match contre Monaco est-il effacé des mémoires ?
Oui, nous l'avons oublié rapidement. Nous n'oublions pas nos erreurs au cours de cette rencontre, et nous avons travaillé dessus cette semaine à  l'entraînement pour les corriger. C'est pourquoi il y a eu beaucoup de travail devant le but depuis lundi.

A titre personnel, avez-vous une revanche à  prendre par rapport à  ce match ?
J'ai commis une grosse erreur en deuxième mi-temps qui a amené le second but monégasque. J'ai à  cÅ“ur de me rattraper, c'est clair. Mais c'est tout le groupe qui a envie de bien faire ce week-end.

Le doute commence-t-il à  s'insinuer dans les esprits ?
Non, nous ne sommes qu'à  la quatrième journée. Nous sommes confiants car nous développons du jeu et nous nous créons des occasions. Il n'y a pas lieu de douter, je crois. Au contraire, il faut persévérer dans le travail. Et quand la réussite reviendra, notre saison sera enfin lancée.

Le calendrier du Racing, en ce début de saison, est tout de même particulièrement relevé.
Peut-être, mais nous n'avons pas été ridicules contre les grosses équipes que sont Lyon et Monaco. Jouer Metz qui est dans une situation similaire à  la notre et qui a besoin de points donc, puis Bordeaux et Paris ne nous fait pas peur.

[Vico Corleone]

Dans le genre interview banale et sans intérêt

[matheousse]

Si il pourrait nous refaire sa prestation de Monaco sur son coté....

Ce joueur se révele désormais comme un vrai latéral avec un apport offensif! il a marqué son but de la tete avant de remplacer Keita.
il été quand même plusieur fois tres proche du but adverse, il lui manque comme beaucoup de joueur chez nous de la finition pour devenir un joueur complet à  son poste.

[Golliath]

Et surtout, ce qui m'épate chez ce joueur, c'est la vitesse à  laquelle il progresse. Chaque année il arrive à  se dépasser avec beaucoup d'humilité. A mon avis, il est à  l'image même du renouveau du racing, sain, travailleur, ENORME !!

[argueti]

La bonne passe de Lacour

Malgré une erreur fatale dimanche, le latéral droit du Racing, qui jouera ce soir son 85e match en L 1, affiche une belle régularité.

Il ne fait jamais de bruit. Encore moins d'esclandres. Arrivé comme amateur à  l'été 2001 après avoir été rejeté de Lyon, Guillaume Lacour vient d'entamer sa 5e saison au Racing. Ce soir, il disputera son 85e match de L 1. Pas mal pour un garçon à  la tête bien faite et bien pleine qui a pourtant mis longtemps à  s'imposer. Car cette année 2005-2006 est la première qu'il entame avec un statut de titulaire, à  un poste de latéral droit que ce milieu de terrain de formation n'avait jamais ou presque expérimenté avant que Jacky Duguépéroux ne l'y replace voici quelques mois. Depuis, l'ex-Lyonnais a gagné à  ce poste une légitimité. Au point d'avoir relégué sur le banc Yves Deroff, titulaire avant lui et qui paie toujours un maudit carton rouge reçu à  Toulouse à  la mi-janvier. Durant sa suspension, Guillaume Lacour a su saisir sa chance. Il ne l'a plus lâchée. Dimanche face à  Monaco, le latéral droit de poche (1,73 m), qui a fêté ses 25 ans le 2 août, a accompli une première mi-temps de feu. Sans doute la plus aboutie de sa jeune carrière en bleu. « Le coach nous dit toujours de n'avoir pas peur de prendre des risques offensifs. Mais il faut toujours trouver le bon équilibre pour éviter un contre. Si nous avions davantage peiné dans la conservation du ballon, je ne serais pas autant intervenu dans la construction du jeu. »

« Une grosse ombre au tableau »

Quelques secondes durant, il a même cru avoir inscrit son premier but en L 1, en reprenant victorieusement de la tête un centre de Mickaël Pagis. Mais un hors-jeu préalable – et discutable – de son capitaine a coupé court à  la joie qu'il manifestait déjà  ostensiblement. La sortie sur blessure de Keita avant la pause et le remaniement tactique qui en a découlé l'ont ensuite conduit à  suppléer le Malien comme récupérateur axial. « Mon changement de poste m'a un peu gêné. Je n'avais plus joué au milieu depuis longtemps.» A la 79e, il assure mal un ballon qu'intercepte Souleymane Camara. Sur l'ouverture du Sénégalais, Chevanton inscrit le but du 2-0. Le Racing, déjà  sonné, est cette fois KO pour le compte. « Mon repositionnement dans l'entrejeu n'est pas une excuse. D'ailleurs, il n'est pas dans mes habitudes d'en chercher. Cette mauvaise passe est une grosse ombre au tableau. Elle m'a miné parce qu'elle a battu l'équipe. A 1-0, ça restait jouable, même avec peu d'occasions. A 2-0, c'était terminé. Mais ce n'est pas ce qui va m'arrêter. Nous étions tous un peu dégoûtés après Monaco, surtout au vu de certaines décisions arbitrales. Aujourd'hui, c'est à  nous de montrer que nous sommes forts et que nous avons bien récupéré de cette défaite difficile à  avaler. » Le derby messin en offre l'occasion, même si Saint-Symphorien s'est souvent refusé au RCS. L'opposition des deux voisins de l'Est, respectivement 18e et 16e, a déjà  un accent dramatique. « N'exagérons rien », relativise Lacour, « Nous n'avons joué que 3 matches et il n'y a pas lieu de dramatiser. Après notre démarrage difficile en 2004, nous avions à  coeur de bien commencer. Sur le plan comptable, c'est raté. Mais nous sommes solides dans le jeu, et c'est le plus important. Avoir montré que nous pouvions bien jouer est rassurant. Et ce n'est pas parce que nous ne comptons qu'un point qu'il faut baisser les bras. Maintenant, je ne nierai pas que nous sommes en difficultés et que nous serions sous pression contre Bordeaux (le 27 à  la Meinau) si nous venions à  perdre à  Metz. Ce match est surtout important pour la confiance. »

[lolo]

Lacour, le découvreur

« Disputer une coupe d'Europe, même si notre adversaire ne joue pas dans la cour des grands, est quelque chose d'excitant », explique Guillaume Lacour.
Si Pascal Johansen et Jean-Christophe Devaux sont les seuls rescapés de la dernière aventure du Racing en Coupe d'Europe, Guillaume Lacour, lui, l'avait vécue depuis les tribunes de la Meinau. Aujourd'hui, il savoure le chemin parcouru.

« J'avais suivi le match retour des tribunes. Le Racing n'était pas passé loin de la qualification. Il menait même 2 à  0. Il y avait une superbe ambiance à  la Meinau. Bien sûr que je m'en souviens », commence par dire Guillaume Lacour.
Il y a près de quatre ans - le 27 septembre 2001 plus exactement - le Racing, après avoir perdu une semaine plus tôt en Belgique (0-2), se faisait éliminer par le Standard de Liège (2-2) en Alsace.
Non conservé par l'Olympique Lyonnais, son club formateur, Guillaume Lacour arrivait en Alsace sur la pointe des pieds avec un statut... d'amateur. « La Coupe d'Europe, je la suivais à  la télé ou dans les tribunes de Gerland. Quant au Racing, je ne connaissais aucun des professionnels. Je ne m'entraînais qu'exceptionnellement avec eux, reprend-il. Le club, après sa descente, était en pleine reconstruction. Et je le découvrais. »

Marche après marche

Ce jour de septembre 2001, Guillaume Lacour n'avait qu'une idée en tête. « M'imposer d'abord chez les stagiaires », dit-il sans vraiment plaisanter. « Depuis tout gamin, j'ai dû me battre pour pouvoir jouer. Je partais d'en bas. Mon mérite a été de toujours m'accrocher. »
A 21 ans, donc, il n'avait qu'un contrat amateur en poche et des espoirs pour le faire vivre. « J'ai toujours vécu au jour le jour, sans trop me projeter dans l'avenir. Ma philosophie, c'est de monter marche après marche. Et de croire au travail », résume le latéral droit du Racing.
Le travail, son travail plutôt, paiera malgré tout. « Quand vous n'êtes pas très grand, pas le plus rapide de tous et pas forcément le plus costaud, donc que vous êtes du genre classique, vous travaillez pour y arriver. Je suis un espoir pour pas mal de gens », sourit Guillaume Lacour.

« J'essaie de mériter ma place »

Ajoutez au travail accompli un (gros) zeste d'intelligence quand il lui a fallu s'adapter à  un poste qui n'était pas son poste de formation et vous retrouvez Guillaume Lacour titulaire en Ligue 1 et en passe de jouer son premier match de coupe d'Europe quatre ans plus tard.
« Même si on rêve toujours un peu, il m'était difficile d'imaginer cela quand je m'étais assis dans les tribunes de la Meinau pour le match du Standard Liège. Mon objectif premier était alors de me faire apprécier. Et puis voilà . Mon parcours me satisfait, il est progressif », ponctue le joueur strasbourgeois.
Jeudi soir, sauf coup dur de dernière minute, il sera sur la pelouse du stade Arnold Schwarzenegger. « Je ne réfléchis pas comme ça, coupe-t-il. Ma place n'est pas assurée. J'essaie de la mériter à  chaque entraînement. »

« La solution viendra du vestiaire »

Presque naturellement, il parle des problèmes actuels du Racing. « Il faut retrouver un plus d'agressivité, réussir à  se surpasser comme la saison passée. Redevenir des bagarreurs tous les jours en match comme à  l'entraînement. Bien vivre ensemble ne suffit pas si on ne voit pas le résultat sur le terrain les soirs de match, argumente Guillaume Lacour. On n'ose pas se dire les choses alors qu'il faudrait se parler. On se respecte peut-être trop. Les réponses à  nos questions ne viendront que de notre vestiaire. »
Ce jeudi, Guillaume Lacour ne devrait pas rester assis dans une tribune de Graz. Comme il en a désormais pris l'habitude, il devrait arpenter son couloir droit sans lassitude. « Disputer une coupe d'Europe, même si notre adversaire ne joue pas dans la cour des grands, est quelque chose d'excitant. Ce sera une découverte. Et j'espère qu'elle nous servira de détonateur. »
Il n'est pas le seul à  l'attendre et à  le souhaiter.

[tiroler]

n-ième interview de Lacour... Prochain Captain ? ...

[Alex Barotchais]

il n'a pas le charisme selon moi, il est peut etre propre et sobre, mais pas assez présent, sur le terrain. il nous faut un meneur (qui si possible ne tire pas trop la gueule hein mick )